L'unité affichée du PS va t'elle durer ?
Le Monde, Libération, Le Nouvel Obs, L'Humanité, sont de gauche. Pas forcément socialistes, mais de gauche. De toute façon, il faut avoir conscience que la plupart des gens de gauche trouvent que les media sont trop à droite, et la plupart des gens de droite trouvent que les media sont trop à gauche. En plus, il me semble également que les media français évoquent beaucoup les divisions à droite entre Sarkozy, Fillon et Copé. Ce n'est donc pas une question de gauche ou de droite, mais d'effets de mode.
C'est un peu comme le conflit israélo-palestinien : les pro-Israéliens trouvent que les media sont trop pro-Palestiniens, et les pro-Palestiniens trouvent que les media sont trop pro-Israéliens. Dans ces cas, on peut penser que la vérité est entre les deux.
C'est un peu comme le conflit israélo-palestinien : les pro-Israéliens trouvent que les media sont trop pro-Palestiniens, et les pro-Palestiniens trouvent que les media sont trop pro-Israéliens. Dans ces cas, on peut penser que la vérité est entre les deux.
La France est un pays extraordinaire ,ou les gens pleurent quand ils n'ont pas de patron et râlent quand ils en ont un.
En fait c'est pas du boulot que vous voulez mais un chèque tous les mois sans regarder de trop près si vous en etes dignes!! icon_mrgreen
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http://compte-a-rebours-francois-hollande.fr/
Le défaut du capitalisme c'est qu'il répartit inégalement la richesse; la qualité du socialisme c'est qu'il répartit la misère équitablement.
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c'est bien ce que je me disais! icon_biggrin
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Bonjour,
Revenons au sujet, voici un article de l'express qui colle sujet :
Revenons au sujet, voici un article de l'express qui colle sujet :
Mais où est passé le PS, celui que l'on connaît, avec toutes ses divisions, ses concours de petites phrases et ses affrontements d'ego? Depuis une semaine, et la présentation de son projet présidentiel, le parti socialiste affiche son unité. Pas une critique frontale dans les médias, à peine un haussement d'épaules de Gérard Collomb, pourtant toujours prêt à faire entendre sa voix. Brouillé avec Martine Aubry sur fond de charge contre la fédération PS des Bouches-du-Rhône, Arnaud Montebourg s'est également montré plutôt bienveillant avec ce programme: "Le travail entrepris par le Parti socialiste a, de mon point de vue, abouti à une sensible amélioration de sa pensée, de sa vision et de ses projets pour la France." Comment expliquer cet esprit de concorde dans lequel baigne Solférino? D'abord par le contexte politique. L'UMP est au bord de l'implosion, tiraillée entre son aile centriste et les tenants d'une droite sécuritaire. En faisant bloc, le PS prend à contre-pied son adversaire. Tout le monde dans le même bateau De l'autre côté de l'échiquier politique, à gauche, les socialistes ont également tout intérêt à rester unis. Parce que tous les partis, adversaires mais futurs alliés, ont critiqué, parfois vertement, le projet socialiste. Cécile Duflot a qualifié certaines mesures "d'étonnantes", Jean-Pierre Chevènement a exprimé ses "doutes", et Jean-Luc Mélenchon a jugé le projet "ni socialiste, ni réaliste". Mieux vaut, dans cette adversité, serrer les rangs. L'autre explication à cette belle unité tient dans le rôle de Martine Aubry. La première secrétaire a pris soin d'associer à la rédaction du projet l'ensemble des ténors socialistes et leurs proches. "Tout a été fait pour que tout le monde soit entendu, explique Benoît Hamon. Sans tout ce travail, on n'en serait pas là aujourd'hui." Surtout, en s'entourant de toutes les sensibilités, Martine Aubry s'est assurée leur soutien. Difficile de participer à la rédaction du programme pour le dézinguer le jour suivant. Et la première secrétaire veut creuser le sillon de l'oecuménisme. Dans les prochaines semaines, les cadres du PS vont entamer un tour de France pour "populariser", comme le dit Benoît Hamon, le projet PS. On y retrouvera Jean-Marc Ayrault, Laurent Fabius, Vincent Peillon, Henri Emmanuelli, Martine Aubry,... Soit l'ensemble des sensibilités socialistes. Aubry sacrifie son projet pour l'unité De cette rédaction à multiples mains, la patronne du parti a également veillé à conserver les idées-forces de chacun, empêchant ainsi qu'un socialiste ne puisse jeter tout le document à la corbeille. Ségolène Royal a "sa" banque publique d'investissements, l'aile gauche l'une des mesures pourtant décriée du texte "Egalité réelle" (l'attestation de contrôles d'identité), François Hollande la forte place donnée à la jeunesse. Surtout, la maire de Lille n'a pas hésité à affaiblir son propre projet pour recueillir l'assentiment de ses camarades. Elle a ainsi répété que "chaque candidat pourrait mettre l'accent sur telle ou telle partie, aller plus loin sur certains sujets", que ce programme n'était finalement qu'un "socle commun". Chaque camp a bien reçu le message. Chez Royal, par exemple: "Ce n'est pas un projet cadenassé, mais un socle commun. Chaque camp se différenciera au moment de la campagne pour la primaire", assure Dominique Bertinotti, maire du 4e arrondissement de Paris. Pas un projet donc, mais une base de travail. Dès lors, cela vaut-il le coup d'apparaître comme le diviseur du PS pour un simple ensemble de mesures, dans lequel les candidats à la primaire feront leurs courses? Les socialistes ont répondu non. En choeur.
