Ha non, j'ai jamais eu le projet de "tuer" quelqu'un . Simplement, la mauvaise foi qui pour moi est caractérisée par le fait de s'offusquer d'une effluve de clope (en plein air) s'apparente au geste que je décris: à savoir que je considère qu'il s'agit avant tout de la manifestation d'un égoisme surdimensionné et d'un non respect du choix de vie des autres, ce qui entraine chez moi une réaction de rejet instantanée.Nombrilist a écrit : "A ce prix, celui qui en terrasse me fait une remarque, je lui éclate une chaise sur la tronche. Cela coute moins cher. Et en plus, cela me soulage."
C'est marrant, à chaque fois que je discute de la question avec un fumeur, il finit toujours la discussion par ce genre de discours du style "fumer, ça m'empêche de tuer quelqu'un". En général, cela clôt les débats, et je lui demande si il voudrait pas plutôt en griller une...
C'est absolument tout. Je suis quelqu'un de très pacifique, même si j'habite près de l'atlantique.
Edith : je ne fumes jamais chez les non fumeurs, mais chez moi, oui. Sauf si quelqu'un témoigne d'une réelle affection pour l'odeur du tabac ou la fumée, a condition bien sur que cette personne soit de bonne foi, car sinon, si elle est en manque d'air pur, ce n'est pas moi qui sort, mais elle.
C'est par exemple le cas de mon père (qui a arrêté à 78 ans) et que je ne vais pas importuner car il ne m'a jamais fait de remarques, mais pas le cas mon frère qui dès lors qu'il a arrêté ne supporte plus la simple vision d'une clope et joue les pères moralisateursn en jouant sur le coté financier (c'est un comptable ; profession que je hais). Il mangeai donc dehors, mais il ne vient plus chez moi et j'en suis heureux.