Lance Armstrong déchu de ses 7 titres sur le tour de France

[politicien]

Ben non durant les 7 ans, le palmarès sera vierge.

[Golgoth]

Ils vont lui enlever les titres mais ne les donneront pas aux seconds. Prudhomme a déclaré qu'il y avait eu trop d'affaires. Ce sera des tours sans vainqueur.

[merlin]

Ha OK, donc pour amstrong, l'essentiel est sauvé, il garde son fric .... icon_cheesygrin

Finalement, il a eu raison de se doper ....

[Golgoth]

A mon avis, il va devoir rembourser mais ça promet de longs procès en perspective...

[Georges]

Quoi qu'ils fassent, ils n'enlèveront pas dans l'idée des gens qu'il a remporté 7 fois le tour de France. Cela ne me gêne en rien qu'il était dopé. Tous les coureurs l'étaient, ils étaient à égalité, et Amstrong fut le meilleur.

[politicien]

Bonjour,

Nike rompt avec Lance Armstrong. L'équipementier sportif a annoncé mercredi avoir mis fin à son contrat avec le cycliste, convaincu de dopage. « En raison de preuves apparemment rédhibitoires sur le fait qu'il s'est dopé et a trompé Nike pendant plus de dix ans, c'est avec une grand tristesse que nous avons mis fin à notre contrat avec lui », a indiqué l'entreprise dans un communiqué. Nike « ne tolère en aucune manière l'utilisation de médicaments qui permettraient d'améliorer les performances de manière illégale », ajoute le texte.

L'équipementier sportif continuera néanmoins à soutenir Livestrong, la fondation contre le cancer créée par Lance Armstrong en 1997 après qu'il eut vaincu la maladie... et dont il vient d'abandonner la présidence. « Aujourd'hui, pour épargner à la fondation les effets négatifs liés à la controverse entourant ma carrière cycliste, je mets fin à mes fonctions de président », a indiqué le septuple vainqueur du Tour de France -entre 1999 et 2005-dans un communiqué.
(...)

L'intégralité de cet article sur Les Echos.fr

[johanono]

Quoi qu'ils fassent, ils n'enlèveront pas dans l'idée des gens qu'il a remporté 7 fois le tour de France. Cela ne me gêne en rien qu'il était dopé. Tous les coureurs l'étaient, ils étaient à égalité, et Amstrong fut le meilleur.

Au contraire, dans l'esprit de beaucoup de gens, le nom d'Armstrong restera associé à la triche.

[Golgoth]

Mouais, le système mis en place par son équipe (et sans doute aussi celle des Telekom) étaient quand même le cran au dessus du dopage, ils te transformaient des rouleurs quelconques en rouleur-grimpeurs-équipiers de folie... De la triche chirurgicale.

[politicien]

Bonjour,

L’Union cycliste internationale (UCI) est sur le point d’officialiser lors d’une conférence de presse à 13 heures, sa décision après l’examen du rapport transmis par l’Agence américaine antidopage au sujet de Lance Armstrong.

Selon nos informations, la Fédération internationale va accepter les sanctions proposées par l’Usada et donc suspendre à vie le coureur américain et surtout l’effacement de son palmarès. Ainsi le Texan va perdre le crédit de ses sept victoires sur le Tour de France.

L’UCI confirme qu’elle ne fera pas appel devant le Tribunal arbitral du sport.

Le Parisien.fr

Qu'en pensez vous ?

[Lucas]

Et les autres ? non parce que tant qu'à faire le ménage autant le faire complètement, j'ai l'impression qu'on se sert d'Armstrong pour nettoyer en surface le cyclisme. C'est plus profond que cela.

[johanono]

Et les autres ? non parce que tant qu'à faire le ménage autant le faire complètement, j'ai l'impression qu'on se sert d'Armstrong pour nettoyer en surface le cyclisme. C'est plus profond que cela.

Le cyclisme fait beaucoup plus d'efforts que tous les autres sports pour lutter contre le dopage. Par exemple, de nombreux sports ne pratiquent pas encore le dépistage de l'EPO, le dépistage des transfusions homologues, ou les contrôles anti-dopage en dehors des périodes d'entraînement. Si tous ces sports pouvaient faire autant d'efforts que le cyclisme, ce serait déjà bien.

Le problème, avec Armstrong, c'est qu'il a manifestement bénéficié, à une certaine époque, de la complicité de certains dirigeants de l'UCI : contrôle anti-dopages annoncés à l'avance, etc.

[politicien]

Est-ce que tout cela n'arrive pas un peu tard ?

