A défaut d'une quelconque inflexion de la politique économique, j'espérais au moins que ce remaniement serait l'occasion de faire dégager quelques ministres incompétents (Taubira, etc.) et d'intégrer quelques ministres qui maîtrisent les dossier (Vallini à la Justice, Urvoas ou Rebsamen à l'Intérieur, Lauvergon aux Finances, etc.). Même pas... icon_frowLa liste du gouvernement Valls
Laurent Fabius : Affaires étrangères et Développement à l'international
Benoît Hamon : Éducation nationale, Enseignement supérieur et Recherche
Ségolène Royal : Écologie, Développement durable et Énergie
Bernard Cazeneuve : Intérieur
Stéphane Le Foll : Agriculture, Agroalimentaire, Forêt et porte-parole du gouvernement
Jean-Yves Le Drian : Défense
Arnaud Montebourg : Économie, Redressement productif et Numérique
Najat Vallaud-Belkacem : Droits des femmes, Ville, Jeunesse et Sports
Michel Sapin : Finances et des Comptes publics
François Rebsamen : Travail, Emploi et Dialogue social
Marisol Touraine : Affaires sociales
Marylise Lebranchu : Décentralisation, réforme de l'État et de la fonction publique
Aurélie Filippetti : Culture et communication
Christiane Taubira : Garde des Sceaux, ministre de la Justice
Sylvia Pinel : Logement et Égalité des territoires
George Pau-Langevin : Outre-mer
En plus, le découpage des compétences est assez curieux, puisqu'il y a encore plusieurs ministres des finances, de l'économie, du budget, de l'emploi, du travail, des affaires sociales, alors qu'il était question d'un gouvernement resserré.