L'emploi, priorité N°1 des français, et pour vous ?
- politicien
- Site Admin
- Messages : 34347
- Enregistré le : 30 août 2008, 00:00:00
- Compte Twitter : @LActuPolitique
Bonjour,
L'emploi, priorité N°1 des français, et pour vous ? Le chômage est la première priorité des Français (81%), devant le système social (73%) et le pouvoir d'achat (68%), loin devant l'insécurité (49%) qui n'arrive qu'en 7e position, relève un sondage Harris Interactive pour RTL. Les sympathisants de droite mettent surtout l'accent sur la croissance économique (70%), les déficits publics (66%) et l'insécurité (60%) alors que les sympathisants de gauche insistent davantage sur les dossiers plus sociaux : l'emploi (89%), le système social (84%), les inégalités sociales (79%) ou encore la dépendance (49%). Les sympathisants écologistes font logiquement de l'environnement un dossier prioritaire (65%) mais seulement en 5e position. A plus tard,
L'emploi, priorité N°1 des français, et pour vous ? Le chômage est la première priorité des Français (81%), devant le système social (73%) et le pouvoir d'achat (68%), loin devant l'insécurité (49%) qui n'arrive qu'en 7e position, relève un sondage Harris Interactive pour RTL. Les sympathisants de droite mettent surtout l'accent sur la croissance économique (70%), les déficits publics (66%) et l'insécurité (60%) alors que les sympathisants de gauche insistent davantage sur les dossiers plus sociaux : l'emploi (89%), le système social (84%), les inégalités sociales (79%) ou encore la dépendance (49%). Les sympathisants écologistes font logiquement de l'environnement un dossier prioritaire (65%) mais seulement en 5e position. A plus tard,
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
Le débat ne s'arrête jamais sur Actu-Politique
- Nombrilist
- Messages : 63371
- Enregistré le : 08 févr. 2010, 00:00:00
Sauf que parfois, c'est à la demande de l'employé lui même. Bon, pas à chaque fois, je te l'accorde.Nombrilist a écrit : ça dépend. Ma priorité à moi, c'est l'emploi, mais un emploi qui permette de vivre décemment, et pas un mi-temps qui empiète sur 5 jours.
Maintenant que j'habite en province, je suis devenu peace and love. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ( surtout les descendants d'immigrés des cités que j'adore dorénavant )
- Nombrilist
- Messages : 63371
- Enregistré le : 08 févr. 2010, 00:00:00
Lucifer, ce que je veux dire, c'est que dans la bouche de nos politiques, l'emploi, le travail, est une priorité. Moi je dis d'accord. Mais de quel genre de travail parle-t-on ? Travailler juste pour travailler et dire qu'il n'y a pas de chômeur chez nous ? Ou travailler pour avoir de quoi gagner sa vie ?
Je pense que les deux sont importants. Quand j'étais au chômage, je ne manquais de rien puisque mon mari travaillait. Toutefois, l'inactivité finissait par me peser, je me sentais inutile et c'était très frustrant. Avec un salaire de plus à la maison, la vie est certes, plus confortable, mais c'est surtout d'avoir une vie autre, que celle de mère de famille et d'épouse, qui m'apporte l'épanouissement total.Nombrilist a écrit : Lucifer, ce que je veux dire, c'est que dans la bouche de nos politiques, l'emploi, le travail, est une priorité. Moi je dis d'accord. Mais de quel genre de travail parle-t-on ? Travailler juste pour travailler et dire qu'il n'y a pas de chômeur chez nous ? Ou travailler pour avoir de quoi gagner sa vie ?
c'est intéressant les 3/4 posts au dessus.
Ce n'est pas critiquable mais cela crée des effets pervers. L'emploi s'adresse à tout le monde y compris ceux qui n'en ont pas réellement besoin pour vivre et qui donc se satisfont de peu ... pour peu qu'ils soient occupés.
l'effet .... c'est les postes aménagés, les bas salaires et la précarité. Il y a de la demande, donc il y a de l'offre.
ça dépend. Ma priorité à moi, c'est l'emploi, mais un emploi qui permette de vivre décemment, et pas un mi-temps qui empiète sur 5 jours.
La dualité du chomage est bien représentée ici.
Je pense que les deux sont importants. Quand j'étais au chômage, je ne manquais de rien puisque mon mari travaillait. Toutefois, l'inactivité finissait par me peser, je me sentais inutile et c'était très frustrant.
Ce n'est pas critiquable mais cela crée des effets pervers. L'emploi s'adresse à tout le monde y compris ceux qui n'en ont pas réellement besoin pour vivre et qui donc se satisfont de peu ... pour peu qu'ils soient occupés.
l'effet .... c'est les postes aménagés, les bas salaires et la précarité. Il y a de la demande, donc il y a de l'offre.
- wesker
- Messages : 32008
- Enregistré le : 18 mai 2009, 00:00:00
- Localisation : Proche de celles et ceux qui vivent dans le pays réel
Pour moi ainsi que la formation que je défend, l'emploi constitue une priorité.
Mais évidemment, tout les thèmes sont liés, par conséquent, nous devons développer notre projet économique, social, sécuritaire, européen avec pour objectif la resolution des difficultés que les français rencontrent, dans leur quotidien !
Mais évidemment, tout les thèmes sont liés, par conséquent, nous devons développer notre projet économique, social, sécuritaire, européen avec pour objectif la resolution des difficultés que les français rencontrent, dans leur quotidien !
- Ilikeyourstyle
- Messages : 4387
- Enregistré le : 06 déc. 2010, 00:00:00
- Localisation : La Perle
- Contact :
Pour moi perso, un niveau élevé d'emploi est fondamentalement important.
Par contre, au niveau gouvernemental et sociétal, l'emploi n'est pas une priorité. Ce qui est une priorité c'est de se faire réélire, et s'il n'y a pas d'emploi, on donne de l'assistanat, du pain et des jeux (télévisés). icon_cool
Par contre, au niveau gouvernemental et sociétal, l'emploi n'est pas une priorité. Ce qui est une priorité c'est de se faire réélire, et s'il n'y a pas d'emploi, on donne de l'assistanat, du pain et des jeux (télévisés). icon_cool
Ca me rappelle la philosophie au lycée, où on étudiait la notion de "travail"...
La prof nous affirmait que le travail était une façon d'exister, elle disait un truc du genre que sans travail (ou emploi) on reste chez soi, on ne fait rien, et on n'existe pas... lol
Les chômeurs n'existent donc pas icon_cheesygrin
La prof nous affirmait que le travail était une façon d'exister, elle disait un truc du genre que sans travail (ou emploi) on reste chez soi, on ne fait rien, et on n'existe pas... lol
Les chômeurs n'existent donc pas icon_cheesygrin
Ce n'est pas faux ce qu'affirmait ton prof. Par exemple je sais que les dirigeants ont souvent plus de mal à décrocher du travail que les ouvriers, et une fois à la retraite, les dirigeants ont bien plus de mal à accepter la perte de leur statut que les ouvriers. Quant aux chômeurs, je n'en connais pas beaucoup qui sont fiers de leur situation, et leur plus grande frustration, est justement de ne pas avoir d'identité professionnelle.Emmanuel a écrit : Ca me rappelle la philosophie au lycée, où on étudiait la notion de "travail"...
La prof nous affirmait que le travail était une façon d'exister, elle disait un truc du genre que sans travail (ou emploi) on reste chez soi, on ne fait rien, et on n'existe pas... lol
Les chômeurs n'existent donc pas icon_cheesygrin
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré