Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012"

venez parler des sujets de société qui vous concerne ( drogue, alcool, avortement...)
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Golgoth
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Re: Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012" pour sortir

Message non lu par Golgoth » 27 févr. 2012, 19:10:30

Je en râle pas Cobalt, je ne parle pass des mes impôts personnels. Je trouve anormal que la CSG ne soit pas pas progressive voilà tout. En fait elle l'est pour les tous petit revenus mais c'est tout. Rocard est un mec de droite comme son collègue Fabius.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI. :mrgreen2:

Cobalt

Re: Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012" pour sortir

Message non lu par Cobalt » 27 févr. 2012, 19:32:53

Vous préférez ça :
La fin du modèle social européen est déclarée


Par Philippe Mabille, directeur adjoint de la rédaction
Le patron de la Banque centrale européenne annonce la mort du modèle social européen... et se prépare à faire un nouveau chèque de 500 milliards d'euros aux banques. Bienvenue dans le "QE World" ou comment les banques centrales soutiennent massivement le rétablissement de la confiance, au prix d'une austérité sans précédent.

"Le modèle social européen est mort" ! Jamais un banquier central n'avait parlé avec autant de brutalité de la crise que nous traversons. Les propos tenus par l'Italien Mario Draghi, le successeur de Jean-Claude Trichet, dans le long entretien qu'il a accordé au Wall Street Journal vendredi 24 février (lire la retranscription ici), sont tellement violents, par ce qu'ils impliquent, qu'il n'aurait sans jamais pu les tenir ailleurs que dans la « bible » de la finance mondiale. Même Jean-Claude Trichet avait plus de précautions de langage quand il tentait d'expliquer aux peuples européens ce qui les attend.

Pour Mario Draghi, ancien banquier de Goldman Sachs et nouvelle statue du Commandeur de la monnaie en Europe, sauver l'euro aura un prix élevé. Selon lui, il n'y a "pas d'échappatoire" possible à la mise en œuvre de politiques d'austérité très dures dans tous les pays surendettés et cela implique de renoncer à un modèle social fondé sur la sécurité de l'emploi et une redistribution sociale généreuse. Ce modèle sur lequel l'Europe a basé sa prospérité depuis la seconde guerre mondiale a disparu (« has gone »), estime Mario Draghi qui rappelle aux journaliste du WSJ la formule de l'économiste allemand Rudi Dornbusch : "Les Européens sont si riches qu'ils peuvent se permettre de payer les gens pour ne pas travailler".

Provocation

L'intervention du patron de la BCE pourrait sembler une provocation, une semaine avant que la banque centrale ne renouvelle un deuxième chèque de 500 milliards d'euros aux banques qui viendront mercredi 29 févier emprunter de l'argent au guichet illimité qu'elle a mis en place pour sauver l'euro. Comment échapper, avec de tels propos, à la critique montante selon laquelle le système est en train de sacrifier les peuples pour sauver les banques ? Les arguments mis en avant par Mario Draghi sont sans appel : tout recul sur les ambitions des programmes de désendettement publics provoquera une immédiate réaction des marchés qui pousseront les taux d'intérêt payés par les Etats à la hausse, rendant encore plus difficile, sinon impossible, le rétablissement des finances publiques. C'est ce qui est arrivé à la Grèce et a failli se produire au Portugal, en Espagne, en Italie.
Les propos de Mario Draghi ne sont évidemment pas sans lien avec le calendrier électoral européen. En avril en Grèce, en mai en France, au printemps 2013 en Italie, les peuples vont voter pour choisir leur destin. En expliquant, à la façon d'une Margaret Thatcher des temps modernes, que quel que soit le résultat du vote, les gouvernement élus n'auront pas d'autre alternative que de poursuivre des politiques de rigueur extrêmes, de mener des réformes structurelles du marché du travail et de démanteler encore un peu plus leur modèle social, le président de la BCE affiche la couleur. Et qu'on ne vienne pas lui dire que l'accalmie actuelle sur les marchés signifie que la crise est finie. La preuve que ce n'est pas le cas viendra mercredi, quand les banques viendront chercher auprès de la banque centrale le soutien sans lequel le système financier ne peut pas tenir. Sans la perfusion des banques centrales, aux Etats-Unis avec le "Quantitative easing" de la Fed, en Europe avec le LTRO de la BCE, tout s'écroulerait ! Même la Chine en est réduite à soutenir ses banques en difficultés. Bienvenue dans le monde cruel du « QE world ».

