Nous avons tous des certitudes, elles diffèrent, et c'est bien ainsi ... si on pensait tous pareil le débat s'arrêterait.Nombrilist a écrit : ↑06 févr. 2020, 07:58:02Comme je l'ai déjà expliqué plusieurs fois sur ce forum, le temps de déni suite à un viol peut être extrêmement long. Je connais quelqu'un qui a été violé à 10 ans et qui s'est fait sauter le caisson à 50 ans. Pour paraphraser un membre du forum, pourquoi avoir attendu tout ce temps si il en avait été pleinement conscient dès le départ ? Je connais aussi une autre personne qui a attendu 40 ans pour en parler. Je suggère à certain d'aller parler de tout ça avec des professionnels et d'apprendre d'eux plutôt que de partir de leur propres fausses certitudes.
Bien sur que cela peut être long ... Nous vivons une période ou des verrous sautent ... Cela incite ceux qui n'ont pas parlé à le faire ...
Pour autant je ne suis pas sûre de cet effet libérateur qu'ils espèrent.
Pas plus sure que cela n'arrivera plus !
J'ai bien aimé la jeune patineuse qui expliquait ce que lui on dit ses parents elle le disait avec conviction : mon corps m'appartient personne n'a le droit de le toucher si je ne le veux pas !
Le rôle des parents est important.
un témoignage important également c'est celui qui explique à quel point un jeune est coincé entre un entraîneur qui a des gestes déplacés au départ va plus loin ensuite ... MAIS la conduit vers un but qu'elle s'est fixé ... Les parents qui lui dit écoute ton entraineur il veut ton bien ! l'enfant est perdu(e) il (elle) veut aussi avancer dans son sport ... elle est coincée dans toutes ces exigences. L'acte de soumission qu'elle a eu reste un monde entre parenthèse, son secret, d'autant plus que les abuseurs sexuels en jouent de ce secret...