Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer
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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer
L'affaire, en elle même est relativement mineure, en revanche l'attitude du pouvoir à l'égard de l'intéressé révèle l'importance de la proximité, le culte de l'entre soi, du réseau etc....à mon avis
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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer
Si c'est une "affaire mineure" pourquoi en faire une affaire d'état ?
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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer
C'est une affaire d'état mineure
Les affaires d'état majeures c'est la tuerie d'Auriol, les Irlandais de Vincennes, les écoutes illégales etc. Je suis pas sûr qu'il y ait eu des commissions sénatoriales à l'époque.
Les affaires d'état majeures c'est la tuerie d'Auriol, les Irlandais de Vincennes, les écoutes illégales etc. Je suis pas sûr qu'il y ait eu des commissions sénatoriales à l'époque.
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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer
C’est une affaire d’état médiocre surtout, enfantée par un système d’amateurisme.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer
C'est clair que ce n'est pas cet agent de sécurité pas complètement fini qui a géré une foule de millions de gens.
Il était dans le bus, c'est un événement suffisamment grave dans l'histoire de la France pour que nos élites l'auditionnent...(Je précise, on ne sait jamais, que c'est pur sarcasme !)
Il était dans le bus, c'est un événement suffisamment grave dans l'histoire de la France pour que nos élites l'auditionnent...(Je précise, on ne sait jamais, que c'est pur sarcasme !)
Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer
Apparement il a bien géré le bus, hors c’est le paramètre principal de l’événement. Mais on a bien compris : foot sport de débiles donc événement anodin
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer
Entre gérer le bus (en fait s'assurer auprès du chauffeur que les bleus seraient à l'Elysée pour le 20H) et "gérer" l’événement avec des centaines de milliers de personnes il y a une "légère" marge.
L’événement n'était pas anodin (la descente des champs Elysées) mais le rôle de Benalla est, oui, absolument anodin, et pas parce que le foot est un sport de débiles mais parce que la banalité du rôle de ce type ne mérite toujours pas que l'on dépense des dizaines de milliers d'€ dans des commissions sans fin.
Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer
Un article pas si mal fait, me semble-t-il:
https://www.huffingtonpost.fr/daniel-so ... _23529852/
https://www.huffingtonpost.fr/daniel-so ... _23529852/
Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer
L'Elysée est bien un service public, sauf si Macron paye les salaires avec son argent personnel bien sûr.Papibilou a écrit : ↑18 sept. 2018, 17:43:39Un article pas si mal fait, me semble-t-il:
https://www.huffingtonpost.fr/daniel-so ... _23529852/
Bal pourrait même convoquer Brigitte s'il le voulait. Encore faudrait-il que ce soit en rapport avec l'affaire.
Macron peut pleurnicher chez Larcher, au final c'est le Sénat qui fait ce qu'il veut, dans le respect des textes.
Article intéressant néanmoins.
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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer
Ce qu'il faut retenir de l'audition d'Alexandre Benalla devant les sénateurs
19 sept. 2018, 09:52:38
LE SCAN POLITIQUE/VIDÉO - L'ancien chargé de mission à l'Élysée a répondu aux questions des sénateurs de la commission d'enquête, ce mercredi. «Je n'ai jamais été ni policier ni garde du corps du…
LE SCAN POLITIQUE/VIDÉO - L'ancien chargé de mission à l'Élysée a répondu aux questions des sénateurs de la commission d'enquête, ce mercredi. «Je n'ai jamais été ni policier ni garde du corps du président de la République», a-t-il déclaré.
Il s'est présenté sans avocat, en esquissant quelques sourires. Il a ensuite juré de dire «toute la vérité, rien que la vérité». Mercredi matin, Alexandre Benalla a été entendu pendant près de trois heures par les sénateurs de la commission d'enquête constituée pour faire la lumière sur son rôle à l'Élysée. L'homme âgé de 27 ans ne s'était pas exprimé publiquement depuis ses trois entretiens accordés aux médias en l'espace de quatre jours, en juillet dernier (Le Monde, le 20 heures de TF1, Le Journal du Dimanche).
Aucune question n'a été posée sur les violences à l'origine d'une affaire qui a terni l'image de l'exécutif. En raison de la séparation des pouvoirs législatif et judiciaire, le Sénat n'a pas pu empiéter sur l'enquête judiciaire ouverte après les agissements d'Alexandre Benalla, filmé le 1er mai en train de violenter un manifestant à Paris. Les interrogations des sénateurs ont donc porté sur le rôle joué par cet ancien chargé de mission à l'Élysée, en fonction du 15 mai 2017 jusqu'à la procédure de licenciement engagée contre lui, en juillet dernier.
● «Je n'ai jamais été ni policier ni garde du corps» d'Emmanuel Macron
Pendant la campagne présidentielle comme à l'Élysée, Alexandre Benalla affirme qu'il «n'a jamais été le garde du corps d'Emmanuel Macron». Il a indiqué qu'il gérait «la sécurité» mais aussi «l'accueil du public», pendant la campagne présidentielle et les meetings, en tant que directeur de la sûreté et de la sécurité d'En Marche!, où il dit avoir été recruté officiellement en décembre 2016, pour un salaire mensuel de 3500 euros nets.
