Pour l'UMP, la politique de la France se fait à la corbeille
Pour l'UMP, la politique de la France se fait à la corbeille
Le nouvel argument des sarkozystes consiste à dire qu'il y aura une attaque spéculative de la part des marchés financiers contre la dette française en cas de victoire de Hollande :
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012 ... -gagne.php
L'UMP nous explique donc que les Français doivent voter en fonction de ce que veulent les marchés financiers.
Il fut un temps où le général de Gaulle nous expliquait que la politique de la France ne se fait pas à la corbeille. Manifestement, les temps ont bien changé. Le pire, c'est que l'UMP fait même de cette soumission aux marchés financiers un argument de campagne... :evil:
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012 ... -gagne.php
L'UMP nous explique donc que les Français doivent voter en fonction de ce que veulent les marchés financiers.
Il fut un temps où le général de Gaulle nous expliquait que la politique de la France ne se fait pas à la corbeille. Manifestement, les temps ont bien changé. Le pire, c'est que l'UMP fait même de cette soumission aux marchés financiers un argument de campagne... :evil:
- politicien
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Re: Pour l'UMP, la politique de la France se fait à la corbe
Et voici ce que répond François Hollande :
«Je ne sais pas si les marchés s'affolent, mais la droite, elle, oui, elle s'affole, parce que pour ainsi jeter le trouble sur ce qui pourrait se passer en cas de victoire, la mienne, et laisser croire que la France serait l'objet de je ne sais quelle tourmente, franchement ce n'est pas digne du débat que nous devons avoir.» Le candidat PS était l'invité de France 2 ce matin. «Je suis en position d'être élu depuis des mois, est-ce que c'est ça qui explique la dégradation du triple A ? Non, c'est la politique de Nicolas Sarkozy. Je suis dans les sondages, et ça ne préjuge en rien du choix des Français, en passe d'être élu, est-ce que c'est ça qui explique la dégradation de la compétitivité française ? Hélas non, c'est la politique de Nicolas Sarkozy», a-t-il soutenu.
«Je ne laisserai aucune place» aux marchés. Alors que la droite, Nicolas Sarkozy en tête, agite le spectre d'attaques spéculatives contre l'euro en cas de victoire de François Hollande, le candidat PS à l'Elysée répète ce matin sur France 2 qu'il ne changera pas de ligne. «J'ai dit très clairement ce que serait le chemin pour aller vers le redressement des finances publiques, j'ai dit que nous aurions à mettre plus de croissance, parce qu'elle est nécessaire, et donc je n'ai à redouter aucune crise. Et si les marchés s'inquiètent, je ne sais pas si c'est le cas - je sais que pour l'instant, ils sont hélas mobilisés par rapport à l'Italie et à l'Espagne -, je veux leur dire ici que je ne leur laisserai aucune place». http://www.leparisien.fr/election-presi ... 951367.php
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
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- avatabanana
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Re: Pour l'UMP, la politique de la France se fait à la corbe
1. Dire que l'élection de Hollande affolera pas les marchés mesemble exagérer même si une petite crise d'anticipation est possible
2. Dire que la corbeille ne compte pas dans la politique est stupide, tout doit compter et particulièrement ce que pensent les gens qui nous prêtent de l'argent. Soyons sérieux.
3. Par contre il est clair que ce que Hollande aura des conséquences sur le taux de nos emprunts.
Rappel: Tant que Mitterant a agis (de 1981 à 1983) les marchés se sont "affolés" d'où les trois calamiteuses dévaluations en 1,5 ans dès lors qu'il n'a plus rien fait tout est rentré dans l'ordre. Les marchés ne jugent que les actions, ils se foutent des hommes.
Au contraire un homme de gauche au pouvoir assure un calme social plus grand dans un pays... c'est toujours bon pour l'économie
2. Dire que la corbeille ne compte pas dans la politique est stupide, tout doit compter et particulièrement ce que pensent les gens qui nous prêtent de l'argent. Soyons sérieux.
