Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

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politicien
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Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Message non lu par politicien » 19 juil. 2018, 19:15:48

VIDEO. Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Mis en difficulté suite aux révélations concernant l'un de ses collaborateurs filmé en train de frapper un manifestant, Emmanuel Macron a refusé de réagir. Edouard Philippe et Gérard Collomb se sont…

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Mis en difficulté suite aux révélations concernant l'un de ses collaborateurs filmé en train de frapper un manifestant, Emmanuel Macron a refusé de réagir. Edouard Philippe et Gérard Collomb se sont eux exprimés devant le Sénat.





C'est une réponse très brève à une affaire qui embarrasse l'Elysée. En déplacement en Dordogne jeudi, Emmanuel Macron a répondu très succinctement à une question à propos de l'un de ses collaborateurs, Alexandre Benalla, filmé en train de frapper un manifestant le 1er mai dernier. Les journalistes présents lors du déplacement du président l'ont interrogé à multiples reprises sur cette affaire, sans obtenir de précision ou de réaction. A un journaliste qui lui demandait si "la République [n'était] pas entachée" par cette affaire, il s'est contenté de répondre : "Non non, la République elle est inaltérable!"


Voici la vidéo de son intervention :



Lire aussi - Après les violences commises par un collaborateur de Macron, l'étonnante défense de l'Elysée

Pour Edouard Philippe, Benalla a "outrepassé le rôle d'observateur"


Face aux sénateurs jeudi après-midi, le Premier ministre Edouard Philippe a tenté d'apaiser la polémique tout en admettant qu’Alexandre Benalla "a[vait] outrepassé le rôle d'observateur". "Il n'était en aucun cas présent dans le cadre d'une mission qu'on lui avait confié", a précisé le chef du gouvernement. 


"De toute évidence, nous serons déterminés à faire en sorte que cette enquête préliminaire puisse permettre de faire toute la lumière et que nous puissions tirer toutes les conclusions de cette enquête et de cette procédure judiciaire engagée", a-t-il ajouté, en affirmant ne pas pouvoir "admettre que certains viennent par leur comportement jeter le doute sur l'exemplarité des forces de l'ordre".

Pour Gérard Collomb, les deux hommes "n'avaient aucune légitimité pour intervenir"


Le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb a quant à lui la saisine l'Inspection générale de la police (IGPN) afin de "connaitre les règles de l'encadrement des observateurs". Il a déclaré que les deux observateurs - Alexandre Benalla et un gendarme réserviste nommé Vincent Crase - "n'avaient aucune légitimité pour intervenir". Selon le ministre, c'est la Préfecture de police qui a autorisé leur présence en tant qu'observateurs. 
#QAG@gerardcollomb : "J'ai demandé à l'IGPN de préciser les règles de l'encadrement des observateurs dans les manifestations." pic.twitter.com/kfQWFu2Yet

— Public Sénat (@publicsenat) 19 juillet 2018
Des sénateurs demandent l'audition "en urgence" de Collomb


Gérard Collomb devra peut-être se justifier plus amplement. Le groupe CRCE au Sénat (à majorité communiste) a demandé l'audition "en urgence" du ministre de l'Intérieur Gérard Collomb sur  cette affaire. La présidente du groupe Éliane Assassi a demandé dans un courrier adressé au président de la commission des lois Philippe Bas (LR) que le ministre soit entendu  "afin de prendre connaissance de son analyse des faits précités ainsi que des conditions d'intervention des forces de l'ordre".

(...)

Article complet sur https://www.lejdd.fr/politique/video-af ... es-3714626
Violences : une enquête préliminaire ouverte sur un collaborateur du président

18 juil. 2018, 20:46:28

LE SCAN POLITIQUE - Alexandre Benalla, chargé de mission auprès du chef de cabinet de l'Élysée, a été mis à pied quinze jours pour avoir roué de coups un jeune homme à terre le 1er mai dernier lors…

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LE SCAN POLITIQUE - Alexandre Benalla, chargé de mission auprès du chef de cabinet de l'Élysée, a été mis à pied quinze jours pour avoir roué de coups un jeune homme à terre le 1er mai dernier lors d'un rassemblement militant. Gérard Collomb a annoncé avoir saisi l'Inspection générale de la police nationale.



