Facebook : elle annonce son suicide,ses amis ne font rien

[Invité]

C'était une boutade Gis, je lis ce forum depuis quasiment ces débuts, sans m'y être inscrit pour le moment, c'est pour moi une revue de presse et les débats y sont intéressant, et donc je sais que tous les avis y sont acceptés même ceux qui sont Ump icon_biggrin . Je pense que je vais m'inscrire car Lancelot n'aime pas les invités, et encore moins les Ump.

Ps : ce n'est pas moi l'invité dans le sujet de la normandie, moi j'ai posté dans les sujets politiques, en argumentant donc j'ai essaye de pas trop être une daube icon_cheesygrin

[Nombrilist]

Lucifer est un gauchiste qui se goure de bulletin de vote.

[Gis]

D'accord invité.. j'avais pas compris la boutade.. enfin c'est pas gênant de dire de temps à autre une évidence  icon_mrgreen .
Tu as l'intention de t'inscrire ? excellente idée..
 

[lucifer]

Lucifer est un gauchiste qui se goure de bulletin de vote.

Ca doit être ça, oui, à moins que 20 ans avec les socialos m'aient rendu un peu aigri icon_mrgreen

[Cobalt]

Merci,merci,de me réhabliliter icon_biggrin

[johanono]

Elle annonce son suicide sur Facebook, une amie virtuelle lui sauve la vie

Grâce à Facebook, un drame a pu être évité. Voilà qui réhabilitera peut-être ce réseau aux yeux de certains...

[lancelot]

Bon  ... on va pas tenir un décompte non plus ...

Laissons Fesse-Bouc aux officionados.

[Cobalt]

Je m'en réjouis même si heureusement ce n'est pas la première fois,tout le monde n'est pas atone au point de ne pas réagir à un appel au secours.

[politicien]

Bonjour,
 

« Chers amis, je vous dis adieu, car ma vie ne vaut plus la peine d’être vécue. » C’est par ces quelques mots qu’une femme de 48 ans de Cysoing (Nord) lançait, début février, un message de détresse sur Facebook. Retrouvée inconsciente après avoir ingurgité une forte dose de barbituriques, mais réanimée par les pompiers, la malheureuse a échappé à la mort grâce à la présence d’esprit d’une de ses « amies » du réseau, la seule à avoir eu la présence d’esprit d’alerter les forces de l’ordre.   

Face à la multiplication d’appels au secours de certains de ses plus de 500 millions de membres à travers le monde, dont environ 20 millions en France, Facebook vient de décider de déployer un système virtuel d’alerte suicide. Accessible depuis la rubrique d’aide, un formulaire permet en quelques instants de tirer un véritable signal d’alarme virtuel, même à plusieurs milliers de kilomètres de distances de la victime. Avec seulement neuf cases à remplir (adresse électronique, noms complets, liens vers les messages inquiétants…), le rapport se veut ultra rapide à transmettre. Et c’est un administrateur de Facebook, membre de l’équipe du site chargé des utilisateurs, qui se charge d’analyser les informations avant de les confier aux forces de l’ordre du domicile de la personne en détresse.
L’initiative, un cas unique dans le monde du Web, est accueillie avec intérêt par les professionnels de santé, surtout pour venir en aide aux plus jeunes. « C’est une très bonne chose, estime Xavier Pommereau, psychiatre au CHU de Bordeaux et spécialiste de la prise en charge des suicides d’adolescents. Certains adolescents en souffrance lancent des bouteilles à la mer sur Internet, un espace où il n’y a pas grand-chose pour les détecter. Je suis même favorable à ce que les Etats imposent aux opérateurs du Net de mettre en place ce type de systèmes d’alerte. »

Déjà en place aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et en Irlande, où un test grandeur nature de trois mois a permis de valider l’efficacité de la procédure, l’alerte suicide sera bientôt disponible pour les internautes français, le temps pour la filiale française de Facebook de signer des accords avec une ou plusieurs associations d’aide aux personnes suicidaires. En effet, si Facebook propose de servir d’intermédiaire entre ses membres et les forces de l’ordre, le site incite en effet ses membres à alerter directement les autorités ou des associations d’aide comme, aux Etats-Unis, National Suicide Prevention Lifeline et Samaritans au Royaume-Uni en cas de « contenu de nature suicidaire » posté en ligne.

  Le Parisien.fr