La crise de la dette et de la zone euro, l'effondrement des des marchés, cela vous fait il peur ?

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Cobalt

Message non lu par Cobalt » 08 août 2011, 09:59:00

un artisan a écrit : L'effondrement des marchés se produira tôt ou tard, car le systême n'est pas viable tout simplement. Le fait que l'industrie dorénavant ne soit que le privilège de pays émergents a créé un déséquilibre important ,obligeant les pays occidentaux à ne plus avoir comme moyen de continuer à s'enrichir, qu'à utiliser une spéculation financière à défaut de produire, leur volonté de rendement à fait qu'ils ont investi en masse dans des pays où la main d'oeuvre était nettement moins chère,au détriment de nos emplois évidemment..Qui dit perte d'emplois ,induit perte de pouvoir d'achat ,perte de revenus fiscaux, inéluctablement cela conduit les pays à s'endetter ,cette dette ne pouvant que conduire à leur perte...
Marx l'avait fort bien décrit : le capitalisme porte en lui même les propres germes de sa disparition...
Si j'avais dû dire ou pu les dire c'est comme cela que je l'aurai fait.

Tout le monde perdra,en allocation,en perte d'emploi et ceux qui n'ont rien,auront toujours trop selon comme ça tourne,les HLM pour les gens du voyage ne sont déjà pas suffisant alors,tout le monde perdra,et en tous cas vous ne serez pas la priorité du FN.

un artisan
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Message non lu par un artisan » 08 août 2011, 10:26:00

Actuellement nous n'avons que des informations parcellaires sur l'état des marchés, car d'une part nous sommes tous béotiens en la matière ,mais aussi par le fait qu'aucune projection sur la possibilité d'un clash bancaire et financier n'existe. Nos économistes pour la plupart forts en g..... mais totalement incompétents se gardent bien d'analyser les conséquences ....
Agir c'est prévoir, nous a t'on rabaché, il y a certes plus de 40 ans mais cela me semble encore d'actualité...Basiquement je n'ai que l'expérience de la gestion d'une société privée, mais par contre en comparant ,je suis persuadé qu'un endettement record de 87 % du PIB ( analogue au CA) auquel il faut ajouter le déficit résultant du delta négatif esport import, ne peut se solder tôt ou tard par une cessation de paiement généralisée....Artificiellement ,certes les banques ont été sauvées ,mais cela ne peut être que temporaire, car les causes de leurs déficits existent encore pleinement et nos pays ne sont plus aptes à y faire face.... 
Démocratie :le pouvoir pour les poux de manger les lions Clémenceau

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 08 août 2011, 11:02:00

Rien à ajouter de ce point de vue ,je pense comme toi.

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wesker
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Message non lu par wesker » 08 août 2011, 11:25:00

La crise des dettes souveraines en Europe est inquiètante car ses conséquences s'étendront aux emplois, aux prix etc...Et ne pas  la craindre reflète peut être la méconnaissance des mécanismes économiques qui y sont liés. Contrairement à ce que croit les front de gauche, eux aussi devront payer au travers l'inflation qui en découlera. Or, depuis des années, hormis l'Allemagne, aucun pays de l'Europe n'a entrepris de réelle réformes structurelles indispensables à la préparation de l'économie pour faire face à cette crise, que seul le FN, sous les ricanements et les injures de ses détracteurs avait pourtant annoncé. Dès lors, aujourd'hui ces mesures s'imposeront dans la douleur et la précipitation au risque de fragiliser la timide reprise. Alors oui l'effondrement de l'euro, des marchés, est inquiètant et j'ajoute que l'euro implosera de lui même au motif de l'incapacité de certains Etats à participer au desendettement des pays européens.

L'Espagne et L'Italie, déjà fragilisés en dépit d'un PIB très important sur le plan européne doivent pourtant participer au financemnt du plan d'aide à la Grèce et je doute que cela soit réalisable au vu des conséquences sur la croissance des politiques d'austérité qui sont conduites.

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racaille
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Message non lu par racaille » 09 août 2011, 22:16:00

politicien a écrit :La crise de la dette et de la zone euro, l'effondrement des marchés, cela vous fait il peur ?
Il est irrationnel d'avoir peur de ce sur quoi nous n'avons aucune prise. Se ronger les sangs ne changera rien au cours des choses. Mieux vaut essayer de garder la tête froide, de n'exclure aucun scénario et de s'y préparer dans la mesure du possible.
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M

lancelot
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Message non lu par lancelot » 09 août 2011, 22:59:00

La peur est une vielle recette médiatique pour tenter de faire culpabiliser ceux qui n'y sont pour rien afin qu'ils soient prêts à consentir des efforts pour  que les mêmes oiseaux de mauvaise augure puissent en tirer profit par la suite.