"Redressement national" de la "France forte"

Par cette prise de position très dure, Mario Draghi appelle à une prise de conscience. Mieux vaut selon lui en passer par une purge sévère et des réformes structurelles tout de suite pour rétablir la confiance des marchés que de vivre dix années terribles sous leur pression. C'est le choix fait par Mario Monti en Italie, avec succès jusqu'à présent puisqu'en cent jours, cet autre ancien de Goldman Sachs a réussi a sortir son pays de l'œil du cyclone, en changeant comme jamais le visage de l'Italie. La leçon vaut pour les autres pays. En France, François Hollande annonce-t-il autre chose quand il parle de "redressement national", même s'il continue en même temps de faire croire que la gauche française saurait mieux préserver le modèle social que les gauches européennes ? Et Nicolas Sarkozy, qui en appelle au « courage » pour rétablir une « France forte », ne prépare-t-il pas, sans le dire clairement, un nouveau programme d'austérité pour l'après-élection ? Si on écoute Mario Draghi, le modèle social français aura bien du mal à survivre à 2012. la question est au cœur de la campagne mais chut, il ne faut pas le dire... trop fort !
Vraiment,il y a des moments ou je ne vous comprends plus des hommes de bonne volonté,qui ont fait leurs preuves en leur temps comme Hessel,entre autre,et sur qui on tire à bouler rouge,vraiment....

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Re: Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012" pour sortir

Message non lu par Nombrilist » 27 févr. 2012, 19:36:53

En 1789, on a eu la Bastille. En 20xx on aura Francfort.

Cobalt

Re: Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012" pour sortir

Message non lu par Cobalt » 27 févr. 2012, 19:41:29

Ah oui,je languis de voir ça.
Toi même tu es prêt à accepter l'inacceptable de Mélenchon,pourvu,qu'il ronronne que les riches vont passer à la caisse..

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Re: Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012" pour sortir

Message non lu par Nombrilist » 27 févr. 2012, 19:42:36

Tu peux expliquer ? Je ne comprends pas ce que tu veux dire.

Cobalt

Re: Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012" pour sortir

Message non lu par Cobalt » 27 févr. 2012, 19:46:43

Ce que je dis,c'est que tu ne t'offusques pas que Mélenchon puisse raconter des c..ries pourvu que tu l'entendes te dire ce qui te fait plaisir,et bien,je pense qu'aucun de nous devrait accepter l'inacceptable et que ce n'est pas ainsi que nous aurons des politiques dignes de ce nom.

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Re: Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012" pour sortir

Message non lu par Nombrilist » 27 févr. 2012, 19:48:51

Quelles conneries ?

Cobalt

Re: Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012" pour sortir

Message non lu par Cobalt » 27 févr. 2012, 19:51:27

Ce qu'il a dit à marine au propos des femmes qui touchaient plus de 1000 euros mensuel,alors que c'est faux,alors ça ,ça me met en rage.

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Re: Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012" pour sortir

Message non lu par Nombrilist » 27 févr. 2012, 19:57:32

Ah ça. Ben oui il a dit une grosse connerie, c'est vrai. Mais ça ne change rien au programme qu'il propose. Par conséquent, je ne vois aucune raison de ne pas voter pour lui juste parce qu'il a menti sur MLP.

Cobalt

Re: Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012" pour sortir

Message non lu par Cobalt » 27 févr. 2012, 20:10:31

Ben oui,c'est ce que je dis,nous tous ,contribuons à donner du pouvoir à des gens qui ne le méritent pas.Mélenchon,nous le payons pas pour dire des c..ries pas plus que sarko et compagnie.

Cobalt

Re: Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012" pour sortir

Message non lu par Cobalt » 27 févr. 2012, 20:19:32

Tenez voilà d'autres propos sur les ces 15mesures ,allez y faites mieux,ce serait dommage qu'on excelle pas sur ce coup là :

Après Roosevelt2012, je propose Trotsky2017 et je relance d’un brelan d’as !
Posté par: h16
dans République du Bisounoursland

Parfois, l’actualité est difficile à commenter : tout a déjà été dit, ou tout simplement, les sujets sont complexes. Et parfois, un bon client se réveille et sort une idiotie consternante. Mais cette fois-ci, c’est un feu d’artifice ! Ils s’y sont mis à plusieurs, et le calibre des inepties qu’ils sortent en groupe convainquent immédiatement qu’à plusieurs, la bêtise n’a plus de limite.

Tout a donc commencé par une petite brève sur un média en ligne tout ce qu’il y a de plus respectable, et qui relatait la naissance d’un collectif de gentil piposophes en mal d’indignation.

