LE DÉBAT SUR L'IDENTITÉ NATIONALE EST UNE FARCE !!!

[Georges]

Lucifer, ton petit vieux fait peut-être partie de ceux qui ne touche que 650 euros par mois, alors pour lui "le pognon" qu'il n'a pas c'est son problème principal, surtout quand il faut qu'il fasse 4 kms à pied pour se rendre au resto du coeur. En France la moitié des retraités vivent en dessous du seuil de pauvreté, en partie grâce aux promesses non tenues de Sarkozy.

[lucifer]

Mes petits vieux de voisins ( en HLM) vivent en effet avec très peu. Mais ce n'est pas leur pb principal.
C'est certain, si tu frequentes des petits vieux qui ne vivent pas dans les cités, c'est different.
Mais pour les miens, ce n'est pas de leur faute si à chaque fois qu'ils essaient d'ouvrir leur fenetre, et que des deales se font juste en dessous, et qu'ils constatent qu'il n'y a pas un seul blanc, l'identité nationale devient leur seul espoir, même si ils n'en connaissent que les grandes lignes.
Les 650€, ils s'en contentent. Mais l'insecurité constante, c'est impossible à supporter (à moins qu'on n'ai jamais vecu en cité).
Ils ont toujour vécu là, et même si on augmentait leur solde, ils ne bougeraient pas. Leurs enfants sont nés icic, et tous leurs souvenirs sont là.
Mais depuis une dizaine d'années, ils vivent un enfer que peu de français connaissent, car ceux ci jugent, les traitent de raciste, alors que le seul constat qu'ils font tous les jours, c'est l'islamisation des cités, et surtout la mauvaise utilisation que font certains de celle ci.
Sans compter le manque flagrant d'education qui, à leur epoque, ne serait jamais passée.

[lucifer]

Chacun sait que les débats sur l'identité nationale ressurgissent en période de crise, il faut bien faire oublier les problèmes icon_confused . Je suppose que tu es conscient que Sarko n'en a rien à foutre de ton petit vieux icon_biggrin la seule chose qui l'intéresse c'est son bulletin de vote.

Non, je n'en suis pas conscient, la crise n'a pas une dizaine d'années, que je sache. La deterioration de la securité, elle, si.
Quand à ton acharnement systematique sur Sarko, ça n'engage que toi (et non, tu n'es pas la majorité des français).
La corse au bulletins de votes n'est pas typique à l'autre nain, ils le font tous.
C'est à croire qu'en france, on a attendu Sarko pour decouvrir la politique et ses travers.
Et je maintiens, tu juges en ton cas et tu fais une generalité. Mais ni toi, ni moi, ne pouvons nous vanter de tout connaitre sur les principales preoccupations de la majorité française.



Le quotidien Le Parisien/Aujourd'hui en France publie dimanche un sondage (*) sur les Français et le thème de l'identité nationale. Selon ce sondage, 60 % des personnes interrogées pensent que «c'est une bonne chose» que l'identité nationale devienne un thème de débat dans la société française. Quels sont les éléments importants qui constituent l'identité de la France? A cette deuxième question, les sondés placent en tête (80%) la langue française.

Viennent ensuite la République (64%); le drapeau tricolore (63%), la laïcité (61%), les services publics (60%), la «Marseillaise» (50%) et l'accueil d'immigrés (31%). Retrouvez tous les éléments d'analyse de ce sondage dans les colonnes du Parisien/Aujourd'hui-en-France.

(*) Sondage exclusif CSA / LE PARISIEN / AUJOURD’HUI EN FRANCE réalisé par téléphone les 28 et 29 octobre 2009 au domicile des personnes interviewées. Echantillon national représentatif de 1006 personnes âgées de 18 ans et plus, constitué d'après la méthode des quotas (sexe, âge, profession du chef de ménage), après stratification par région et catégorie d’agglomération.

Conclusion de Lucifer:
Même si 72% des français considèrent que celà va servir aux elections regionales, celà ne veut pas dire qu'ils sont contre.

[mps]

> L'EDITO DE CYRANO
> >
> > Pourquoi suis-je français ?
> >
> > lundi 23 novembre 2009
> >
> > Je suis français parce que je suis de nationalité française. Que ma
> > nationalité soit d'origine ou acquise, peu importe, pourvu que je me
> > reconnaisse fils d'une nation, c'est-à-dire d'un ensemble d'humains unis par
> > une communauté de territoire, de langue, de traditions et d'aspirations. Le
> > territoire, c'est ma maison ; la langue en est la clé ; les traditions en
> > sont les fondations ; les aspirations sont les portes et les fenêtres. Le
> > tout, c'est mon présent. C'est ce présent localisable, parlant, historique
> > et prospectif que j'incarne quand je me déclare français. Mon identité est
> > donc plus que ma carte d'identité : c'est un vouloir-être qui m'oblige à
> > réagir contre ceux qui ne veulent pas de la France alors même qu'ils y
> > vivent ou qu'ils en vivent. Mon identité est une action !L'Histoire qui me
> > porte est aussi l'Histoire que je porte dans un sentiment permanent d'auto-défense.
> > Mon identité est un silence intérieur capable de colères. L'actuel débat sur
> > l'identité nationale corrobore cette évidence. La France gronde en moi comme
> > en chaque Français qui aspire à rester français, car l'actuelle identité de
> > la France est en train de changer l'identité des Français ! Les Français en
> > ont assez, en effet, de vivre au quotidien l'altération de leur être.
> >
> > Etre français, c'est donc être hostile à ceux qui sont hostiles aux
> > lois françaises, à commencer par celles qui sont perçues comme lois du pays
> > d'accueil.
> >
> > Je suis français parce que je dénonce la « nouvelle France » !
> >
> > Je suis français parce que je suis révolté d'entendre, sur mon sol,
> > des manifestants hurler des slogans antisémites ou soutenir les terroristes
> > du Proche-Orient.
> >
> > Je suis français parce que je ne supporte pas que des drapeaux
> > étrangers ou des banderoles francophobes soient brandis agressivement lors
> > de rencontres sportives ou dans des manifestations de rue.
> >
> > Je suis français parce que je ne tolère plus les personnes qui, sous
> > le couvert de nos lois, font le lit de leur culture en défaisant celui de la
> > République.
> >
> > Je suis français parce que je ne veux plus de ces prêcheurs qui, au
> > nom d'une religion, tiennent des discours anti-occidentaux.
> >
> > Je suis français parce que je n'apprécie pas du tout qu'il y ait dans
> > nos banlieues des hommes et des femmes pour voir en Ben Laden un saint ou un
> > héros.
> >
> > Je suis français parce que je n'ai plus la sollicitude que j'avais
> > naguère pour les « sans-papiers » et autres hors-la-loi qui squattent nos
> > églises et méprisent nos droits en exigeant des droits différentiels.
> >
> > Je suis français parce que je n'accepte plus que des élèves ordonnent
> > qu'on réécrive les cours d'Histoire au seul motif que l'enseignant leur
> > présenterait une vision exclusivement judéo-chrétienne du monde.
> >
> > Je suis français parce que je ne comprends plus que des étudiants
> > musulmans récusent la mixité, les enseignantes, les enseignants non
> > musulmans, la pensée déiste, encyclopédiste, athée, les Lumières, les cours
> > de littérature, de philosophie, de physique, de biologie, de sport, en un
> > mot tout ce qui gêne leurs convictions célestes.
> >
> > Je suis français parce que je suis excédé de ne plus pouvoir mettre, à
> > Noël, une crèche dans une vitrine ou un sapin dans une école sans déclencher
> > une commission d'enquête.
> >
> > Le Français que je suis enrage d'apprendre qu'un train peut être un
> > lieu de tabassage ou de viol, voire un moyen de transport quasi gratuit pour
> > ces anonymes qui tabassent et qui violent, et dont l'identité,
> > systématiquement tue, se révèle pourtant par ce silence même !
> >
> > Le Français que je suis serre les poings lorsqu'il entend Dominique
> > Baudis avouer personnellement « ne plus pouvoir sortir dans certains
> > quartiers sans se faire traiter de « sale Français » (FR3 Toulouse, 1999) !
> > Le Français que je suis souffre de savoir qu'en 2002, François Bayrou - qui
> > s'était rendu à Strasbourg dans le cadre de la campagne présidentielle - a
> > vu les vitres de la mairie où il se trouvait brisées par des pierres, comme
> > s'il était le Mal, et qu'en 2005, Nicolas Sarkozy, visitant une cité «
> > difficile » d'Argenteuil, a été caillassé de la même façon comme s'il était
> > le Diable !
> >
> > Le Français que je suis n'est pas près d'oublier l'image incroyable du
> > visage de Jacques Chirac couverts de crachats de « jeunes » lors d'une
> > visite à Mantes-la-Jolie, le 4 mars 2002, ni la Marseillaise sifflée en
> > 2001, 2007 et 2008 au stade de France !
> >
> > Je suis français lorsque je m'insurge contre la tiers-mondisation de
> > nos cités, d'où les autochtones sont chassés au prorata de l'arrivée des
> > étrangers, conformément à une politique immigrationniste suicidaire qui
> > aligne progressivement notre pays sur le Kosovo - devenu musulman à 90% en
> > moins de 50 ans !
> >
> > Je suis français lorsque je vomis le racisme anti-blancs, comme tout
> > autre forme de racisme, et par conséquent, lorsque je tempête contre la
> > discrimination positive » - en laquelle j'aperçois l'avancée du « racisme
> > positif » sitôt qu'elle se fonde sur la couleur, et du « politiquement
> > correct » dans ce qu'il peut avoir d'imbécile et de pleutre !
> >
> > Je suis français lorsque je fulmine contre les lois françaises
> > appliquées du bout des lèvres dans les « cités » et les « banlieues ».
> >
> > Je suis français en refusant de baisser les yeux quand je croise les
> > occupants de zones hypocritement qualifiées de « non-droit ».
> >
> > Je suis français lorsque je n'entends plus être une victime «
> > ethnique » de la violence ordinaire, que ce soit pour une aile froissée, une
> > priorité refusée, une cigarette que je n'ai pas la chance d'avoir sur moi,
> > un sandwich au jambon jugé « insultant », un geste ou un mot interprété de
> > travers, ou le simple fait d'être là.
> >
> > Je suis français quand j'anticipe les violences qui n'auraient pas
> > manquer d'éclater dans tout l'Hexagone au soir du 18 novembre 2009 si la
> > victoire frauduleuse de l'équipe de France de football avait été obtenue non
> > contre l'Irlande mais contre l'Algérie.
> >
> > Je suis français quand je constate, scandalisé, que les fêtes du
> > Nouvel An célèbrent le renouvellement flambant neuf du parc automobile !
> >
> > Je suis français quand j'exige que soient sévèrement punis ceux qui
> > téléphonent aux pompiers et aux médecins pour les faire tomber dans d'immondes
> > traquenards.
> >
> > Je suis français quand s'agitent en ma mémoire les voyous qui
> > saccagent nos lieux de vie parce qu'un des leurs s'est tué accidentellement
> > au volant d'un véhicule volé, et qui, profitant de ce drame, jettent par la
> > fenêtre de leur immeuble frigidaires, machines à laver, téléviseurs et
> > autres objets « anodins », défoncent les devantures de locaux et de magasins
> > à la voiture bélier, attaquent les commissariats au lance-roquette,
> > accueillent les forces de l'ordre à coups de pierres, de boules de pétanque,
> > de cocktails Molotov, de revolver ou de fusil, incendient tout ce qui peut
> > brûler, trafiquent la poudre, les véhicules et les armes... quand ils ne s'engagent
> > pas dans des cellules terroristes pour semer sur notre sol ou ailleurs la
> > dévastation et la mort !
> >
> > Je suis français
> >
> > quand des rappeurs veulent « niquer la France », quand Houria
> > Bouteldja traite mes compatriotes de « souchiens »,
> >
> > quand je dénonce l'islamisation de mon pays comme des pays européens,
> >
> > quand je plaide pour une Europe laïque et féministe, quand j'admire
> > Malek Boutih, Malika Sorel, Hamid Zanaz, Kébir Jbil, Pascal Hilout, Sihem
> > Habchi, Abdennour Bidar... tous issus de l'immigration et tous honneur de la
> > France par leur engagement authentique en faveur des valeurs républicaines.
> >
> > Je suis Français quand je soutiens les Droits de l'Homme, quand j'en
> > appelle à l'universel par la femme - qui est l'Homme - et par l'Homme, qui
> > ne vaut que par l'universel.
> >
> > Je suis français plus que jamais quand, au nom de cet universel, je
> > pense aux Français qui ont donné leur vie non seulement pour que je n'aie
> > pas à donner la mienne, mais encore pour que je puisse vivre les valeurs qui
> > les ont tenus debout quand tout s'écroulait autour d'eux.
> >
> > Ces valeurs ne doivent pas être noyées dans je ne sais quelle honte
> > nationale : c'est par elles et pour elles que je suis ce que je suis.
> >
> > Je suis français par résistance !
> >
> > Cyrano

[lucifer]

Je viens d’assister à une reunion sur le sujet hier soir.
Ca risque d’être un peu long, mais d’après ce que je lis, le sujet part dans tous les sens, et il faudrait peut être le recadrer.

La plupart des intervenants (tous partis confondus) en sont tous arrivés aux même conclusions.
En france, un gros probleme s’est installé, car sinon, on ne parlerait pas de l’identité nationale aujourd’hui.

Il est facile de remarquer qu’à la question : etes vous français ? Les reponses des gamins ou adultes etant nés en france est toujours la même/ Ben, oui, je crois, mais je suis d’origine algerienne, ou portugaise, ou tunisienne, ou espagnole.
Bref, les origines ont prise une place enorme, à tel point que maintenant, on ne parle plus que des origines, en laissant de côté qu’avant tout, on est français.
Certains, nés en france et naturalisés automatiquement, ce considerent + comme étranger que français.
Gros paradoxe, quand on sait que d’autres risquent leur vie tous les jours à fuir la dangerosité de leur pays, pour pouvoir venir chez nous, et tout faire pour être français.
Il n’y a pas seulement un manque de respect envers la nation, mais aussi envers ces hommes et femmes qui tueraient pour être accepté dans notre pays.

Il y a t’il une honte d’appartenir à un pays comme le notre ? Une terre d’acceuil, mais aussi très souvent d’exil, une des protections sociales les plus abouties au monde, une liberté que tout le monde nous envie, un droit à la religion des plus large, des aides à foison sans contrôles draconiens.
Et bien non, on peu même dire qu’on a de la chance, economiquement et socialement comparé à + de 90% de la planête.

Maintenant, tout le monde est d’accord sur le fait qu’être français n’est pas une race, qu’être français ne necessite ni couleur, ni religion particuliere.
Mais la france reste une nation, qui a une histoire, une identité directement reliée à elle. La religion catholique en reste l’exemple le plus marquant. Alors à moins de bruler nos livres d’histoire, nous sommes tous issus de celle ci, qu’on le veuille ou non.

Maintenant, le français se detache de son pays moralement, suite à un très grand laxisme, un manque de reconnaissance, comme si tout était naturel, comme si la france lui devait tout sans même regarder le pourquoi.
Il est devenu un assisté, mais pas seulement de sa faute, simplement parce qu’il en a prit l’habitude.
Celà peut très vite devenir une situation dangereuse economiquement. On le voit avec le recul de l’age de la retraite, l’augmentation des impots. Et tout celà, c’était déjà le cas avant la crise.

De plus, la mentalité fraçaise est certainement l’une des plus complexes du monde. Le français est jaloux maladivement de son voisin, il se plaint tout le temps, a toujours son mot à dire même si il ne sait rien, estime que l’état est seulement là pour venir en aide à sa petite personne à titre individuel. Et oui, car là où le bas blesse, c’est qu’il se fout de savoir si son voisin creve de faim, le tout étant que son frigo soit plein.

Donc, on attend tout de l’état, mais on ne veut certainement pas rendre de comptes. Et c’est là l’erreur.

Le français moyen qui travaille et paye des impots le sait mieux que qiconque, vu qu’il est pressé comme un citron, et ne beneficie quasi pas d’aides. Bref, il paye pour les autres, en ayant droit à rien. Et c’est aussi pour les autres qu’ils se lève le matin.
Bon, c’est normal dans un pays solidaire, mais le systeme et ses abus risque fort de nous péter dans les doigts si rien n’est fait.

