intégralité de l'article ...Comment les Français ayant réussi envisagent-ils le bonheur ? Afin de vérifier les aspirations de sa clientèle patrimoniale, HSBC a confié à l’institut CSA, la réalisation d’une étude sociologique*. Loin des considérations purement financières, c’est la dimension familiale, la transmission des valeurs immatérielles (savoir-faire et savoir-être), de l’engagement, du partage des passions et des expériences qui dominent les réponses des panélistes interrogés.
Pour 44% d’entre eux, «vivre sans se priver», c’est avant tout être indépendant et autonome afin de «ne rien devoir à personne», déclarent 65% des sondés. L’investissement professionnel sert à être «acteur de sa vie», une valeur fondatrice du concept de «personal economy». Par ailleurs, la famille reste un des principaux moteurs. Ainsi, 77% expliquent que la famille contribue très fortement au bonheur et plus encore l’envie de «veiller à son bien-être» (78%).
Il est vrai que l'aisance financière laisse place à d'autres préoccupations que celles de veiller au confort minimum de la famille. Toutefois, je ne pense pas que réussir sa vie de famille soit seulement la priorité des Français aisés. Et vous, qu'en pensez vous ?