Et comme une tranche de rigolade n’arrive jamais seule mais plutôt en paquet de quatre ou cinq, sous vide et sans date de péremption parce que les bonnes blagues sont éternelles, c’est donc tout naturellement que celle-ci s’est associée avec la présence des indétrônables Hessel et Morin. Et là, on peut crier Bingo : nos deux lascars sont un peu des habitués de ce blog, comme Rocard ou Albert Ziglou Jacquard, du reste. Très manifestement, certaines maisons de retraite du pays ne carburent pas qu’à la soupe clairette.

Hessel et Morin, ce sont en effet les Laurel & Hardy de l’indignation en prêt à porter. On se souvient du patchwork de pensées éparses aux odeurs d’Hessel édité à des millions d’exemplaires pour nourrir l’insondable vide des cerveaux totalement disponibles d’une jeunesse en mal de repères. De leur côté, les salves de morinades emberlificotées, commercialisées sous le trademark PenséeComplexe™, avaient laissées quelques traces d’un brun douteux dans certains papiers d’une presse subventionnée toute acquise au remplissage kilométrique de ses colonnes par d’imposantes fumisteries surjouées.

Et là, nos deux compères se sont acoquinés avec tout un escadron de sémillants gauchistes pétés de thunes, pour créer un collectif dans lequel on retrouve Michel Rocard. La présence de ce trio d’abonnés à la Carte Vermeil n’est absolument pas fortuite comme nous le verrons un peu plus loin.

Ce collectif, Roosevelt 2012, c’est un peu le Collectif Pour Une Fraônce Forte, Vraiment Vraiment Forte en Chocolat Mental. Au passage, en partie pour justifier l’utilisation du nom de Roosevelt, le collectif comprend le petit-fils du président américain himself; et ce n’est pas qu’un prétexte puisque les responsables l’annoncent fièrement : ils s’en sont inspirés pour établir leur impressionnante liste de propositions.

On regrette qu'ils n'aient pas pensé à demander au petit fils de Louis XVI, parce qu'un collectif LouisXVI-2012, ça aurait eu une autre g........

Le tout est présenté sur un joli site web deux-zéro, aux couleurs à la mode, sur lequel on peut même laisser ses coordonnées complètes (ce qui s’avérera utile pour échapper aux rafles de dissidents lorsque le Grand Soir sera passé).

Cobalt

Re: Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012" pour sortir

Message non lu par Cobalt » 27 févr. 2012, 20:24:00

J'en ai oublié un bout.
Comme à l’accoutumée lorsque Hessel et Morin sont aux commandes, nous avons droit à une longue et poussive tartine de collectivisme passéiste ; je ne vais pas éplucher les propositions dans les moindres détails, mais m’attarder sur certaines d’entre elles, qui ont ce délicieux parfum des années 30 pendant lesquelles Franckie Roosevelt sévit avec l’effet délétère qu’on connait.

La deuxième, ainsi, est particulièrement intéressante puisqu’elle entend créer un impôt européen sur les bénéfices des entreprises. Ça, c’est une vraie innovation ! Pour faire repartir le commerce, la production, la consommation et les entreprises, rien de tel qu’un bon coup de pelle derrière la nuque pour les motiver.

L’argumentation est savoureuse puisque notre collectif note que les USA, disposant d’un taux moyen d’imposition de 40% sur les entreprises (ce qui est une baliverne, mais passons), sont finalement moins libéraux que l’Europe avec son taux moyen de 25% (là encore, l’amalgame douteux d’un tel chiffre laisse songeur).

Conclusion : c’est un scandale, les entreprises européennes s’en sortent mieux que les américaines, il faut donc saigner ceux qui produisent des richesses et de l’emploi. Euh. Non. Pardon. Je voulais dire que les États s’endettent parce qu’ils ne ratissent pas suffisamment large, voyons. Bien sûr, ils pourraient tenter de faire des exercices budgétaires en équilibre, en ajustant les dépenses sur les rentrées fiscales, mais le plus simple consiste à faire le contraire et ajuster les rentrées fiscales sur les dépenses.

Et ça, on appellera ça la Mathématique Complexe™. Hat tip to Morin™®©, svp.

D’autres propositions, partant de cette logique implacable, entendent remettre un peu de justice dans ce monde de brutes libérales en inversant avec décontraction la responsabilité des déficits.

