Peillon a eu parfaitement raison de mettre en difficulté mme chabot qui n'arrive même plus a cacher son admiration béate et stupide pour le nabot (remarquez, nabot, chabot, il n'y a pas grande différence) et laisse une trace derrière elle quand elle est en présence du nain.
Un débat merdique entre l'héritière des fachos, le plus faux cul des politiques de la bande au petit dictateur, organisé par l'élysée pour la gloire du petit, cela ne mérite pas que l'on s'y attarde et doit être la cible de toutes les provocs.
n'en déplaise aux admirateurs béats du nabot, il est temps que les français comprennent que le PS ne sera pas instrumentalisé et que la télé publique ne doit pas être aux ordres ....
bravo, Mr PEILLON !!! ;glod;
Peillon refuse le débat avec Besson sur France 2
Le PS est et restera le parti politique le + instrumentalisé. Il ne fait que guetter les erreurs des autres, pour sauter sur l'occas et les critiquer.
Un gosse de 10 ans saurait le faire.
Mais derriere ça, il y a le vide, le néant.
Quand au débat, ces arguments, ils etaient déjà là avant cette histoire.
Ce mec s'est roulé dans la boue tout seul, est passé pour un lâche. Mais bon, que demander de plus à un representant d'un parti aussi depassé que le PS ?
Un gosse de 10 ans saurait le faire.
Mais derriere ça, il y a le vide, le néant.
Quand au débat, ces arguments, ils etaient déjà là avant cette histoire.
Ce mec s'est roulé dans la boue tout seul, est passé pour un lâche. Mais bon, que demander de plus à un representant d'un parti aussi depassé que le PS ?
Maintenant que j'habite en province, je suis devenu peace and love. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ( surtout les descendants d'immigrés des cités que j'adore dorénavant )
Quand un journaliste invite quelqu'un à une émission qui n'est pas un débat mais une émission à la gloire du nabot ou des opposants peuvent éventuellement apporter une contradiction controlée par celui ci, tous les coups sont permis pour dénoncer ce type de piège et Mr PEILLON a eu parfaitement raison de durcir le ton et finalement de poser un lapin à la chabotte qui ne mérite que cela tant son parti pris est puant.mps a écrit : Ah bon ? si tu invites quelqu'un qui, grossièrement, se débine en dernière minute, c'est toi qui est "en difficulté'" icon_biggrin icon_biggrin icon_biggrin
Non, c'est un coup médiatique, faut pas tout mélanger.lucifer a écrit : Refuser au debut, c'est affirmer ses idées.
Refuser juste avant, c'est de la lacheté.
La lacheté c'est refuser d'affronter un adversaire.
refuser de servir la soupe a Chabot et la piéger, c'est du bon sens et du courage, voila au moins une émission qui a eu ce qu'elle mérite.
Bien joué Mr PEILLON !
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lambertini
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- Localisation : normandie
je ne voie pas pourquoi un debat avec marise lepen, et un ministre aurait changer la donne,
la il passe pour un c.. meme parmit les socialistes de base.
de plus le debat interesse baucoups de monde, la politesse aurrait eté de venir.
en vrais il a eu peur du ridiculle, de defendre des idées que memes les socialistes de base , n approuvent pas.
la le ps a encore perdus des voix
la il passe pour un c.. meme parmit les socialistes de base.
de plus le debat interesse baucoups de monde, la politesse aurrait eté de venir.
en vrais il a eu peur du ridiculle, de defendre des idées que memes les socialistes de base , n approuvent pas.
la le ps a encore perdus des voix
la caravane passe et les chiens aboient
Martine Aubry était-elle au courant ou essaye-t-elle de couvrir Peillon sans trop impliquer le PS, j'ai quelques doutes...
Nathalie de Saint Cricq de France 2 assure que c'est Peillon lui-même qui avait choisi de passer en deuxième partie de l'émission et Martine Aubry défend l'attitude de Vincent Peillon parce qu'il aurait été "relégué" en seconde partie, alors que lui-même affirme que son faux bond était prémedité et calculé.
Elle a été mise au courant seulement 2 jours plus tôt... Pourquoi ?
Passer en deuxième partie n'est absolument pas un désavantage puisque cela permet d'avoir le dernier mot.
De plus Martine Aubry ne soutient pas celui qui se comporte en ministre de l'information qui veut la tête D'Arlette Chabot.