3. Par contre il est clair que ce que Hollande aura des conséquences sur le taux de nos emprunts.
Rappel: Tant que Mitterant a agis (de 1981 à 1983) les marchés se sont "affolés" d'où les trois calamiteuses dévaluations en 1,5 ans dès lors qu'il n'a plus rien fait tout est rentré dans l'ordre. Les marchés ne jugent que les actions, ils se foutent des hommes.
Au contraire un homme de gauche au pouvoir assure un calme social plus grand dans un pays... c'est toujours bon pour l'économie
Re: Pour l'UMP, la politique de la France se fait à la corbe
A
La grande grève des routiers de 1984
En février 1984, une grève des douanes françaises suivie d'une grève des camionneurs immobilise une partie de l'Hexagone - notamment à proximité des frontières - pendant une dizaine de jours. Ils s'étaient mobilisés contre les formalités douanières à l'heure de l'Europe. Après une grève des routiers italiens puis des douaniers, les routiers français s'y mettent aussi à la mi février. Pas moins de 2000 camions (et autant en Italie) finiront par bloquer les autoroutes alpines, notamment entre Cluses et le Mont Blanc. Ils finiront même par bloquer les rails.
Au total, 59 départements français seront touchés par ce mouvement. Pierre Mauroy, alors premier ministre de François Mitterrand, pense un temps envoyer l'armée pour briser le mouvement en poussant notamment les camions sur le bord de la route. "Qu'on les jette dans le fossé", aurait-il déclaré. Mais Charles Fiterman, un des trois membres du gouvernement qui soit communiste, s'y est opposé en tant que ministre des transports.
Finalement, le mouvement cesse après dix jours d'immobilité du pays. Il aboutira en 1985 à la signature de l'accord de Schengen. A la fin de la période de grève, les magasins et les pompes à essence étaient vides, faute d'approvisionnement... par camioN. Des usines avaient aussi été obligées de fermer, en chômage technique.
Le torride hiver 1986
Après les routiers en 1984, c'est au tour des agents de la SNCF de se faire remarquer fin 1986. Après plusieurs mouvements de grèves courant décembre dans les gares parisiennes pour dénoncer la suppression de la "prime de saisie sur ordinateur", la grève devient générale à la SNCF le 23 décembre 1986. La revendication a changé : les agents de la SNCF dénoncent le projet de grille salariale dite "au mérite" qui laisserait selon eux trop de place à l'arbitraire. Quasiment l'ensemble du réseau ferroviaire est interrompu, pour une durée qui ne devait pas s'étendre au-delà de cinq jours.
Mais au 5 janvier 1987, 90 dépôts sur 94 sont toujours en grève et le trafic est totalement paralysé. Cela va durer jusqu'au 9 janvier. Selon les données, 90% des agents de conduite et 70% des sédentaires ont participé à la grève. Un mouvement qui a également touché la RATP et EDF. Le coût évalué de ce mouvement de grève : 20 milliards de francs. A cela, il faut ajouter en novembre-décembre, le mouvement des étudiants dénonçant le projet Devaquet, qui a été retiré le 6 décembre 1986, le lendemain de l'assassinat de l'étudiant Malik Oussekine par la police.
http://www.metrofrance.com/info/les-gra ... krhTLngb6/
Le calme social dites-vous ????Au contraire un homme de gauche au pouvoir assure un calme social plus grand dans un pays... c'est toujours bon pour l'économie
La grande grève des routiers de 1984
En février 1984, une grève des douanes françaises suivie d'une grève des camionneurs immobilise une partie de l'Hexagone - notamment à proximité des frontières - pendant une dizaine de jours. Ils s'étaient mobilisés contre les formalités douanières à l'heure de l'Europe. Après une grève des routiers italiens puis des douaniers, les routiers français s'y mettent aussi à la mi février. Pas moins de 2000 camions (et autant en Italie) finiront par bloquer les autoroutes alpines, notamment entre Cluses et le Mont Blanc. Ils finiront même par bloquer les rails.