Le parquet de Paris a annoncé ce jeudi l'ouverture d'une enquête préliminaire. Le 1er mai dernier lors d'un rassemblement militant, Alexandre Benalla a roué de coups un jeune homme à terre place de la Contrescarpe, dans le Ve arrondissement de Paris. Ce chargé de mission auprès du chef de cabinet de l'Élysée a été identifié mercredi par Le Monde sur la foi d'une vidéo qui avait largement circulé sur les réseaux sociaux à l'époque. La procédure, confiée à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne, a été ouverte pour «violences par personne chargée d'une mission de service publique», «usurpation de fonctions» et «usurpation de signes réservés à l'autorité publique», précise une source au parquet.


Depuis la révélation de cette affaire, plusieurs responsables politiques ont appelé à de nouvelles sanctions à l'encontre de ce collaborateur et réclamé que la justice soit saisie du dossier. Selon la présidence, après avoir reconnu les faits, Alexandre Benalla a déjà été suspendu deux semaines, du 4 au 19 mai, puis muté à des fonctions administratives à l'Élysée. «Cette sanction vient punir un comportement inacceptable et lui a été notifiée comme un dernier avertissement avant licenciement», a expliqué jeudi le porte-parole de la présidence, Bruno Roger-Petit, dans une courte allocution prononcée ce jeudi matin à l'Élysée. Selon lui, il s'agit de «la sanction la plus grave jamais prononcée contre un chargé de mission travaillant à l'Élysée».


Il a aussi annoncé que Benalla était ce jour-là accompagné d'un autre homme, Vincent Crase, gendarme réserviste par ailleurs employé de La République en marche. D'après le porte-parole, ce dernier était «très ponctuellement mobilisé comme d'autres réservistes par le commandement militaire de la présidence de la République». Au cours de l'intervention filmée le 1er mai, Vincent Crase a «outrepassé son autorisation de la même manière qu'Alexandre Benalla et a été sanctionné comme lui d'une mise à pied de quinze jours avec suspension de salaire», a déclaré Bruno Roger Petit. «Il a été mis fin à toute collaboration entre lui et la présidence de la République», a-t-il ajouté.


(...)

«Apéro militant»


Les faits se sont déroulés en mai place de la Contrescarpe, dans le Ve arrondissement de Paris, alors que de nombreux heurts ont éclaté toute la journée entre forces de l'ordre et manifestants. Vers 18 heures, une centaine de personnes se présentent sur place à un «Apéro militant» organisé par le comité d'action interlycéen. Celui-ci avait notamment été relayé par l'UNEF, ou encore La France insoumise. Au bout de quelques minutes, la situation dégénère entre jeunes et CRS.


» LIRE AUSSI - Autour du président Macron, une sécurité renforcée pour assurer sa protection rapprochée


Image Alexandre Benalla, le 1er mai. Taha Bouhafs / Twitter


Taha Bouhafs, militant présent sur place, ancien candidat dans l'Isère aux élections législatives pour La France Insoumise, en 2017, filme la scène. On y voit les forces de l'ordre intervenir, dans ce qui ressemble à une vidéo d'affrontement entre police et manifestants. Mais, soudain, un autre homme apparaît un peu à l'écart de la police. Casque à visière vissé sur la tête, sweat à capuche gris, il se met à tirer une jeune fille sur plusieurs mètres.


Il s'en prend ensuite à un homme, déjà mis à terre par les fonctionnaires de police, et le frappe à plusieurs reprises. «Nous avons assisté à une scène de théâtre, hors sol, surréaliste, d'une rare violence. Le gars, que l'on pensait policier de la BAC, s'est acharné sur la victime au sol», se souvient l'un des manifestants et témoins de la scène, Jérémie Ferrer-Bartomeu, chercheur en histoire à l'université de Nanterre. «Il était particulièrement agressif. Il avait peur d'être reconnu, et il a vite fui les caméras», ajoute Taha Bouhafs au Figaro.

