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par politicien » 23 juin 2015, 12:59:25
Bonjour,
Près de 6000 figurants participaient à une reconstitution de la bataille qui fit chuter l'Empereur, au sud de Bruxelles.
La bataille de Waterloo a été rejouée deux fois, vendredi puis samedi soir, sur les lieux mêmes des combats de 1815. La logistique de cette fausse bataille était presque aussi complexe que celles d'une vraie. La police et des centaines de volontaires ont été mobilisés pour réguler la circulations sur les routes étroites de cette région rurale au sud de Bruxelles et permettre l'accès des visiteurs. Dans les champs de blés et de betteraves, des tribunes ont été dressées pour accueillir environ 60.000 spectateurs venus assister au spectacle, dont les places ont été toutes vendues il y a déjà plusieurs mois.
L'essentiel du spectacle était assurée par les quelques 6000 «reconstitueurs», passionnés d'uniformes et de tactiques d'époque, qui ont rejoué les différentes phases de la bataille. «On a des reconstitueurs venus de plus de 50 pays différents. C'est la plus grande reconstitution napoléonienne jamais réalisée ici», dit Yves Vander Cruysen, premier échevin de Waterloo et passionné de la période. «On ne reverra pas ça de sitôt.»
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L'intégralité de cet article à lire sur Le Figaro.fr
De la fin de la bataille à l'abdication, comment Napoléon réagit-il à la défaite?
Après avoir cherché la mort sur le champ de bataille, Napoléon fut entraîné par ses officiers loin des combats. Il parvint à échapper à la capture et, après un voyage épuisant, arriva le 21 juin, vers 9 heures du matin, au palais de l'Elysée. Il croyait encore possible de renverser la situation. Une fois rentré dans sa capitale, disait-il, il appellerait de nouvelles troupes, barrerait la route aux envahisseurs après avoir, au besoin, imposé le silence aux Chambres en proclamant la «dictature». Il lui fallut peu de temps pour s'apercevoir que sa cause était perdue. Lors du Conseil des ministres élargi convoqué dans la matinée, il demanda à chacun de donner son avis. Seuls les ministres de la Guerre et de l'Intérieur, Davout et Carnot, soutinrent la proposition de Lucien Bonaparte de procéder à un coup d'Etat. Les autres laissèrent entendre que le moment était venu de consentir de «grands sacrifices». Si le mot d'abdication ne fut pas prononcé, chacun l'avait à l'esprit.
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Fallait-il célébrer les 200 ans de Waterloo ? Qu'en pensez vous ?
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
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