Au total, 59 départements français seront touchés par ce mouvement. Pierre Mauroy, alors premier ministre de François Mitterrand, pense un temps envoyer l'armée pour briser le mouvement en poussant notamment les camions sur le bord de la route. "Qu'on les jette dans le fossé", aurait-il déclaré. Mais Charles Fiterman, un des trois membres du gouvernement qui soit communiste, s'y est opposé en tant que ministre des transports.
Finalement, le mouvement cesse après dix jours d'immobilité du pays. Il aboutira en 1985 à la signature de l'accord de Schengen. A la fin de la période de grève, les magasins et les pompes à essence étaient vides, faute d'approvisionnement... par camioN. Des usines avaient aussi été obligées de fermer, en chômage technique.
Le torride hiver 1986
Après les routiers en 1984, c'est au tour des agents de la SNCF de se faire remarquer fin 1986. Après plusieurs mouvements de grèves courant décembre dans les gares parisiennes pour dénoncer la suppression de la "prime de saisie sur ordinateur", la grève devient générale à la SNCF le 23 décembre 1986. La revendication a changé : les agents de la SNCF dénoncent le projet de grille salariale dite "au mérite" qui laisserait selon eux trop de place à l'arbitraire. Quasiment l'ensemble du réseau ferroviaire est interrompu, pour une durée qui ne devait pas s'étendre au-delà de cinq jours.
Mais au 5 janvier 1987, 90 dépôts sur 94 sont toujours en grève et le trafic est totalement paralysé. Cela va durer jusqu'au 9 janvier. Selon les données, 90% des agents de conduite et 70% des sédentaires ont participé à la grève. Un mouvement qui a également touché la RATP et EDF. Le coût évalué de ce mouvement de grève : 20 milliards de francs. A cela, il faut ajouter en novembre-décembre, le mouvement des étudiants dénonçant le projet Devaquet, qui a été retiré le 6 décembre 1986, le lendemain de l'assassinat de l'étudiant Malik Oussekine par la police.
http://www.metrofrance.com/info/les-gra ... krhTLngb6/
« Le premier des droits de l'homme c'est la liberté individuelle, la liberté de la propriété, la liberté de la pensée, la liberté du travail. »
de Jean Jaurès
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- avatabanana
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Re: Pour l'UMP, la politique de la France se fait à la corbe
cmoi a écrit :ALe calme social dites-vous ????Au contraire un homme de gauche au pouvoir assure un calme social plus grand dans un pays... c'est toujours bon pour l'économie
La grande grève des routiers de 1984
En février 1984, une grève des douanes françaises suivie d'une grève des camionneurs immobilise une partie de l'Hexagone - notamment à proximité des frontières - pendant une dizaine de jours. Ils s'étaient mobilisés contre les formalités douanières à l'heure de l'Europe. Après une grève des routiers italiens puis des douaniers, les routiers français s'y mettent aussi à la mi février. Pas moins de 2000 camions (et autant en Italie) finiront par bloquer les autoroutes alpines, notamment entre Cluses et le Mont Blanc. Ils finiront même par bloquer les rails.
Au total, 59 départements français seront touchés par ce mouvement. Pierre Mauroy, alors premier ministre de François Mitterrand, pense un temps envoyer l'armée pour briser le mouvement en poussant notamment les camions sur le bord de la route. "Qu'on les jette dans le fossé", aurait-il déclaré. Mais Charles Fiterman, un des trois membres du gouvernement qui soit communiste, s'y est opposé en tant que ministre des transports.