(...)


Article complet sur http://www.lefigaro.fr/politique/le-sca ... estant.php

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johanono
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Re: VIDEO. Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Message non lu par johanono » 19 juil. 2018, 19:21:25

L'ampleur médiatique prise par cette polémique illustre une fois encore la piètre qualité du débat politique dans notre pays : on aime bien polémiquer sur des sujets sans intéressant, cependant que les vrais problèmes sont rarement débattus.

Et en l'occurrence : n'y a-t-il pas d'autres sujets plus importants que le sort de cet anonyme collaborateur que personne ne connaissait jusqu'à présent. S'il a fauté, que la Justice passe. En attendant, où est le problème ? Pourquoi Macron devrait-il le virer s'il en est content ?

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albert
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Re: VIDEO. Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Message non lu par albert » 19 juil. 2018, 20:04:01

johanono a écrit :
19 juil. 2018, 19:21:25
Pourquoi Macron devrait-il le virer s'il en est content ?
A ce titre, Hollande aurait pu garder Cahuzac s'il en était content !

Ce personnage a commis plusieurs infractions (violences contre un manifestant, usurpation de la fonction policière), mais ce qui est plus grave, c'est qu'il a été couvert par sa hiérarchie et par l'Elysée jusqu'à ce que le scandale éclate dans la presse.

La non dénonciation de délit de la part d'un fonctionnaire dépositaire de l'autorité publique constitue un délit couvert par l'article 40 du code de procédure pénal.
« le capitalisme est cette croyance stupéfiante que les pires des hommes feront les pires choses pour le plus grand bien de tout le monde » (Keynes)

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johanono
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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Message non lu par johanono » 19 juil. 2018, 20:11:19

Cahuzac était ministre, il avait des responsabilités politiques importantes et officielles. Là, on parle d'un obscur conseiller.

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Caberlin
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Re: VIDEO. Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Message non lu par Caberlin » 19 juil. 2018, 20:23:44

albert a écrit :
19 juil. 2018, 20:04:01
La non dénonciation de délit de la part d'un fonctionnaire dépositaire de l'autorité publique constitue un délit couvert par l'article 40 du code de procédure pénal.
On voit qu'il y a deux France, celle d'en bas qui doit respecter la loi, et le pays légal qui s'assoit dessus quand ça l'arrange !
Par contre, quand j'entends les LR, je me marre, ils ont toujours Balkany dans leurs rangs ! Un multirécidiviste !
"Ils ne se révolteront que lorsqu’ils seront devenus conscients et ils ne pourront devenir conscients qu’après s’être révoltés" - George Orwell, «1984»

Hector

Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Message non lu par Hector » 19 juil. 2018, 21:04:46

Cette affaire n'est pas propre bien entendu, et ce Benalla mérite les emmerdements qui l'attendent.

Par contre, on ne me fera pas pleurer pour la raclée mise à un branleur gauchiste.

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Caberlin
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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Message non lu par Caberlin » 20 juil. 2018, 06:52:52

Hector a écrit :
19 juil. 2018, 21:04:46
Par contre, on ne me fera pas pleurer pour la raclée mise à un branleur gauchiste.
Mouais ! Il s'en est pris à une personne qui était déjà immobilisée ! Facile ! Ca montre sa couardise surtout ! Une racaille quoi !
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Papibilou
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Re: VIDEO. Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Message non lu par Papibilou » 20 juil. 2018, 09:41:58

johanono a écrit :
19 juil. 2018, 19:21:25
L'ampleur médiatique prise par cette polémique illustre une fois encore la piètre qualité du débat politique dans notre pays : on aime bien polémiquer sur des sujets sans intéressant, cependant que les vrais problèmes sont rarement débattus.