Pas de pitié pour ces gens la. rentrez chez eux et piquez leur ce qu'il possède. Ils comprendront ce qu'est la vie.

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wesker
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Message non lu par wesker » 10 août 2011, 11:01:00

La peur est aussi la mère de la prudence. Aujourd'hui les discours rassurants sont anxiogènes car ils évitent de dire quelles seraient les conséquences de la poursuite de la dégradation, mais chacun sait qu'une crise ne peut durer éternellement et que sur le long terme, elles représentent des opportunités.

Mais les dettes souveraines devront bien être remboursée, les créanciers seront mis à contribution ainsi que les acteurs bancaires. Ces derniers ont provisionné ces éventuelles participation, mais je crois qu'effectivement, au lieu de s'emporter, comme chacun d'entre nous peut être tenté de le faire, il faut garder la tête froide et essayer de trouver des remèdes aux difficultés. Objectivement, acquérir de la dette européenne constitue, à ce jour, un placement assez peu risqué compte tenu des politiques conduites. Ces dernières ne visent qu'à satisfaire les inquiètudes des marchés, dès lors fiscaliser les spéculateurs, ceux qui perturbent le fonctionnement du marché semble être une piste à explorer.

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Message non lu par racaille » 10 août 2011, 15:21:00

Perso j'essaie de faire la différence entre la peur et la prudence. L'une est irrationnelle, elle prend aux tripes ; l'autre est raisonnée et calculée au mieux. L'une peut conduire à notre perte par la panique, l'autre permet la survie dans des circonstances hasardeuses. Je pense que la mère de la prudence n'est pas la peur mais le doute.
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M

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Message non lu par avatabanana » 10 août 2011, 19:39:00

lambertini a écrit : moi je n ai  rien a perdre , donc méme pas peur,  et méme un espoir , pour voir d autre valeurs que le frics
Pourquoi tu ne travailles pas ?

Car sinon ton job peu ou prou dépend du pouvoir d'achat des autres et donc de l'activité économique qui verse les salaires


A moins que tu sois au RSA ou en retraite ou fonctionnaire...

Mais attention dans une crise grave on ne paye plus ni le RSA (quand il existe) ni les retraites ni les fonctionnaires...

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avatabanana
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Message non lu par avatabanana » 10 août 2011, 19:41:00

lancelot a écrit : La peur est une vielle recette médiatique pour tenter de faire culpabiliser ceux qui n'y sont pour rien afin qu'ils soient prêts à consentir des efforts pour  que les mêmes oiseaux de mauvaise augure puissent en tirer profit par la suite.

Pas de pitié pour ces gens la. rentrez chez eux et piquez leur ce qu'il possède. Ils comprendront ce qu'est la vie.
Toujours le vieux rêve de la fin des années 1900


Piquons aux riches pour donner aux pauvres...


Sauf qu'il n'y a pas assez de riches car la pauvres sont nombreux.

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Message non lu par racaille » 11 août 2011, 00:12:00

Très bon article sur l'effondrement annoncé du système bancaire européen :
Temps de cochon pour les banques

09 août 2011 | Par Philippe Ries

Le premier résultat immédiat et concret, pour ne pas dire le seul à ce jour, du sommet extraordinaire de la zone euro le 21 juillet dernier à Bruxelles est l'avalanche de provisions dans les résultats trimestriels des banques européennes et internationales. Comme prévu (lire ici), les experts comptables ont eu gain de cause et le défaut «sélectif» de la Grèce est enregistré dans les comptes, avec de très lourdes pertes à la clef. Mais la République hellénique n'est que le sommet émergé de l'iceberg.

Les engagements des vingt banques les plus exposées au PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce et Espagne) par rapport à leurs fonds propres donnent le vertige, excédant les mille pour cent dans les cas les plus extrêmes. Ces données, que nous publions avec la complicité de Kenneth Courtis, de Themes Investment Managment (TIM), suffisent à expliquer pourquoi le marché interbancaire européen est de nouveau proche de la paralysie, comme aux heures les plus sombres de l'automne 2008, contraignant une nouvelle fois la Banque centrale européenne à jouer les pompiers tout en appelant les gouvernements, qui sont aux abonnés absents, à «faire leur travail».