Ni les journalistes de France 2 qui demandaient pourtant la déprogrammation du débat :
Pas « d'ingérence»
Le SNJ-CGT de France Télévisions a dénoncé « l'ingérence » de Vincent Peillon, qui a demandé la démission de la directrice de l'information Arlette Chabot, tout en critiquant l'attitude de celle-ci lors du débat entre Besson et Marine Le Pen sur France 2. « Déjà qu'on a un président de la République qui va nommer les PDG de l'audiovisuel, si, en plus, des élus de la nation demandent la tête des journalistes, c'est de l'ingérence », a déclaré Jean-François Téaldi, du SNJ-CGT de France Télévisions. « Comme Peillon a refusé d'y participer, cette émission s'est résumée à un débat entre le Front national et le ministre des expulsions », poursuit le responsable cégétiste.Martine Aubry, tentant de rattraper la situation, n'a pas demandé le départ d'Arlette Chabot, estimant que l'eurodéputé était sous « le coup de la colère ». Mais cela n'a pas suffi à France télévisions. Le PDG Patrick de Carolis a demandé publiquement à la première secrétaire du PS si elle « cautionnait » la demande de démission formulée par l'eurodéputé.
Nathalie de Saint Cricq de France 2 assure que c'est Peillon lui-même qui avait choisi de passer en deuxième partie de l'émission et Martine Aubry défend l'attitude de Vincent Peillon parce qu'il aurait été "relégué" en seconde partie, alors que lui-même affirme que son faux bond était prémedité et calculé.
Elle a été mise au courant seulement 2 jours plus tôt... Pourquoi ?
Passer en deuxième partie n'est absolument pas un désavantage puisque cela permet d'avoir le dernier mot.
De plus Martine Aubry ne soutient pas celui qui se comporte en ministre de l'information qui veut la tête D'Arlette Chabot.
Ni les journalistes de France 2 qui demandaient pourtant la déprogrammation du débat :
Pas « d'ingérence»
Le SNJ-CGT de France Télévisions a dénoncé « l'ingérence » de Vincent Peillon, qui a demandé la démission de la directrice de l'information Arlette Chabot, tout en critiquant l'attitude de celle-ci lors du débat entre Besson et Marine Le Pen sur France 2. « Déjà qu'on a un président de la République qui va nommer les PDG de l'audiovisuel, si, en plus, des élus de la nation demandent la tête des journalistes, c'est de l'ingérence », a déclaré Jean-François Téaldi, du SNJ-CGT de France Télévisions. « Comme Peillon a refusé d'y participer, cette émission s'est résumée à un débat entre le Front national et le ministre des expulsions », poursuit le responsable cégétiste.Martine Aubry, tentant de rattraper la situation, n'a pas demandé le départ d'Arlette Chabot, estimant que l'eurodéputé était sous « le coup de la colère ». Mais cela n'a pas suffi à France télévisions. Le PDG Patrick de Carolis a demandé publiquement à la première secrétaire du PS si elle « cautionnait » la demande de démission formulée par l'eurodéputé.
C'est pas nouveau, c'était également le cas pour tonton la francisque, qui ne s'était nullement gêné pour faire main basse sur le médias.lancelot a écrit :Il est vrai que l'ingérence du nabot dans les médias publics n'est pas contestable, vu que c'est lui même qui nomme les présidents ....
Bienvenue à Sarko-land
Le fier chevalier Lancelot défend la veuve aubry et l'orphelin Peillon icon_mrgreen C'est tellement rare même à gauche que s'en est risible. Quand que la gauche n'aura que des coups foireux comme ça, la droite peut dormir tranquille!lancelot a écrit :Peillon a eu parfaitement raison de mettre en difficulté mme chabot qui n'arrive même plus a cacher son admiration béate et stupide pour le nabot (remarquez, nabot, chabot, il n'y a pas grande différence) et laisse une trace derrière elle quand elle est en présence du nain. Un débat merdique entre l'héritière des fachos, le plus faux cul des politiques de la bande au petit dictateur, organisé par l'élysée pour la gloire du petit, cela ne mérite pas que l'on s'y attarde et doit être la cible de toutes les provocs.
n'en déplaise aux admirateurs béats du nabot, il est temps que les français comprennent que le PS ne sera pas instrumentalisé et que la télé publique ne doit pas être aux ordres ....
bravo, Mr PEILLON !!! ;glod;
Il est remarquable que pas un dinosaures n'est venus soutenir Peillon.
