J'ai tendance à croire qu'elle voulait attirer l'attention sur un problème qui la touche elle mais qui en touche d'autres ; en 2005, 7% des chômeurs d'après l'observatoire de l'Anpe.Jeff Van Planet a écrit :la vérité est que personne n'est capable de gérer tous çà.freeze a écrit :ils savent parfaitement ce qu'il en estGis a écrit :selon ce qu'en rapporte la presse, cette dame voulait attirer l'attention sur le problème de chômage des séniors pas juste sur son propre cas..
Il n'est sûrement pas évident d'être confronté ainsi à une interpellation.. et cela m'amène à poser d'autres questions, du style :
- le Président et les politiques en général sont-ils conscients des difficultés rencontrés par les gens ?
ils refusent juste de dire leur incapacités a gérer ces problèmes
+++++++++++++++++++++++++Adeline a écrit :le président, n'est ce pas lui qui propose des contrats aidés, financés en grande partie par le contribuable, histoire de faire croire que le chômage baisse, alors qu'en fait, on se contente de déplacer la précarité ? Le contrat qu'il propose à cette dame, n'est-il pas un contrat aidé et précaire qu'il a mis en place ?Jeff Van Planet a écrit :Bonjour,
C'est bine dommage pour cette dame, mais en même temps le président n'est pas un DRH ou une fée qui agiterait une baguette magique pour donner du taff aux gens, sur simple demande...
Cordialement
Sauf qu'il est dit dans l'article du premier message en première page que ce n'est pas le président qui lui à donné ce contrat aidé.
Cette dame avait trouvé ce contrat avant l'arrivé du président.
Ce qui est passé par la tête de cette brave dame est un truque du genre: "je ne vais me faire que 500€ par mois?!? je vais interpeller le président histoire qu'il me donne quelque chose de plus".
Pour moi c'est grotesque mais médiatiquement parlant, marche très bien.
(quelqu'un aura peut-être des chiffres plus récents )
Selon l’Observatoire de l’Anpe, le taux de chômage des seniors -qui se produit le plus souvent à la suite d’un licenciement- s’élevait en décembre 2005 à 7%. Ce chiffre, moins élevé que celui du chômage des jeunes « ne décrit que partiellement leur situation sur le marché du travail. En effet, si environ 600.000 demandeurs d’emploi étaient âgés de 50 ans ou plus à fin décembre 2005, 400.000 autres personnes bénéficiaires du régime d’assurance chômage ou du régime de solidarité chômage étaient également sans emploi mais dispensées de recherche d’emploi » et donc non comptabilisées.
voir l'article intégral sur senioractu.com