Ce sont les questions pièges préférées des journalistes lorsqu'ils sont face à des hommes et femmes politiques : le prix des objets du quotidien ou les précisions évidentes sur leur domaine d'intervention. Lundi 24 octobre, c'est Jean-François Copé qui s'est pris les pieds dans le tapis. L'occasion pour franceinfo de revenir sur quelques précédents.
Copé et son pain au chocolat à 10 centimes
Jean-François Copé et le pain au chocolat, un amour contrarié. Interrogé sur le prix de cette viennoiserie, lundi 24 octobre, le candidat à la primaire à droite répond, hésitant : "Je n'en ai aucune idée (…). Ça doit être aux alentours de 10 ou 15 centimes." En réalité, le prix oscille entre 1 euro et 1,50 euro. "Je suis loin du compte", reconnaît immédiatement le député-maire de Meaux (Seine-et-Marne). Et de se justifier : "Je ne vais pas en acheter très souvent, c'est un peu calorique."
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NKM et le ticket de métro à 4 euros
C'est l'erreur bête quand on est ministre de l'Ecologie et des Transports. En février 2012, Nathalie Kosciusko-Morizet, alors porte-parole de Nicolas Sarkozy, évalue le prix du ticket de métro à 4 euros. Bien loin des 1,70 euro qu'il coûte à l'époque. Pour sa défense, la ministre indique, dans son "mea culpa", qu'elle bénéficie du "métro gratuit", de par ses fonctions.
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http://www.francetvinfo.fr/politique/pa ... or=CS1-747
Que pensez vous de ce genre d'erreur ?