Nouvelle question de la semaine, elle porte sur le Président de la République, avant de vous la poser, voici un extrait d'article :
La question de la semaine : Après un an de présidence, selon vous quel est le bilan de François Hollande ?François Hollande a accordé cette semaine un entretien avec des journalistes d'agences de presse afin de faire le bilan d'un an de présence à l'Élysée. Il a défendu son action, mis en avant sa lucidité et sa responsabilité dans la période de crise "exceptionnelle" qu'il dit affronter avec persévérance. "J'ai accédé à la présidence de la République dans une période exceptionnelle. Exceptionnelle au plan économique : une crise longue, une récession en Europe, un chômage à un niveau historique. Exceptionnelle parce que j'ai été amené à engager la France au Mali. Exceptionnelle parce que le populisme s'est installé, pas seulement en France, mais partout en Europe", a-t-il expliqué. "Je prends la mesure de cette gravité, c'est le devoir du président de la République que de tenir bon et de voir plus loin par-delà les tempêtes d'un moment. Ça s'appelle la persévérance", a-t-il poursuivi.
Un an après son élection avec 51,46 % des voix, c'est l'heure d'un premier bilan pour le chef de l'État, tôt décrit comme un président "normal" par contraste avec son prédécesseur Nicolas Sarkozy et aujourd'hui plombé par une cote de confiance très basse, autour de 25 % dans la plupart des sondages. Une impopularité que le président socialiste dit assumer, en attendant les résultats de la politique engagée depuis un an, notamment contre un chômage record dont il a fixé comme objectif d'inverser la courbe d'ici fin 2013. "Seuls les résultats comptent. Et il ne peut y avoir de subterfuge par la parole ou l'artifice. J'ai pris des engagements. Je serai jugé là-dessus", résume-t-il. "Je n'exonère pas les responsabilités passées dans la situation que j'ai trouvée, elles sont lourdes, mais les Français, eux, quand une élection est intervenue, ils jugent le président, pas le précédent".
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