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- wesker
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L'unité du PS va t-elle durer ? La question qu'il faut se poser est de savoir si cette unité a vraiment existé un jour.
Quand je constate les différences, profondes voire irréconciliables qui se cotoient au sein d'une même formation politique pour des raisons électoralistes, je m'intérroge sur la capacité de cette formation à gérer de manière uni le pays.
Soyons clair, le PS est un instrument qui permets à des personnes, peut être sincères au départ mais carriériste ensuite, à accèder aux strapontins. Et cela malheureusement s'arrête là. Les vrais militants socialistes, ceux qui y croient et se battent pour davantage de justice sociale finance une boutique qui permets à ses dirigeants d'accèder au pouvoir pour ensuite defiscaliser les objets d'arts, abandonner au privé certaines entreprises, pourtant rentables ou metre en application des directives ultra libérale de l'Union Européenne qu'ils ont approuvé !
Quand je constate les différences, profondes voire irréconciliables qui se cotoient au sein d'une même formation politique pour des raisons électoralistes, je m'intérroge sur la capacité de cette formation à gérer de manière uni le pays.
Soyons clair, le PS est un instrument qui permets à des personnes, peut être sincères au départ mais carriériste ensuite, à accèder aux strapontins. Et cela malheureusement s'arrête là. Les vrais militants socialistes, ceux qui y croient et se battent pour davantage de justice sociale finance une boutique qui permets à ses dirigeants d'accèder au pouvoir pour ensuite defiscaliser les objets d'arts, abandonner au privé certaines entreprises, pourtant rentables ou metre en application des directives ultra libérale de l'Union Européenne qu'ils ont approuvé !
- wesker
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Pas vraiment non. Parfois on perd son job, on subit souvent des persécutions (fiscales) en raison de candidature au nom du mouvement national injustement accusé d'extrémisme, de racisme et autres, on se fait insulter....
Alors sincèrement, je ne pense pas qu'on puisse comparer.
En revanche, il est vrai qu'avec Marine Le Pen, ces accusations n'étant guère crédible, la situation a tendance à s'améliorer sensiblement !
Alors sincèrement, je ne pense pas qu'on puisse comparer.
En revanche, il est vrai qu'avec Marine Le Pen, ces accusations n'étant guère crédible, la situation a tendance à s'améliorer sensiblement !
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Au FN, on fait carrière dans le parti.wesker a écrit :Pas vraiment non. Parfois on perd son job, on subit souvent des persécutions (fiscales) en raison de candidature au nom du mouvement national injustement accusé d'extrémisme, de racisme et autres, on se fait insulter....
Alors sincèrement, je ne pense pas qu'on puisse comparer.
En revanche, il est vrai qu'avec Marine Le Pen, ces accusations n'étant guère crédible, la situation a tendance à s'améliorer sensiblement !
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Le dernier congrès avec ses luttes d'influence en sont un exemple parmi d'autres...wesker a écrit :Ah bon ? TU m'en diras tant
A quoi servent les responsabilités de circonscription ? Les délégations ? C'est vrai que dans les grandes formations, on s'étripe pour ses titres ronflants permettant ensuite d'obtenir un poste çà et là, mais au FN....
Pour ce qui est du PS, compte tenu du cas DSK, ça va être difficile de maintenir l'unité à moins qu'il choisisse de se désister ce qui aura un effet positif car ça va tirer le PS sur sa gauche mais le pénaliser électoralement (2 à 4% selon les sondages actuellement). La question reste l'ouverture du futur gouvernement au FdG ce qui peut encore fissurer l'unité du PS car il n'y aura pas assez de place pour tout le monde au moment où le modéré PRG redémarre doucement, notamment en Normandie et dans le Nord Pas de Calais...
- wesker
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Georges a écrit :mais au FN.... On est roi depère en fille.
Ce sont les adherants qui l"ont démocratiquement élu....C'est la démocratie qui a choisi, elle n'a nullement bénéficié d'un adoubement, les adhérants avaient le choix entre deux lignes et ils ont choisi celle que proposait Marine Le Pen. Au lendemain, les nationaux ont décidé, collectivement de poursuivre le travail ensemble et au travers l'attitude de Bruno Gollnisch montrèrent l'exemple face à des petites phrases ou des coups tordus que se livrent nombre de responsables politiques des autres formations.
Concernant l'unité du PS, je pense au contraire que DSK aura beaucoup de mal à préserver l'unité de sa formation si c'est lui qui est investi, tant ses positions, ses actes en tant que directeur du FMI et les doutes de positionnement de son parti sont importants. Je pense de plus qu'il aura beaucoup de mal à travailler avec les éventuels partenaires de la gauche (imaginez Mélenchon et Duflot travaillant avec DSK....)
La démocratie interne aux partis, quelle modèle de vertu !
Ce n'est pas spécifique au FN, mais les élections internes aux partis sont le lieu de manipulations, de tractations etc... Tout est préparé à l'avance.
Ce n'est pas spécifique au FN, mais les élections internes aux partis sont le lieu de manipulations, de tractations etc... Tout est préparé à l'avance.
Dans une discussion, le difficile, ce n'est pas de défendre son opinion, c'est de la connaître.
André Maurois
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