Cette semaine une question sur la rigueur, avant de vous poser la question, voici un extrait d'article du Parisien :
La question de la semaine : Le mot "rigueur" est-il tabou ?Jean-Marc Ayrault a prononcé une seule fois le mot « rigueur » mardi dans sa déclaration de politique générale. Pour le récuser : « J’ai lu ces derniers jours que le fait de réserver les créations d’emplois publics aux secteurs prioritaires devait s’interpréter comme un tournant de la rigueur, a-t-il lancé.
Subtilités de langage
Dès hier matin, ces subtilités de langage étaient ruinées par Marylise Lebranchu : « Ce n’est pas une cure d’austérité, mais c’est un grand moment de rigueur », admettait sur RTL la ministre de la Fonction publique. Lebranchu évoquait, sans les préciser, les secteurs de la fonction publique où des postes devront être supprimés pour compenser la création de postes dans l’enseignement, la police, la gendarmerie et la justice. « Les syndicats acceptent cette idée de rigueur parce qu’elle est logique », a-t-elle insisté. Avant d’être recadrée par la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, qui a jugé « non approprié » le terme de rigueur.
(...)
L'intégralité de cet article sur Le Parisien.fr