albert a écrit :Peillon semble obsédé par le nombre de jours d'école; il ferait mieux de se pencher sur le contenu des programmes et le soutien aux élèves en échec scolaire.
C'est typique d'une idéologie qui tente à déresponsabiliser l'individu. "Si tu n'y arrives pas mon pauvre petit chéri, c'est de la faute au programme". Alors que si le petit chéri n'y arrive pas, c'est qu'il doit peut être se remettre en cause et bosser plus.
Adeline a écrit :
donc d'un coté, on étale les heures de travail des enfants sur 4 jours et demi pour qu'ils soient moins fatigués et d'un autre, on rallonge leur programme de 2 semaines pour qu'ils étudient plus ... ce n'est pas très logique tout ça...
Tout simplement parce qu'un enfant n'a un temps de concentration optimal moyen de quatre heures. Il est presque contre productif donc de les faire travailler six heures. Ce temps de concentration de quatre heure, il existe aussi pendant les grandes vacances, il s'agit d'un fillon de concentration inexploité.
Pascale a écrit :albert a écrit :Dans les années 60, les grandes vacances commençaient fin juin et duraient jusqu'à la mi-septembre, soit 10 semaines. On nous dit aujourd'hui qu'à l'époque, le niveau était meilleur... Et d'ailleurs les derniers jours de l'année scolaire, les élèves ne font plus grand chose (sauf ceux qui ont des examens).
On avait cours jusqu à 17h
et le samedi jusqu à 14h...
Et au début des années soixante, on avait même cours tout le samedi, matin et après midi. C'est au cours des années soixante que l'on a supprimé le cours du samedi après midi.
“Tout ce que tu peux régler pacifiquement, n’essaie pas de le régler par une guerre ou un procès.” Jules Mazarin