Et en l'occurrence : n'y a-t-il pas d'autres sujets plus importants que le sort de cet anonyme collaborateur que personne ne connaissait jusqu'à présent. S'il a fauté, que la Justice passe. En attendant, où est le problème ? Pourquoi Macron devrait-il le virer s'il en est content ?
La coupe du monde de foot a occupé les médias pendant 1 mois. Maintenant il faut trouver autre chose. Alors une affaire aussi bénigne soit-elle est du pain béni . On va pouvoir gloser pendant des jours sur cette affaire. De plus il y a une vidéo que l'on reverra sans doute entre 200 et 300 fois pour nous expliquer que ce monsieur est un vilain monsieur et que Macron aurait du le punir plus durement. Décidément les médias abaissent le débat de plus en plu au ras des pâquerettes.

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albert
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Re: VIDEO. Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Message non lu par albert » 20 juil. 2018, 09:50:26

Papibilou a écrit :
20 juil. 2018, 09:41:58
De plus il y a une vidéo que l'on reverra sans doute entre 200 et 300 fois pour nous expliquer que ce monsieur est un vilain monsieur et que Macron aurait du le punir plus durement.
C'est à la justice de le punir. Ce que l'on reproche à Macron, c'est d'avoir étouffé l'affaire.
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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Message non lu par johanono » 20 juil. 2018, 10:12:58

Macron a-t-il entravé le fonctionnement de la Justice ? Si tel est le cas, alors oui, c'est grave : mais la gravité se trouverait bien dans le fait, pour Macron, d'avoir entré le fonctionnement de la Justice, pas de la fait de garder à son cabinet un mec mouillé dans une affaire un peu bizarre. Si Macron n'a pas entravé le fonctionnement de la Justice, alors il n'y a pas de problème : la Justice tranchera, et en attendant, Macron n'a aucune raison valable de le virer.

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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Message non lu par Narbonne » 20 juil. 2018, 10:35:30

Une procédure de licenciement a été engagé ce matin.
Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait.

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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Message non lu par johanono » 20 juil. 2018, 10:41:19

On entend souvent dire que "les puissants" sont au-dessus des lois. Mais c'est le contraire. Un Français "lambda" entendu par la Justice dans une affaire quelconque ne perd pas son boulot. Là, quand un conseiller ministériel est impliqué dans une affaire, avant même d'être condamné, il perd son boulot. Pour l'exemple. La sanction est donc plus grave que pour un Français "lambda".

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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Message non lu par Snark » 20 juil. 2018, 12:47:38

johanono a écrit :
20 juil. 2018, 10:41:19
On entend souvent dire que "les puissants" sont au-dessus des lois. Mais c'est le contraire. Un Français "lambda" entendu par la Justice dans une affaire quelconque ne perd pas son boulot. Là, quand un conseiller ministériel est impliqué dans une affaire, avant même d'être condamné, il perd son boulot. Pour l'exemple. La sanction est donc plus grave que pour un Français "lambda".
Maurice Papon à l'époque préfet de Paris avait fait tiré sur les manifestants le 17/10/1961
et ça ne l'avait pas empéché de finir ministre du budget de Giscard . C'était le bon temps ?
Et pendant ce temps là le permafrost décongèle .

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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Message non lu par wesker » 20 juil. 2018, 13:31:16

Ce n'est pas le fond de l'affaire qui pose souci, c'est surtout la protection dont l'individu aurait pu se prévaloir....et, cela est d'ailleurs révélateur d'une certaine conception.

Ajoutons, aussi que le fait qu'un commission d'enquête parlementaire s'invite à l'Elylsée, au delà des éléments de langage relève de la rareté et me semble refléter l'embarras de la présidence.

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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer

Message non lu par johanono » 20 juil. 2018, 13:42:01

En effet, l'Assemblée nationale a décidé de mettre en place une commission d'enquête sur cette affaire. On touche là le comble du ridicule. En réalité, l'opposition n'a aucun programme alternatif à proposer aux Français, donc elle veut masquer sa vacuité idéologique en récupérer une affaire médiatisée. Une commission d'enquête sur un obscur conseiller chargé de la sécurité et qui, donc, aurait fait le poing contre des manifestants. Vraiment n'importe quoi...

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