Logement : envolée des expulsions depuis plusieurs années

venez parler des sujets de société qui vous concerne ( drogue, alcool, avortement...)
Répondre
Avatar du membre
politicien
Site Admin
Messages : 34347
Enregistré le : 30 août 2008, 00:00:00
Compte Twitter : @LActuPolitique

Logement : envolée des expulsions depuis plusieurs années

Message non lu par politicien » 01 nov. 2017, 09:57:33

Logement : l’envolée des expulsions expliquée en six graphiques

INFOGRAPHIE - La trêve hivernale, qui débute mercredi, suspend les expulsions jusqu’au 31 mars inclus. Ce répit est le bienvenu pour des milliers de ménages toujours plus nombreux à quitter leur…

Image



Image
Crédits photo : sanneberg




INFOGRAPHIE - La trêve hivernale, qui débute mercredi, suspend les expulsions jusqu’au 31 mars inclus. Ce répit est le bienvenu pour des milliers de ménages toujours plus nombreux à quitter leur logement avec l’intervention de la police. Explications en graphiques.



Chaque année, ils sont de plus en plus nombreux à attendre cette date du 1er novembre qui sonne la suspension des expulsions pour une durée de cinq mois. En 2016, plus de 15.000 ménages ont dû quitter leur logement avec l’intervention des forces de l’ordre, soit près de 34.500 personnes, selon une étude publiée récemment par la Fondation Abbé Pierre.


» LIRE AUSSI - Locataire, propriétaire: qu’ai-je le droit de faire pendant la trêve hivernale?


Un «très mauvais chiffre» en légère hausse (+0,47%) par rapport au «sombre record» de 2015 (15.151 expulsions), et qui représente une augmentation de 140% sur 15 ans, souligne le délégué général de la fondation, Christophe Robert. «La réalité des expulsions est de deux à trois fois supérieure puisqu’il y a des gens qui quittent leur logement sans intervention des forces de l’ordre», ajoute-t-il.


Jusqu’au 31 mars 2018, les personnes menacées d’expulsion bénéficient donc d’un sursis. Pour la première fois, les habitants des bidonvilles sont également concernés par cette trêve, qui leur a été étendue par la loi Égalité et Citoyenneté. «Deux exceptions sont prévues: s’il existe une solution de relogement adaptée ou si les locaux font l’objet d’un arrêté de péril», détaille Christine Vales, de la Chambre nationale des huissiers de justice. Un juge peut également autoriser une expulsion durant cette période, notamment si les occupants ont pénétré dans des locaux par voie de fait.


(...)



Article complet sur http://immobilier.lefigaro.fr/article/l ... c34cb6a52/
Qu'en pensez vous ?
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire » Le débat ne s'arrête jamais sur Actu-Politique

Répondre

Retourner vers « Société »

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré