Qu'importe la victoire, la France n'aura jamais le président qu'il faudra, tant que le système électoral est ce qu'il est et tant que les Français élisent leur président de manière subjective et épidermique. Ca sera toujours celui qui sera le plus théâtral.Narbonne » 19 Fév 2015, 22:34:25 a écrit :Après sa victoire en 2017
Le système électoral a peut-être des défauts, mais ce sont les Français qui votent ! Si les Français préfèrent voter pour des candidats qui promettent monts et merveilles plutôt que pour des candidats qui tiennent un discours de vérité, alors changer le système électoral ne servira à rien : les Français ont la classe politique qu'ils méritent.karoline » Ven 20 Fév 2015 - 17:22 a écrit :Qu'importe la victoire, la France n'aura jamais le président qu'il faudra, tant que le système électoral est ce qu'il est et tant que les Français élisent leur président de manière subjective et épidermique. Ca sera toujours celui qui sera le plus théâtral.Narbonne » 19 Fév 2015, 22:34:25 a écrit :Après sa victoire en 2017
A la limite les Français méritent totalement d'être trompés, le cinéma dans les salles prévues pour ça, mais pas à la tête d'un pays.
Qu'en pensez vous ?Le Premier ministre, qui fête mardi sa première année à Matignon, affiche son "immense détermination" à poursuivre les réformes et à faire voter des "lois de gauche".
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Seulement un ajustement technique avant l'été
Pour éviter que les mêmes causes produisent les mêmes effets, le chef de la majorité exhorte à l'union : "La division est mortelle, on l'a vu dans plusieurs départements. L'expérience de Grenoble n'a pas fonctionné, l'idée d'un Podemos à la française n'a pas marché. Il faut préparer le rassemblement des régionales, c'est le travail des partis. Mais la ligne de conduite est simple pour tous : comment agir si on ne veut pas que la gauche soit éliminée au premier tour et garder un maximum de régions?"
Ce soir, Manuel Valls s'adressera aux Français sur le thème "J'ai entendu, on continue, mais le remaniement, ce n'est pas maintenant". Le message de François Hollande et Manuel Valls est clair : "Le gouvernement ne change pas. Peut-on s'ouvrir à d'autres et notamment aux écologistes? C'est à eux d'en décider", affirme le Premier ministre. D'ici à l'été, Carole Delga, secrétaire d'État chargée du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation et de l'Économie sociale et solidaire, devrait quitter le gouvernement pour se lancer dans la bataille électorale en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, un secrétaire d'État à l'enseignement supérieur devrait être nommé. Bref, un ajustement technique, mais guère plus. "Faire entrer Jean-Vincent Placé ou Jean-Marc Germain, à quoi ça sert?", ironise un poids lourd du gouvernement. "J'y serai encore et je resterai à ce poste", s'est déjà réjouie Ségolène Royal devant des proches. Manuel Valls prévient : "Il n'y aura pas de zigzag. Le remaniement n'est pas l'urgence. Le cap sera maintenu."
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Qu'en pensez vous ?62% des personnes interrogées par l’Ifop (dont 81% des sympathisants de gauche et 61% de l’UMP) ne veulent pas d’un changement de Premier ministre. "Tout se passe comme si l’opinion ne rendait pas Manuel Valls responsable de l’échec de la gauche en dépit de son fort engagement, et était prête à lui accorder un nouveau bail", commente Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop.
De même, 60% des Français interrogés (68% de sympathisants de droite et de 47% de ceux de gauche) souhaitent que soit maintenu le cap des réformes "en faveur des entreprises et de la relance économique".
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