Finalement, le mouvement cesse après dix jours d'immobilité du pays. Il aboutira en 1985 à la signature de l'accord de Schengen. A la fin de la période de grève, les magasins et les pompes à essence étaient vides, faute d'approvisionnement... par camioN. Des usines avaient aussi été obligées de fermer, en chômage technique.
Le torride hiver 1986
Après les routiers en 1984, c'est au tour des agents de la SNCF de se faire remarquer fin 1986. Après plusieurs mouvements de grèves courant décembre dans les gares parisiennes pour dénoncer la suppression de la "prime de saisie sur ordinateur", la grève devient générale à la SNCF le 23 décembre 1986. La revendication a changé : les agents de la SNCF dénoncent le projet de grille salariale dite "au mérite" qui laisserait selon eux trop de place à l'arbitraire. Quasiment l'ensemble du réseau ferroviaire est interrompu, pour une durée qui ne devait pas s'étendre au-delà de cinq jours.
Mais au 5 janvier 1987, 90 dépôts sur 94 sont toujours en grève et le trafic est totalement paralysé. Cela va durer jusqu'au 9 janvier. Selon les données, 90% des agents de conduite et 70% des sédentaires ont participé à la grève. Un mouvement qui a également touché la RATP et EDF. Le coût évalué de ce mouvement de grève : 20 milliards de francs. A cela, il faut ajouter en novembre-décembre, le mouvement des étudiants dénonçant le projet Devaquet, qui a été retiré le 6 décembre 1986, le lendemain de l'assassinat de l'étudiant Malik Oussekine par la police.
http://www.metrofrance.com/info/les-gra ... krhTLngb6/
Vos exemples confirment ce que je dis
Les routiers ne sont pas syndicalisés donc pas contrôlables
Quant à la SNCF !!!!! Vous vous rendez compte supprimer une prime !!!! Déjà le changement des horaires de quelques minutes déclenche une campagne de grèves alors !!!!
La grève est à la SNCF ce que l'eau est aux poissons, d'ailleurs ils ont crééent des syndicats spécialisés...
IL est clair qu'un gouvernement de gauche calme les ardeurs syndicales au point que souvent à ces époques il se créé des "coordinations" pour suppléer aux syndicats trop atones.
- Baltorupec
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Re: Pour l'UMP, la politique de la France se fait à la corbe
Cmoi, tu es de mauvaise foi. Je ne pense pas que l'argument était très bon, mais on peut retirer deux de tes grèves car de mai 86 à 88, le premier ministre était un certain... Jacques Chirac. La gauche vraiment ?
“Tout ce que tu peux régler pacifiquement, n’essaie pas de le régler par une guerre ou un procès.” Jules Mazarin
- pwalagratter
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Re: Pour l'UMP, la politique de la France se fait à la corbe
Oublie également la grève des routiers en 1984 car si les salariés ont bloqué le pays à ce moment c'est que le patronat était derrière. Au départ, c'était pour leurs conditions de travail, la goutte d'eau étant les grèves des douaniers à la frontière italienne. Mais les transporteurs routiers ont appuyé ce mouvement pour mettre la pression sur le gouvernement de l'époque.
A l'issue de ce blocage, les transporteurs routiers ont obtenus une détaxation du gazole, l'augmentation de la tarification routière obligatoire, assouplissement du décret de 1983 sur le temps de travail.
Il se trouve que je travaillais à ce moment dans ce secteur et les "grévistes" n'ont pas eu à demander le paiement des jours de grève. C'était accordé d'office par le patron.
A l'issue de ce blocage, les transporteurs routiers ont obtenus une détaxation du gazole, l'augmentation de la tarification routière obligatoire, assouplissement du décret de 1983 sur le temps de travail.
Il se trouve que je travaillais à ce moment dans ce secteur et les "grévistes" n'ont pas eu à demander le paiement des jours de grève. C'était accordé d'office par le patron.
- Nombrilist
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Re: Pour l'UMP, la politique de la France se fait à la corbe
"1. Dire que l'élection de Hollande affolera pas les marchés me semble exagérer même si une petite crise d'anticipation est possible"
C'est même indigne de troller la campagne de cette façon.
C'est même indigne de troller la campagne de cette façon.
- pwalagratter
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Re: Pour l'UMP, la politique de la France se fait à la corbe
Et pour en revenir au sujet, du temps de de Gaulle, encore la bourse existait mais ses moyens technologiques restaient limités. Or, maintenant ce sont des programmes informatiques qui régissent tout cela. J'adore quand on va jusqu'à raccourcir les cables pour récupérer encore un peu plus de temps.Il fut un temps où le général de Gaulle nous expliquait que la politique de la France ne se fait pas à la corbeille. Manifestement, les temps ont bien changé. Le pire, c'est que l'UMP fait même de cette soumission aux marchés financiers un argument de campagne... :evil:
On a tous lu ici et là quelques fantaisies, bugs, voire intrusion informatiques.
Donc non seulement on est régis par des financiers un peu barges, des banquiers qui ne discernent plus rien, des politiques à la ramasse, mais en plus, les machines peuvent s'emballer et/ou devenir de vraies machines de guerre.
Un tout petit exemple :
http://blog.bee-ware.net/2011/10/24/nas ... e-annonce/
Meu nanLorsque cette course aux armement, ou plus précisément, cette course à la vitesse, a atteint ses limites naturelles, les instituions financières ont exploré de nouvelles voies. L’une d’entre elles, consistant à ralentir les process des « adversaires », en envoyant des milliers d’ordres immédiatement annulés dans la microseconde. Ces données sont traitées par les autres algorithmes. Par par ceux qui sont à l’origine desdits ordres. Dans le monde de la sécurité informatique, on appelle cela un déni de service. Sophistiqué, certes, mais tout de même… Dans le monde de la finance, cette pratique a reçu le nom de « quote stuffing« .
Tous ces développements sont assez inquiétants.
Re: Pour l'UMP, la politique de la France se fait à la corbe
La fin du monde n'est plus prévu pour le 22 décembre, mais pour le 7 mai. Ce jour là un astéroïde géant va s'écraser sur la Terre et tous nous tuer. Seule solution, voter Sarkozy qui va créer une loi en urgence pour détourner le corps céleste.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
Re: Pour l'UMP, la politique de la France se fait à la corbe
Ca prouve juste - selon moi - que le candidat-président est aux abois.
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M
Re: Pour l'UMP, la politique de la France se fait à la corbe
tu as raison dans la cohabitation la gauche est absenteBaltorupec a écrit :Cmoi, tu es de mauvaise foi. Je ne pense pas que l'argument était très bon, mais on peut retirer deux de tes grèves car de mai 86 à 88, le premier ministre était un certain... Jacques Chirac. La gauche vraiment ?
je me souviens aussi de 1992 où nous parents d'élèves manifestions parce-qu'il nous était impossible d'obtenir des professeurs remplaçants à l'école primaire ? CHIRac devait être au pouvoir encore.
« Le premier des droits de l'homme c'est la liberté individuelle, la liberté de la propriété, la liberté de la pensée, la liberté du travail. »
de Jean Jaurès
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- avatabanana
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Re: Pour l'UMP, la politique de la France se fait à la corbe
cmoi a écrit :tu as raison dans la cohabitation la gauche est absenteBaltorupec a écrit :Cmoi, tu es de mauvaise foi. Je ne pense pas que l'argument était très bon, mais on peut retirer deux de tes grèves car de mai 86 à 88, le premier ministre était un certain... Jacques Chirac. La gauche vraiment ?
je me souviens aussi de 1992 où nous parents d'élèves manifestions parce-qu'il nous était impossible d'obtenir des professeurs remplaçants à l'école primaire ? CHIRac devait être au pouvoir encore.
Il n'y avait pas de cohabitation en 1992 !
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