[johanono]

Un peu tard, en effet. Rattrapons-nous à l'idée qu'il vaut mieux tard que jamais.

[johanono]

Cyclisme : les «affaires» n'inquiètent pas les sponsors

En dépit des déboires de Lance Armstrong et du retrait de Rabobank, tous les partenaires français ont réaffirmé leur engagement dans le cyclisme. Selon les experts, leur notoriété devrait être renforcée par ces scandales.

suite

Notoriété renforcée par les scandales. Si les sponsors voient les choses de cette façon, tant mieux pour le cyclisme...

[politicien]

Bonjour,

Le mythe Armstrong n'est plus. Lundi, l'Union cycliste internationale (UCI) a en effet suivi les recommandations de l'agence américaine antidopage (Usada) en rayant des tablettes l'ancien coureur cycliste. En prime, l'ancienne gloire du vélo a été radiée à vie, de manière à ce qu'aucune responsabilité dans le milieu cycliste ne lui incombe. Pourtant, à Lausanne, lors de l'annonce de sa décision, l'UCI s'est livrée à un étrange numéro de funambule.

En effet, la fédération internationale reconnait la validité du travail colossal réalisé par l'Usada, détaillé point par point dans un document de plus de mille pages (échanges d'e-mails, témoignages, analyses sanguines, etc.). Sauf que ce rapport, même s'il n'accuse pas directement l'UCI, met en évidence le rôle joué par l'instance lors des années Armstrong. D'après les conclusions de l'agence américaine, il apparait tout bonnement impossible que Lance Armstrong ait agi seul, dans le dos de l'UCI.

(...)

Vraisemblablement, l'UCI n'a en rien facilité le travail des enquêteurs dans le dossier Armstrong. Le rapport de l'Usada met en effet en lumière certaines querelles entre l'AMA (l'Agence mondiale antidopage) et l'UCI. Un antagonisme de longue date qui s'est traduit par une profonde et célèbre inimitié entre les deux patrons de l'époque - Dick Pound (président de l'AMA de 1997 à 2007) et Hein Verbruggen (président de l'UCI de 1991 à 2005). Le premier a toujours reproché à la fédération internationale de ne pas favoriser la lutte contre le dopage. Des bâtons dans les roues dont s'est aussi plainte l'Agence française de lutte antidopage (AFLD), lors du Tour de France 2009. Dans un rapport révélé par Le Monde, l'AFLD pointe du doigt le laxisme et la complaisance des agents de l'UCI chargés de réaliser les tests antidopages lors de la Grande Boucle.

L'UCI est consciente de ces accusations en filigrane et a donc souhaité faire amende honorable lors de l'annonce des sanctions infligées à l'Américain. "Lance Armstrong n'a pas sa place dans le cyclisme. C'est la pire crise que le vélo ait jamais traversée", a lancé Pat McQuaid, le président de l'UCI. Pour autant, dès qu'il s'est agi du rôle joué par l'UCI à l'époque des faits, le grand patron du cyclisme mondial a botté en touche : "Il n'y avait rien à couvrir. Ces accusations sont fausses. Il n'y a jamais eu de contrôle positif de la part de Lance Armstrong et rien dans le rapport de l'Usada ne met en cause mon prédécesseur, Hein Verbruggen." Visiblement, l'actuel responsable de l'UCI n'a pas lu la totalité des mille pages de documents et annexes.
Favoritisme ?

La ligne de défense de l'Union cycliste internationale n'a rien d'étonnant. Car, en période de crise, un seul principe prévaut : "Sauve qui peut !" Alors, même si la fédération a toujours soutenu Lance Armstrong contre vents et marées, elle ne pouvait plus afficher un soutien inconditionnel à l'Américain sans se décrédibiliser auprès de l'opinion publique. Elle qui était si critique envers l'Usada il y a encore quelques semaines (1) a brusquement changé son fusil d'épaule. Sans pour autant cracher dans la soupe. En effet, les relations d'amitié entre Lance Armstrong et l'ancien président Verbruggen sont de notoriété publique et il apparait difficilement concevable, au vu du rapport de l'Usada, que le Néerlandais n'ait jamais eu vent des agissements de son protégé.

Et il aurait été tout aussi étonnant que Pat McQuaid désavoue son prédécesseur - qui siège toujours à l'UCI en tant que président d'honneur et qui est loin d'être étranger à son élection en 2005 - ou évoque, ne serait-ce que du bout des lèvres, un quelconque rôle joué par l'UCI lors de la précédente mandature.

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L'intégralité de cet article à lire sur Le Point.fr

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