Notes enfin Lancelot que si Chabot rime avec nabot, Peillon rime avec couillon! icon_cheesygrin icon_cheesygrin icon_cheesygrin
JC
"Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi ni à personne..."
Chamfort
"Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi ni à personne..."
Chamfort
Lettre de Patrick de Carolis :
Après le clash de Peillon, Patrick de Carolis écrit à Aubry
Par Patrick de Carolis
Madame la Première Secrétaire,
Au-delà de la forme, particulièrement déplaisante, avec laquelle Monsieur Vincent Peillon, député européen, a refusé de participer au débat organisé hier [jeudi, ndlr] soir sur France 2 alors qu'il devait y représenter le Parti socialiste, cette désertion pose un grave problème de fond sur lequel je souhaiterais obtenir votre éclairage.
La télévision publique a, comme vous le savez, pour mission d'organiser et de faire vivre le débat public. Or, elle doit pour cela pouvoir exercer sa pleine liberté éditoriale dans le strict respect des règles du pluralisme fixées et contrôlées par le Conseil supérieur de l'audiovisuel.
Dans ce contexte, soit l'attitude de Monsieur Peillon est une initiative personnelle et elle n'aura pas d'autre retentissement que celui que l'opinion voudra bien lui donner, soit elle est le fruit d'une décision réfléchie et concertée du parti politique dont vous avez la charge.
Les propos de Vincent Peillon qui a déclaré vous avoir informée de sa décision il y a plus de 48 heures et le soutien public que vous venez de lui apporter par voie de dépêche de presse le laissent entendre.
Le boycott volontaire […] menace le fonctionnement même du débat démocratique
Si tel est vraiment le cas, le boycott volontaire des antennes de France Télévisions par un élu socialiste menace le fonctionnement même du débat démocratique dans les médias audiovisuels qu'ils soient publics ou privés.
Je me permets en effet de rappeler que d'ici à quelques semaines nous allons entrer dans une période de campagne électorale au cours de laquelle la télévision publique va multiplier les émissions politiques alors même que les règles de pluralisme seront beaucoup plus contraignantes.
Vous comprendrez donc, Madame la Première Secrétaire, que les rédactions du groupe France Télévisions doivent être informées des intentions du Parti Socialiste à ce sujet.
Par ailleurs, dans le communiqué qu'il a publié pour justifier son refus de participer à l'émission « A vous de juger » alors même que celle-ci venait de commencer, Monsieur Vincent Peillon demande la démission de Madame Arlette Chabot, Directrice générale adjointe chargée de l'information, et pour faire bonne mesure, de tous les responsables de France 2 ayant organisé et autorisé la tenue de ce débat.
Un tel appel à la démission […] sans précédent depuis quelques dizaines d'années
Je ne mentionne évidemment pas les termes utilisés par Monsieur Vincent Peillon pour qualifier la télévision publique mais j'aimerais savoir si vous-même et le Parti Socialiste cautionnez cet appel à la démission collective. Un tel appel à la démission de responsables audiovisuels et de journalistes est je crois sans précédent depuis quelques dizaines d'années.
La télévision publique appartient à la Nation toute entière. Ses salariés, qu'ils soient ou non journalistes, donnent au quotidien et dans des conditions parfois difficiles le meilleur d'eux-mêmes pour informer les téléspectateurs.
Vous comprendrez qu'en tant que Président de France Télévisions je ne puisse tolérer qu'il soit porté atteinte à leur honneur et c'est pour cette raison que je rendrai cette lettre publique après vous l'avoir fait parvenir.
La vie politique a ses pratiques et ses usages. La vie démocratique, elle, a ses règles et a ses lois. Si l'un des principaux acteurs de cette vie démocratique refuse de les respecter c'est le contrat social lui-même qui vole en éclat.
Soyez assurée que je serais extrêmement heureux de pouvoir m'entretenir directement avec vous des suites de cette affaire.
Je vous prie de croire, Madame la Première Secrétaire, à l'expression de ma considération distinguée et de mes respectueux hommages.