Après un week-end d'anxiété, pour ne pas dire de panique, la BCE, en dépit des fortes résistances de l'Allemagne et de ses plus proches alliés, a dû se résoudre le 8 août à une nouvelle concession majeure, le rachat sur le marché secondaire des dettes italiennes et espagnoles. Le directoire de la BCE invoque pour justifier ce changement de pied les promesses de rectitude budgétaire faites par Silvio Berlusconi. Silvio Berlusconi! Peut-on tomber plus bas? La clef de cette capitulation prévisible (lire ici) n'est pas difficile à trouver: le système bancaire n'a tout simplement pas les moyens de faire face aux pertes colossales qui découleraient du basculement de l'Espagne, ou plus vraisemblablement de l'Italie, dans un destin à la grecque. Comme le relève Ken Courtis: «Qui est renfloué ici? La Grèce, l'Irlande, le Portugal? ... ou plutôt la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Espagne, l'Italie et tout spécialement leurs banques?»

L'avalanche des provisions sur la Grèce

Dans le tableau que nous publions, Royal Bank of Scotland (RBS) est la moins exposée, avec seulement (tout est relatif!) 175% de ses fonds propres investis auprès des PIIGS, dans la définition la plus rigoureuse (les actions ordinaires), alors que la moyenne des vingt banques examinées est supérieure à 500%.

Image

En valeur absolue, RBS détient sur la périphérie de la zone euro quelque 146 milliards de dollars de créances souveraines, pour des fonds propres stricto sensu de 83,6 milliards (et une capitalisation boursière de 61 milliards, avant les dernières turbulences boursières). RBS, nationalisée par le gouvernement britannique en raison des pertes colossales liées à la crise des «subprime» aux Etats-Unis, a dû passer, sur la seule Grèce, une provision de 733 millions de livres, conduisant au second trimestre 2011 à une perte consolidée de 897 millions de livres, contre un bénéfice de 257 millions un an plus tôt.

BNPParibas, premier établissement français dont l'exposition aux PIIGS atteint 358% du capital ordinaire (soit 281 milliards de dollars pour 35,8 milliards en actions ordinaires), a passé une provision de 550 millions d'euros sur la dette souveraine grecque, en retenant le pourcentage de défaut de 21% estimé par l'Institute for International Finance (IIF), ce lobby des principales banques basé à Washington dont les dirigeants européens ont avalisé sans broncher à Bruxelles le schéma de participation «volontaire» du secteur privé au «sauvetage» de la Grèce.

A noter que ce «hair cut» (décote) de 21% est discuté par certains économistes qui estiment que les banques font un «sacrifice» bien moindre qu'affiché (lire ici). En sens inverse, n'est prise en cause dans ce calcul que l'exposition directe, à l'exclusion des risques éventuels liés aux produits dérivés et autres risques de contrepartie d'ailleurs difficiles à évaluer précisément. En outre, limiter le risque grec à la seule dette souveraine est assez contestable. Sans compter un énorme secteur public, il est peu probable qu'un défaut de la Grèce n'ait pas d'impact sur la capacité de remboursement des emprunteurs privés.

Très exposé en Grèce, où il est désormais le seul actionnaire de la banque locale Emporiki, le Crédit agricole ne publiera les résultats du deuxième trimestre 2011 que le 25 août. Mais le 28 juillet, la banque prévoyait sur la Grèce une perte «qui ne devrait pas dépasser 850 millions d'euros». CASA est engagée sur les PIIGS à hauteur de 293% de son capital ordinaire, estime TIM.

Sans surprise, les établissements qui affichent les ratios les plus inquiétants sont ceux qui opèrent prioritairement dans les pays de la périphérie de la zone euro et qui ont investi massivement dans la dette souveraine de leur pays d'origine. Pour la grande banque italienne Unicredit, l'exposition aux PIIGS est de 541,5 milliards de dollars, soit 1.070% d'un capital de 50,59 milliards. Les chiffres sont également astronomiques pour les banques espagnoles, grecques et irlandaises : 953% chez Santander, 1.566 % pour BBVA, et même 33.357% pour Allied Irish Banks, la banque qui a mis l'Irlande à genoux.

Le contre-exemple positif de la Scandinavie

On comprend évidemment beaucoup mieux pourquoi le scénario du défaut d'un pays de la zone euro avait été résolument écarté des premiers tests de résistance imposés aux banques européennes en 2010, et pourquoi il était marginalisé lors de la seconde vague de «stress tests», dont les résultats ont été annoncés juste avant que cette nouvelle phase de la crise financière mondiale ne vienne en détruire la déjà faible crédibilité.

