Pour cette question de la semaine, je vais vous poser une question sur Daech que m'a fortement un post de nombrilist, avant de vous la poser, voici quelques extraits d'articles :
La France va-t-elle s'impliquer davantage dans la guerre contre Daech? C'est en tout ce qu'indique Le Monde ce samedi 5 septembre en affirmant que François Hollande n’exclut plus de mener des frappes en Syrie contre l’Etat islamique. "Le sujet a été abordé lors d’un conseil restreint de défense réuni par le président François Hollande, vendredi 4 septembre au matin, sur la crise syrienne" précise le journal, alors que cette éventualité était jusqu'à présent totalement écartée côté français. "La décision est prise", affirme même un expert cité par Le Monde.
Paris limitait en effet à l’Irak sa participation à la campagne aérienne menée contre l’EI, avec une place qualifiée par l’état-major "d’équipier" dans la coalition militaire dirigée par les Etats-Unis. En Syrie, la France fournit conseils et armes aux rebelles "modérés".
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http://www.challenges.fr/politique/2015 ... syrie.html
L'ex-Premier ministre Alain Juppé (Les Républicains) s'est prononcé en faveur de frappes aériennes contre le groupe Etat islamique (EI, Daech) en Syrie, mais contre une intervention au sol.
"Je suis favorable à l'extension des frappes aériennes qui existent aujourd'hui en Irak, dans le cadre d'une coalition, en territoire syrien", a affirmé le maire de Bordeaux au Grand Rendez-Vous Europe 1/Le Monde/iTELE.
"Aujourd'hui, devant la menace que constitue Daech, il faut étendre ces frappes aériennes", a-t-il insisté.
"J'ajoute simplement que leur efficacité est limitée, on le voit bien aujourd'hui en Irak: cela a permis tout juste de stabiliser la situation et pas réellement de faire reculer Daech", a-t-il observé.
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http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direc ... ennes.html
Faut-il entrer en guerre totale contre Daech ?[/b]En Syrie, comme en Irak, Daech ne renonce pas à la capitale Damas, où certains de ses éléments sont présents depuis plus d'un an dans le faubourg d'Hajar al-Aswad.
Entre 20.000 et 30.000 combattants dispersés entre la Syrie et l'Irak, c'est-à-dire autant qu'il y a un an au début des frappes de la coalition. Cette récente estimation des renseignements américains souligne l'incroyable résilience de Daech. En douze mois pourtant, quelque 10.000 djihadistes auraient été tués, mais l'État islamique (EI) en a attiré à peu près autant, venus de quelque 80 pays. Et grâce à leur omniprésence sur les réseaux sociaux, les volontaires arrivés en Syrie et en Irak peuvent toujours actionner des «djihadistes sédentaires» en Europe ou ailleurs.
Certes, l'EI a subi des revers à travers son califat irako-syrien autoproclamé. Les bombardements de la coalition ont considérablement réduit leurs déplacements en convois. Une partie de la population, épuisée par la terreur que Daech lui impose, renseigne davantage les autorités irakiennes ou américaines, facilitant ainsi la liquidation de plusieurs des chefs djihadistes. Sans oublier la baisse de leurs ressources pétrolières, du fait là encore des frappes contre des raffineries passées sous leur contrôle. Mais dans l'Ouest irakien, Daech capitalise toujours sur la marginalisation des sunnites qui l'abritent, bon gré mal gré, ainsi que sur les débordements des milices chiites, omniprésentes contre les djihadistes.
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http://www.lefigaro.fr/international/20 ... amique.php
*guerre totale, je pense aux troupes au sol notamment.