Message non lu
par wesker » 22 juil. 2015, 12:56:33
Le projet la réalité de la construction européenne oblige les diverses familles politiques à rechercher, en Europe des alliances, ce qui conduit donc à proposer des politiques qui correspondent, aussi, aux attentes et discussions avec nos partenaires, par conséquent, il est illusoire et démagogique de promettre des politiques radicalement alternative et en rupture avec les autres pays européens. En revanche, naturellement, la politique unique, à laquelle nous devrions nous résigner, en prenant modèle l'Allemagne et sa conception de l'austérité ne me paraît pas être une fatalité, et des alternatives existent.
Tsipras fut élu sur un projet alternatif, irréaliste et a dû réviser ses positions, à ceci près, quand même que la poursuite avec les majorités précédentes se traduisirent par un effondrement de la production et l'appauvrissement de nombreux grecs. Il dû, ensuite se heurter aux réalités et réviser ses positions, ce qui implique de faire preuve de responsabilité, lors des campagnes, mais les orientations de Tsipras et l'expression démocratique ont, tout même assuré à la Grèce des fonds pour l'investissement structurel dans l'économie et une restructuration, devenue indispensable de l'endettement de ce pays, en contrepartie de réformes et d'austérité qui, aussi douloureuses soient elles, furent l'exigence à défaut d'un destructeur blocus financier.
)