L’État français, s’enfonçant dans le collectivisme le plus débridé, a distribué des palettes d’euros frais dans une bobologie de bazar et fait exploser la dette de 500 milliards de plus en quelques années : c’est évidemment la fautes aux entreprises et aux particuliers qui ont tenté d’échapper aux ponctions diverses ! Et les 1200 milliards de dettes qui existaient avant la crise, c’est aussi la faute aux paradis fiscaux et aux impôts qui n’ont pas été prélevés. Salodelibéros.

En réalité, selon le collectifs de clowns et d’incultes économiques à la tête de ces propositions consternantes, si l’État avait eu la présence d’esprit de prendre absolument toutes les richesses produites, il n’y aurait pas eu de déficit, la crise aurait été surmontée avec brio (un petit toussotement début 2009, tout au plus) et, mieux encore, les pauvres et les précaires auraient disparu — pouf — pour se transformer en licornes et en arc-en-ciel ou quelque chose comme ça.

J’exagère avec mes licornes ?

Même pas, puisque le Cirque Roosevelt de Clowns et d’Acrobates de l’Impôt Rigolo nous propose (comme c’est original) de « construire une nouvelle société » qui n’a pas d’Homme Nouveau et de Lendemains qui Chantent, mais presque.

On trouve ainsi, pêle-mêle :

la réaffirmation têtue d’une pénurie de logements (alors que la France compte des millions de logements vacants). L’Etat doit intervenir pour y mettre bon ordre !
l’allégation obstinée d’un réchauffement climatique pardon dérèglement pardon enfin bref vous voyez bien qu’il fait plus froid en hiver et plus médiocre en été donc c’est qu’on va à la catastrophe avec des ours polaires qui viennent faire un baby-foot à Neuilly c’est horrible, le tout basé sur des références scientifiques chopées sous le sabot de la licorne dont j’ai déjà parlé, et bien sûr se terminant par la proposition d’une (oh !) intervention massive de l’État,
une brouettée de bricolages institutionnels au niveau des États européens, histoire d’ajouter à l’énorme gâteau administratif franchouille un glaçage européen bien digeste et onctueusement moraliné, parce que c’est vraiment ce dont on a besoin maintenant.

À cette lecture, on a l’impression d’un combat mené par les grabataires calcifiés d’un temps où les photos se faisaient au daguerréotype, plongés dans leurs solutions Ifoyaka : c’est du kit, à prix toujours abordable, mais qu’il faut des heures pour péniblement monter chez soi et qui, une fois confronté à la réalité, s’écroule en quelques mois dans un fracas épouvantable.

Toutes ces propositions, sans exception, ont été précédemment tentées, soit en France, soit ailleurs. Aucune n’a fonctionné, et l’exemple de Roosevelt est parlant puisque ce dernier, avec le gloubiboulga le mieux intentionné du monde, est parvenu à prolonger l’agonie d’une dépression bien au-delà de tout ce que ces thuriféraires du tout État peuvent désirer.

En réalité, la cause profonde de la crise de 1929 est bien l’interventionnisme étatique, avec l’inflation de la masse monétaire par une toute jeune réserve fédérale, des taux directeurs trop bas, des bulles créées à la suite de ce crédit trop facile. Et si ces éléments vous font furieusement penser aux actuelles exactions de la Fed américaine, aux taux trop bas et aux bulles (télécom puis immobilières) qui en résultèrent, c’est normal : les mêmes causes pourries provoquent les mêmes effets catastrophiques.

On comprend que nos vieux débris se sentent concernés par leur retraites et leurs rentes : elles sont directement menacées par le surendettement monstrueux de l’Etat, et lutter pour avoir des moutontribuables dociles devient vital pour eux. Dès lors, il semble logique que les « solutions » proposées tendent à conserver l’esclavage soft des générations productives.

Non, décidément, après Roosevelt2012, je propose Trotsky2017 et je relance d’un brelan d’as. Et les as, ils sont tout trouvés, on a même leur photo sur le joli site de propagande !

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Re: Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012" pour sortir

Message non lu par Golgoth » 27 févr. 2012, 20:42:13

Si tu en es à chercher la moindre erreur dite sur un plateau en direct, même ton copain Hessel peut dégager. Faut être un peu plus zen quand même :)
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI. :mrgreen2:

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racaille
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Re: Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012" pour sortir

Message non lu par racaille » 27 févr. 2012, 21:38:34

Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M

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Re: Les 15 mesures radicales de "Roosevelt 2012" pour sortir

Message non lu par Golgoth » 27 févr. 2012, 21:44:11

C'est pas le site dont parlait narbonne ?
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI. :mrgreen2:

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