► Cette lettre ouverte a été rendue publique le 15/01/2010 par la direction de France Télévisions
Après le clash de Peillon, Patrick de Carolis écrit à Aubry
Par Patrick de Carolis
Madame la Première Secrétaire,
Au-delà de la forme, particulièrement déplaisante, avec laquelle Monsieur Vincent Peillon, député européen, a refusé de participer au débat organisé hier [jeudi, ndlr] soir sur France 2 alors qu'il devait y représenter le Parti socialiste, cette désertion pose un grave problème de fond sur lequel je souhaiterais obtenir votre éclairage.
La télévision publique a, comme vous le savez, pour mission d'organiser et de faire vivre le débat public. Or, elle doit pour cela pouvoir exercer sa pleine liberté éditoriale dans le strict respect des règles du pluralisme fixées et contrôlées par le Conseil supérieur de l'audiovisuel.
Dans ce contexte, soit l'attitude de Monsieur Peillon est une initiative personnelle et elle n'aura pas d'autre retentissement que celui que l'opinion voudra bien lui donner, soit elle est le fruit d'une décision réfléchie et concertée du parti politique dont vous avez la charge.
Les propos de Vincent Peillon qui a déclaré vous avoir informée de sa décision il y a plus de 48 heures et le soutien public que vous venez de lui apporter par voie de dépêche de presse le laissent entendre.
Le boycott volontaire […] menace le fonctionnement même du débat démocratique
Si tel est vraiment le cas, le boycott volontaire des antennes de France Télévisions par un élu socialiste menace le fonctionnement même du débat démocratique dans les médias audiovisuels qu'ils soient publics ou privés.
Je me permets en effet de rappeler que d'ici à quelques semaines nous allons entrer dans une période de campagne électorale au cours de laquelle la télévision publique va multiplier les émissions politiques alors même que les règles de pluralisme seront beaucoup plus contraignantes.
Vous comprendrez donc, Madame la Première Secrétaire, que les rédactions du groupe France Télévisions doivent être informées des intentions du Parti Socialiste à ce sujet.
Par ailleurs, dans le communiqué qu'il a publié pour justifier son refus de participer à l'émission « A vous de juger » alors même que celle-ci venait de commencer, Monsieur Vincent Peillon demande la démission de Madame Arlette Chabot, Directrice générale adjointe chargée de l'information, et pour faire bonne mesure, de tous les responsables de France 2 ayant organisé et autorisé la tenue de ce débat.
Un tel appel à la démission […] sans précédent depuis quelques dizaines d'années
Je ne mentionne évidemment pas les termes utilisés par Monsieur Vincent Peillon pour qualifier la télévision publique mais j'aimerais savoir si vous-même et le Parti Socialiste cautionnez cet appel à la démission collective. Un tel appel à la démission de responsables audiovisuels et de journalistes est je crois sans précédent depuis quelques dizaines d'années.
La télévision publique appartient à la Nation toute entière. Ses salariés, qu'ils soient ou non journalistes, donnent au quotidien et dans des conditions parfois difficiles le meilleur d'eux-mêmes pour informer les téléspectateurs.
Vous comprendrez qu'en tant que Président de France Télévisions je ne puisse tolérer qu'il soit porté atteinte à leur honneur et c'est pour cette raison que je rendrai cette lettre publique après vous l'avoir fait parvenir.
La vie politique a ses pratiques et ses usages. La vie démocratique, elle, a ses règles et a ses lois. Si l'un des principaux acteurs de cette vie démocratique refuse de les respecter c'est le contrat social lui-même qui vole en éclat.
Soyez assurée que je serais extrêmement heureux de pouvoir m'entretenir directement avec vous des suites de cette affaire.
Je vous prie de croire, Madame la Première Secrétaire, à l'expression de ma considération distinguée et de mes respectueux hommages.
► Cette lettre ouverte a été rendue publique le 15/01/2010 par la direction de France Télévisions
T'as raison Lancelot, Tonton le président gaucho, lui, il les virait les présidents! icon_mrgreen icon_mrgreenBéaBa a écrit :C'est pas nouveau, c'était également le cas pour tonton la francisque, qui ne s'était nullement gêné pour faire main basse sur le médias.lancelot a écrit :Il est vrai que l'ingérence du nabot dans les médias publics n'est pas contestable, vu que c'est lui même qui nomme les présidents ....
Bienvenue à Sarko-land
JC
"Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi ni à personne..."
Chamfort
"Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi ni à personne..."
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