Comme expliqué ici même à de nombreuses reprises depuis quatre ans, ce refus des dirigeants politiques européens d'affronter la situation réelle du système bancaire bloque la sortie de crise. Sans revenir sur le précédent du Japon, où il aura fallu dix années à un régime politique épuisé et corrompu pour que la lumière soit faite sur le niveau réel des créances douteuses des banques japonaises (qui seront ensuite mises sous contrôle et nettoyées, y compris de leurs dirigeants compromis), le contre-exemple positif est venu de Scandinavie à la même époque (début des années 1990).

Une fois l'ampleur du problème révélée, la quasi-totalité du système bancaire a été temporairement nationalisé (sauf, en Suède, la banque de la famille Wallenberg ayant choisi de faire elle-même le ménage). Les pertes finales pour le contribuable ont été contenues, des réformes structurelles radicales mises en œuvre, la confiance est revenue et les pays nordiques, échaudés, ont évité les pièges dans lesquels sont tombés par la suite les autres pays européens. L'assainissement des systèmes bancaires, préconisé dans les programmes d'ajustement structurels du FMI, a été aussi une composante essentielle du rebond asiatique après la crise financière de 1997-98. On comprend que les puissances émergentes d'Asie fassent aujourd'hui la leçon à des pays occidentaux devenus leurs débiteurs.

Mais au lieu de prendre le taureau par les cornes, les dirigeants américains, comme ceux des principaux pays européens, ont préféré engloutir des sommes vertigineuses dans des programmes de relance keynésiens à l'impact éphémère ou pousser les banques centrales dans l'impasse des mesures dites «non-conventionnelles», alors que ni l'une ni l'autre de ces stratégies n'apportent de solution efficace au problème bilanciel du système financier. Le résultat est que la crise bancaire est devenue une crise des dettes souveraines, que la défiance règne plus que jamais et que la «reprise» financée à crédit montre de sérieux signes d'essoufflement. Chaque mois, semaine et jour qui passent approfondissent le trou où s'enfoncent les économies dites avancées.
http://www.mediapart.fr/journal/economi ... our-les-ba…
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Message non lu par wesker » 11 août 2011, 10:41:00

Tout cela démontre la qualité de la gestion bancaire et politique mais il convient aujourd'hui que ces derniers reprennent la main au lieu de continuellement donner des gages aux usuriers français mais aussi aux usuriers de nos voisins.

L'austérité qui découle de ces situations doit rester acceptable socialement au risque de paralyser l'économie, c'est le risque qui est aujourd'hui anticipé, c'est aussi le menace qui s'empare des marchés qui anticipent les réactions populaires. L'Espagne connaît un taux de chômage ahurissant, l'appauvrissement de l'Europe commencerait il ?

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Message non lu par politicien » 11 août 2011, 11:31:00

Bonjour,


 
 
Les Français, très majoritairement inquiets des répercussions de la situation financière actuelle, font davantage confiance à la chancelière Angela Merkel qu'à Nicolas Sarkozy pour la résoudre, montre un sondage publié jeudi par Le Parisien.
Selon cette étude menée par Harris Interactive, 79% des personnes interrogées se disent inquiètes pour la France et 67% pour leur situation personnelle.
Et c'est à eux-mêmes, les citoyens, qu'ils se fient le plus (48%) pour éviter le déclenchement d'une nouvelle crise financière et économique.
Angela Merkel et le gouvernement allemand obtiennent la confiance de 46% des sondés, loin devant Nicolas Sarkozy et le gouvernement français (33%).
Le Fonds monétaire international (41%), les entreprises (39%) et l'Europe (36%) inspirent ainsi davantage confiance aux Français que leurs propres responsables.
(...)



Le sondage a été réalisé en ligne du 8 au 10 août auprès de 1.090 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

Retrouvez l'intégralité de cet article sur Le Point.fr
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Message non lu par Nombrilist » 11 août 2011, 11:46:00

Comme quoi le bourrage de crâne avec la soit-disant réussite allemande fonctionne à merveille !

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Message non lu par wesker » 11 août 2011, 13:18:00

En augmentant la pauvreté de l'Allemagne les dirigeants socialistes Schröder et Angela Merkel pour la CDU parviennent à obtenir des résultats qui sont admirés de tous aujourd'hui.

Cela étant dit, il convient de regarder aussi les regressions et les conséquences sur la vie de ceux qui furent victimes des orientations politiques de ces gouvernants. Rappellons que la majorité précédente donna naissance à Die Linke, espérons que son homologue français n'ira pas se comprometre avec des sociaux libéraux qui n'ont, comme solution que l'austérité à proposer !

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