N. Sarkozy demande à J.Attali de reprendre ses travaux sur l
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Bonjour,
Est-ce le signe que l’économie française peine à sortir de la crise ? Dans un communiqué diffusé mercredi soir par l’Elysée, Nicolas Sarkozy et François Fillon annoncent avoir demandé à Jacques Attali de reprendre les travaux de la Commission pour la libération de la croissance française. Cet ancien proche de François Mitterrand a quatre mois pour rendre sa nouvelle copie, avec un point d’étape attendu mi-mai. L’objectif est clairement détaillé : d’une part, évaluer la mise en œuvre des réformes décidées après le premier rapport Attali ; d’autre part, "proposer des réformes nouvelles pour accroître le potentiel de croissance de notre pays dans les domaines de la création d'emplois et de la réforme du marché des biens et services, pour augmenter le pouvoir d'achat, et pour simplifier les procédures qui pèsent sur l'activité économique et les entreprises". De nouvelles propositions "Après la crise internationale qu'a traversé notre pays, dont l'impact a été amorti par les mesures prises par le gouvernement, l'enjeu est désormais de tirer pleinement profit de la reprise en cours et d'inscrire la France sur un chemin de croissance forte et durable", assure le communiqué de l’Elysée. Avant de préciser immédiatement : "ces propositions s'inscriront pleinement dans le cadre du rétablissement de l'équilibre de nos finances publiques". C’est en juillet 2007 que Jacques Attali avait été appelé une première fois par Nicolas Sarkozy. Il s’agissait alors de plancher avec d’autres experts sur "les freins à la croissance". Son rapport qui contenait 314 mesures a été officiellement rendu en janvier 2008. Qu'en pensez vous ? A plus tard,
Est-ce le signe que l’économie française peine à sortir de la crise ? Dans un communiqué diffusé mercredi soir par l’Elysée, Nicolas Sarkozy et François Fillon annoncent avoir demandé à Jacques Attali de reprendre les travaux de la Commission pour la libération de la croissance française. Cet ancien proche de François Mitterrand a quatre mois pour rendre sa nouvelle copie, avec un point d’étape attendu mi-mai. L’objectif est clairement détaillé : d’une part, évaluer la mise en œuvre des réformes décidées après le premier rapport Attali ; d’autre part, "proposer des réformes nouvelles pour accroître le potentiel de croissance de notre pays dans les domaines de la création d'emplois et de la réforme du marché des biens et services, pour augmenter le pouvoir d'achat, et pour simplifier les procédures qui pèsent sur l'activité économique et les entreprises". De nouvelles propositions "Après la crise internationale qu'a traversé notre pays, dont l'impact a été amorti par les mesures prises par le gouvernement, l'enjeu est désormais de tirer pleinement profit de la reprise en cours et d'inscrire la France sur un chemin de croissance forte et durable", assure le communiqué de l’Elysée. Avant de préciser immédiatement : "ces propositions s'inscriront pleinement dans le cadre du rétablissement de l'équilibre de nos finances publiques". C’est en juillet 2007 que Jacques Attali avait été appelé une première fois par Nicolas Sarkozy. Il s’agissait alors de plancher avec d’autres experts sur "les freins à la croissance". Son rapport qui contenait 314 mesures a été officiellement rendu en janvier 2008. Qu'en pensez vous ? A plus tard,
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Bonjour,
Nous sommes très loin d'être sortis de la crise" en France, a affirmé vendredi 26 février Jacques Attali, qui a repris son travail à la tête de la Commission pour la libération de la croissance française, à la demande mercredi de l'Elysée.
Selon Jacques Attali, "le monde continue de croître à très forte vitesse", avec une croissance "de 4 à 5%". Mais ce n'est le cas "ni en Europe, ni aux Etats-Unis, ni au Japon [...] qui sont en vraie crise, ou [ne] maintiennent une faible croissance qu'au prix d'un endettement extrême". "Donc nous sommes très loin d'être sortis de la crise", a-t-il souligné sur France 2.
Dans son ordre de mission, l'Elysée estimait mercredi qu'"après la crise internationale qu'a traversée notre pays [...] l'enjeu est désormais de tirer pleinement profit de la reprise en cours".
Une première réunion de la commission Attali, composée de "43 personnes de tendances très diverses", a eu lieu jeudi soir.
"Il faut se rendre compte que nous allons dans le mur en klaxonnant, que l'endettement devient excessif, que le chômage va augmenter", a averti Jacques Attali, soulignant la nécessité d'une "mobilisation générale".
La tâche de la commission sera aussi de "vérifier ce qui a été appliqué du précédent rapport", rendu en 2008. "Enormément" de mesures gouvernementales récentes, comme la loi de modernisation de l'économie (LME), "viennent de ce rapport". Ce qui "n'a pas été appliqué", c'est "étrangement tout ce qui concerne la réforme de l'Etat, qui devrait permettre de réduire le déficit [...] et un grand nombre de mesures de nature sociale" pour réduire le chômage, a regretté Jacques Attali.
Or il est "très urgent de mettre un plan de long terme pour réduire le déficit" de l'Etat, a-t-il plaidé, estimant qu'il "n'y pas d'autre solution que d'augmenter les impôts et réduire les dépenses".
A plus tard,
Nous sommes très loin d'être sortis de la crise" en France, a affirmé vendredi 26 février Jacques Attali, qui a repris son travail à la tête de la Commission pour la libération de la croissance française, à la demande mercredi de l'Elysée.
