Il fut un temps, pas si lointain, où traiter une personne de « robot » était insultant. On qualifiait de la sorte un chef ou un collègue sans cœur, ne manifestant aucun sentiment, ce qui ne présageait rien de bon pour la suite des relations avec l’individu concerné.
Désormais, si paradoxal que cela puisse paraître, les humains préféreraient travailler avec des ordinateurs plutôt qu’avec des congénères, comme viennent de le prouver Marek Posard et Gordon Rinderknecht, deux chercheurs en sociologie de l’université du Maryland (Etats-Unis). Les résultats de leurs travaux sont publiés dans le dernier numéro de la revue Computer in Human Behavior.
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