Pour le sujet de l’identité nationale, il est important à mes yeux. Il n’y a rien à voir avec les races ou les couleurs. Son fondement serait plutot de reunir les français sous la même banniere, le même drapeau, celui qui represente notre nation depuis quelques eres.
Nous somme tous dispersés, nous ne voyons plus que nous même, et la frace n’est devenu pour nous seulement qu’un mot, plaçé dans le distionnaire entre deux autres mots.

A mes yeux, la france se doit d’etre autre chose qu’un mot parmi tant d’autres. Des gens sont morts pour notre liberté, et certains n’etaient même pas français d’ailleurs.

Ce pays nous appartient à tous, mais il faut le mériter. Rien n’est jamais acquis, il faut parfois le mériter, et savoir se regarder dans une glace.
En quoi est il normal que le pays (vous, moi) aide des gens qui estiment que c’est un du ? Que leur vrai pays n’est pas celui qui les aide ? Que leur vrai pays est bien celui qui fait qu’ils mangent ?

L’habitude de l’assistanat, et le fait que par peur ( on va se faire traiter de racistes,o n va nous prendre pour des megalos, et j’en passe )on n’ai pas mis de limite à toute chose depuis des lustres, ont fait qu’il faudrait être aveugle pour ne pas voir qu’on va droit dans un mur.

Alors la question à se poser n'est pas: quest ce que c'est d'être français ? mais bel est bien: Le france, c'est quoi ?

Je vois dans tous les posts que nous critiquons souvent (c'est français), mais toutes les solutions trouvées ont toutes un prix à payer.
Par contre, on va tous gueuler si on augmente nos impots.
Le voilà le paradoxe français, on veut tout, mais on ne veut rien payer.

[pierre30]

C'est assez bien décrit.

J'ajouterai que le français est individualiste, n'aime pas qu'on lui donne des directives, mais attend tout de l'état !

C'est assez paradoxal !

En tant qu'individualiste, je dénie à quiconque le droit de me dire si je suis français ou pas. De la même façon je n'admets pas que des gens, parce qu'ils ont des ancêtres français, puissent contester à d'autres leur qualité de français pleine et entière à cause de l'origine de leurs ancêtres ou de leur acquisition récente de la notionalité française.


Etre français est à mon avis avant tout un sentiment personnel. La carte d'identité est quasi secondaire de ce point de vue.

[lucifer]

Exact, mais ce serait plus une question à poser à une personne s'estimant "originaire de" et faiaant passer son origine avant son vrai pays.

[pierre30]

Ce n'est pas une question mais un point de vue.

De ce point de vue, les personnes en question, si elles se sentent françaises, sont françaises. L'inverse s'applique également.

[lambertini]

je ne suis pas francais d origine, ..(sinti)
bien que mes ancetres sont arrivées il y a plus de 400 ans
sa ne me donne aucuns droits.
mais je respecte la france pays qui me nourrit,.
et si je ne suis pas heureux je vais ailleurs...
mais on aucuns cas je n imposse mon point de vue, ma culture et ma religion.

[mps]

Lucifer, ta synthèse est magnifique !

Et comme dit Lambertini en d'autres termes : La France, tu l'aimes ou tu la quittes.

[lambertini]

parfaitement

[wesker]

Belle synthèse, mps, affirmation provenant d'ailleurs du FN dont tu contestes les vertus !

Les couinements du Gouvernement ne sont que des preuves supplémentaires de la depravation de la vie politique française et dont toutes les orientatins visent à restreindre les libertés et le pluralisme politique.

Vivement 2012 qu'on puisse enfin mettre fin à cette folie !

[geekmature]

J'espère bien, de gré ou de force icon_mrgreen

[mps]

Belle synthèse, mps, affirmation provenant d'ailleurs du FN dont tu contestes les vertus !

Décodément, tu ne vois guère au delà de ton petit hexagone ! L'Astralie, tu l'aimes ou tu la quittes est un slogan déjà ancien repris ensuite par le Canada, avant d'être récupéré par le FN.

[lucifer]

Et par De Villiers