Selon Jacques Attali, "le monde continue de croître à très forte vitesse", avec une croissance "de 4 à 5%". Mais ce n'est le cas "ni en Europe, ni aux Etats-Unis, ni au Japon [...] qui sont en vraie crise, ou [ne] maintiennent une faible croissance qu'au prix d'un endettement extrême". "Donc nous sommes très loin d'être sortis de la crise", a-t-il souligné sur France 2.
Dans son ordre de mission, l'Elysée estimait mercredi qu'"après la crise internationale qu'a traversée notre pays [...] l'enjeu est désormais de tirer pleinement profit de la reprise en cours".
Une première réunion de la commission Attali, composée de "43 personnes de tendances très diverses", a eu lieu jeudi soir.
"Il faut se rendre compte que nous allons dans le mur en klaxonnant, que l'endettement devient excessif, que le chômage va augmenter", a averti Jacques Attali, soulignant la nécessité d'une "mobilisation générale".
La tâche de la commission sera aussi de "vérifier ce qui a été appliqué du précédent rapport", rendu en 2008. "Enormément" de mesures gouvernementales récentes, comme la loi de modernisation de l'économie (LME), "viennent de ce rapport". Ce qui "n'a pas été appliqué", c'est "étrangement tout ce qui concerne la réforme de l'Etat, qui devrait permettre de réduire le déficit [...] et un grand nombre de mesures de nature sociale" pour réduire le chômage, a regretté Jacques Attali.
Or il est "très urgent de mettre un plan de long terme pour réduire le déficit" de l'Etat, a-t-il plaidé, estimant qu'il "n'y pas d'autre solution que d'augmenter les impôts et réduire les dépenses".
A plus tard,
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C'est évident! Seul un vrai plan de rigueur que nul n'a les c...... à mettre en place peut nous en sortir. Seulement la gauche n'attend que ça pour faire tomber la droite et la droite préfère laisser le cadeau empoisonné à la gauche. Résultat nous sommes ts dans la me...! icon_evil La rigueur, c'est faire des économies drastiques partout et surtout sur le plus gros budget de l'Etat: les fonc. Nous en avons entre 1.5 et 2 millions de trop!politicien a écrit : Bonjour,
Nous sommes très loin d'être sortis de la crise" en France, a affirmé vendredi 26 février Jacques Attali, qui a repris son travail à la tête de la Commission pour la libération de la croissance française, à la demande mercredi de l'Elysée.
Selon Jacques Attali, "le monde continue de croître à très forte vitesse", avec une croissance "de 4 à 5%". Mais ce n'est le cas "ni en Europe, ni aux Etats-Unis, ni au Japon [...] qui sont en vraie crise, ou [ne] maintiennent une faible croissance qu'au prix d'un endettement extrême". "Donc nous sommes très loin d'être sortis de la crise", a-t-il souligné sur France 2.
Dans son ordre de mission, l'Elysée estimait mercredi qu'"après la crise internationale qu'a traversée notre pays [...] l'enjeu est désormais de tirer pleinement profit de la reprise en cours".
Une première réunion de la commission Attali, composée de "43 personnes de tendances très diverses", a eu lieu jeudi soir.
"Il faut se rendre compte que nous allons dans le mur en klaxonnant, que l'endettement devient excessif, que le chômage va augmenter", a averti Jacques Attali, soulignant la nécessité d'une "mobilisation générale".
La tâche de la commission sera aussi de "vérifier ce qui a été appliqué du précédent rapport", rendu en 2008. "Enormément" de mesures gouvernementales récentes, comme la loi de modernisation de l'économie (LME), "viennent de ce rapport". Ce qui "n'a pas été appliqué", c'est "étrangement tout ce qui concerne la réforme de l'Etat, qui devrait permettre de réduire le déficit [...] et un grand nombre de mesures de nature sociale" pour réduire le chômage, a regretté Jacques Attali.
Or il est "très urgent de mettre un plan de long terme pour réduire le déficit" de l'Etat, a-t-il plaidé, estimant qu'il "n'y pas d'autre solution que d'augmenter les impôts et réduire les dépenses".
A plus tard,
Autre chose: Je viens de lire dans Le POINT de cette semaine ceci: 189.5 millions d'€ c'est le montant (exorbitant) des loyers payés par l'Etat pour 72 bureaux de prestige, révélé dans le rapport consacré à l'Etat locataire. En tête du palmarès, la Mission de Lutte contre la Toxicomanie, le conseil d'éthique et le Haut Conseil à l'intégration! La haute Autorité de lutte contre les discriminations paie 11 millions d'€ de loyer pour 650 m² par an!!! Je serais curieux de connaître l'heureux bailleur!
Voilà où passe notre fric! Dans des Hauts conseils où commissions et autres foutaises bureaucratiques qui ne servent qu'à placer des hauts fonc.! Y EN A MARRE icon_evil Sachez qu'il y a des Hautes commissions pour la dette, pour la croissance, pour l'emploi etc etc... Que fiche ces bons à rien qu'attend Sarko et le gouv. pour limoger tous ces parasites et fermer ts ces sinécures inutiles?
JC
"Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi ni à personne..."
Chamfort
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La reprise de l'analyse des moyens de croissance ne peut se limiter à un rapport déjà ancien : c'est au jour le jour qu'il faut gérer, et envisager des pistes nouvelles.
La rigueur a ses limites. Et vu la situation française, il faut naviguer entre des économies, tout en évitant une déflation qui serait mortelle.
Tous les cris en majuscules ne remplaceront pas une analyse volontaire et très complexe.
La rigueur a ses limites. Et vu la situation française, il faut naviguer entre des économies, tout en évitant une déflation qui serait mortelle.
Tous les cris en majuscules ne remplaceront pas une analyse volontaire et très complexe.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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