Il a ensuite été embauché à l'Élysée, comme adjoint au chef de cabinet du président de la République. Ses missions ont-elles pu interférer avec les deux unités d'élite chargées de la protection du chef de l'État, à savoir le Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR), et, à l'intérieur de l'Élysée, le commandement militaire? Alexandre Benalla a répondu par la négative. Son rôle à l'Élysée n'était «pas une fonction opérationnelle de sécurité» mais «une fonction administrative», explique-t-il.
Il a énuméré ses cinq missions: «l'organisation des déplacements nationaux du président, l'organisation des événements au Palais, l'organisation des déplacements privés du président et la coordination des services de sécurité, qui était une fonction administrative», mais aussi la gestion des cadeaux diplomatiques, offerts ou reçus par le chef de l'État. «Je n'ai jamais été ni policier ni garde du corps du président de la République», a-t-il insisté, avant d'assurer qu'il fournira sa fiche de poste à la commission d'enquête du Sénat.
● Des contradictions sur le port d'arme
Alexandre Benalla affirme qu'il n'exerçait pas de mission de police. Mais alors pourquoi avoir demandé une autorisation de port d'arme, délivrée par la préfecture de police de Paris en octobre 2017? «Pour des motifs de défense et de sécurité personnels», a-t-il répondu, précisant que «la mission de police n'est pas un préalable à la délivrance de port d'arme». Il a demandé cette autorisation «parce que quand vous êtes dans des fonctions à la présidence de la République ou pendant la campagne, vous êtes exposé vous-même.»
Pourtant, deux éléments viennent contrarier les «raisons personnelles» invoquées par Alexandre Benalla pour justifier sa demande du port d'arme. Tout d'abord la déclaration du préfet de police de Paris Michel Delpuech, devant les députés en juillet dernier: il avait affirmé avoir délivré à Alexandre Benalla, sur demande de l'Élysée, une autorisation de port d'arme «liée à la fonction auprès du chef de l'État», et «en aucun cas un port d'arme permanent». Ensuite, Alexandre Benalla a affirmé devant les sénateurs avoir déjà porté son arme lors de déplacements du président de la République, publics comme privés. C'est arrivé «trois fois en un an», selon lui. «Ma mission, quand vous êtes dans le cabinet du président de la République, elle est permanente. Quand je rentrais chez moi, je rentrais avec mon arme sur moi, un Glock 43, jusqu'à mon domicile», a-t-il indiqué.
(...)
Depuis son licenciement de l'Élysée, il est à Pôle emploi et n'exerce «aucune activité professionnelle». «Quand tout cela sera terminé, on reprendra une vie normale. En tout cas, on fera autre chose», a dit Alexandre Benalla, à la troisième personne.
Article complet sur http://www.lefigaro.fr/politique/le-sca ... ateurs.php
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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer
Macron n’a as été destitué dans la foulée ? J’ai entendu du bruit près de chez moi, j’ai cru que c’etait la milice interne du Sénat qui faisait un coup d’état.
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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer
Le cirque se poursuit, tout cela ne sert strictement à rien, hormis attirer l'attention sur des réalités que les citoyens ignoraient....Mais que chacun se rassure, je ne crois absolument pas à une restructuration et une modification en profondeur du fonctionnement qui perdure depuis des décennies et qui ne profitent qu'à ces gens là.
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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer
Affaire Benalla : Macron prendra la parole en octobre
Après avoir gardé le silence, l'Elysée prévoit une prise de parole d'Emmanuel Macron au mois d'octobre, selon l'hebdomadaire Marianne. Le chef de l'Etat évoquera notamment l'affaire Benalla.
Après avoir gardé le silence, l'Elysée prévoit une prise de parole d'Emmanuel Macron au mois d'octobre, selon l'hebdomadaire Marianne. Le chef de l'Etat évoquera notamment l'affaire Benalla.
En juillet, en pleine affaire Benalla, Emmanuel Macron avait gardé le silence, ce que lui avait vivement reproché l'opposition. C'est seulement lors d'un pot de fin de session parlementaire, auprès des élus LREM et MoDem, à la Maison de l'Amérique latine, que le Président avait fait quelques déclarations. "J'ai plutôt pris ce pli de choisir le moment où je parle et ne pas me le faire dicter", expliquait-il alors. Selon l'hebdomadaire Marianne, Emmanuel Macron aurait toutefois choisi de s'adresser prochainement aux Français. Au mois d'octobre, précise son entourage.
"Nous réfléchissons à un format, quelque chose d'assez long, mais pas un 20 Heures", indique la même source, qui indique que le chef de l'Etat parlera de "l'Etat de la France", fera "le bilan de cette rentrée" et "répondra aux questions sur l'affaire Benalla.
Lire aussi - Alexandre Benalla : les cinq phrases fortes de son audition décryptées
L'Elysée "n'a pas pris la juste mesure de l'affaire"
(...)
Article complet sur https://www.lejdd.fr/politique/affaire- ... re-3759809
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Re: Affaire Alexandre Benalla : Macron refuse de commenter, Philippe et Collomb tentent de déminer
Ah ca y es, ils ont estimé que le plan de communication et le timing étaient opérationnels ?
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