Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
- wesker
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Re: Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
Réduire les déficits budgétaires...nous sommes d'accord la dessus mais je constate que si nous sommes nombreux à y contribuer, à accepter les nécessaires efforts certains (pleureuses habituelles alors qu'elles ont déjà tout) s'y refusent obstinément.
Je ne rend pas l'Union Européenne responsable de nos défauts, j'estime que ce sont les dirigeants politiques qui participent de ces abandons de souveraineté et d'acceptation des orientations qui se décident au prix de compromis hasardeux qui sont à l'origine de nombre de nos problèmes et refusent que nous ne puissions, par exemple même pas légiférer sur l'utilisation d'un herbicide. Mais ce sont les responsables politiques, en surnombre selon moi que je tiens pour responsables, pas nos partenaires.
Je ne rend pas l'Union Européenne responsable de nos défauts, j'estime que ce sont les dirigeants politiques qui participent de ces abandons de souveraineté et d'acceptation des orientations qui se décident au prix de compromis hasardeux qui sont à l'origine de nombre de nos problèmes et refusent que nous ne puissions, par exemple même pas légiférer sur l'utilisation d'un herbicide. Mais ce sont les responsables politiques, en surnombre selon moi que je tiens pour responsables, pas nos partenaires.
Re: Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
Sur les déficits budgétaires, nous sommes globalement d'accord (à condition quand même que tu arrêtes de nous faire croire qu'il suffirait de s'attaquer au train de vie des élus pour les réduire).
Mon propos est simplement de dire qu'à partir du moment où nous avons accepté le libre-échange, il faut en tirer les conclusions qui s'imposent en menant ce qu'on pourrait appeler schématiquement une politique de l'offre. Il ne s'agit pas en disant ça d'obéir à l'Allemagne ou à la Commission européenne, il s'agit simplement de défendre nos intérêts.
Mon propos est simplement de dire qu'à partir du moment où nous avons accepté le libre-échange, il faut en tirer les conclusions qui s'imposent en menant ce qu'on pourrait appeler schématiquement une politique de l'offre. Il ne s'agit pas en disant ça d'obéir à l'Allemagne ou à la Commission européenne, il s'agit simplement de défendre nos intérêts.
- wesker
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Re: Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
D'une part je n'ai JAMAIS DIT NI PENSE NI ECRIT que la réduction du train de vie et des pratiques des élus suffirait à résoudre nos déficits budgétaires, j'ai simplement dit que cela permettrait de justifier les efforts auprès de TOUS les français
En matière de libre échange effectivement, si nous considérons que le commerce, au niveau international doit consister à importer des produits sans tenir compte de leurs modes de production il est indispensable d'agir sur le levier de la compétitivité prix, qualité, à défaut de pouvoir ajuster notre monnaie...mais je crois qu'il faut éviter la confusion faite habituellement entre le commerce international qui existe depuis des siècles et la mondialisation sauvage qui est l'application d'une idéologie spécifique qui vise à défendre des intérêts largement minoritaires.
En matière de libre échange effectivement, si nous considérons que le commerce, au niveau international doit consister à importer des produits sans tenir compte de leurs modes de production il est indispensable d'agir sur le levier de la compétitivité prix, qualité, à défaut de pouvoir ajuster notre monnaie...mais je crois qu'il faut éviter la confusion faite habituellement entre le commerce international qui existe depuis des siècles et la mondialisation sauvage qui est l'application d'une idéologie spécifique qui vise à défendre des intérêts largement minoritaires.
Re: Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
Au fond je vous rejoins sur le fait que ce sont bien nos responsables politiques qui sont responsables.wesker a écrit : ↑26 août 2018, 20:57:37Réduire les déficits budgétaires...nous sommes d'accord la dessus mais je constate que si nous sommes nombreux à y contribuer, à accepter les nécessaires efforts certains (pleureuses habituelles alors qu'elles ont déjà tout) s'y refusent obstinément.
Je ne rend pas l'Union Européenne responsable de nos défauts, j'estime que ce sont les dirigeants politiques qui participent de ces abandons de souveraineté et d'acceptation des orientations qui se décident au prix de compromis hasardeux qui sont à l'origine de nombre de nos problèmes et refusent que nous ne puissions, par exemple même pas légiférer sur l'utilisation d'un herbicide. Mais ce sont les responsables politiques, en surnombre selon moi que je tiens pour responsables, pas nos partenaires.
Mais j'ajouterai un autre responsable: nous !! Car enfin c'est bien nous qui râlons dès qu'on touche un centime de nos revenu, c'est bien nous qui pestons dès qu'on ne nous permet plus d'aller vite sur les routes, c'est bien nous qui estimons de toujours trop payer à l'état ou aux organismes sociaux pour la santé la retraite etc .. et c'est bien nous qui sommes scandalisés de tout mais trouvons commode de payer au black ou de dissimuler un revenu pour payer moins d'impôts. Ce qui manque chez nous c'est la conscience de citoyen. C'est regarder la poutre qui est dans son œil avant de regarder la paille dans celui du voisin.
- wesker
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Re: Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
Papibilou, des corporations étant structurées, organisées, il y aura toujours des oppositions, c'est pour cette raison d'ailleurs que les salariés, les automobilistes et d'autres sont régulièrement mis à contribution.
Mais cela ne suffisant plus, il est nécessaire désormais de s'attaquer, aussi aux retraités et aux classes moyennes....car je ne crois pas qu'ils accepteront de réduire les hauts conseils, comité, think tankl et autres lieux de pantouflage qui caractérise notre démocratie et que je crois excessivement coûteux.
Mais cela ne suffisant plus, il est nécessaire désormais de s'attaquer, aussi aux retraités et aux classes moyennes....car je ne crois pas qu'ils accepteront de réduire les hauts conseils, comité, think tankl et autres lieux de pantouflage qui caractérise notre démocratie et que je crois excessivement coûteux.
Re: Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
Je vais nuancer le propos : le principal responsable de la situation du pays (déficits, sous-emploi, insécurité, etc.), c'est d'abord nous. Je persiste à penser que nos dirigeants politiques ont beaucoup de moins de pouvoirs qu'il n'y paraît, et qu'en réalité, ils sont d'abord le réceptacle des demandes sociales et pressions sociales en tous genres. On peut éventuellement leur reprocher un manque de courage : mais après tout, c'est la démocratie qui veut ça.Au fond je vous rejoins sur le fait que ce sont bien nos responsables politiques qui sont responsables.
Mais j'ajouterai un autre responsable: nous !! Car enfin c'est bien nous qui râlons dès qu'on touche un centime de nos revenu, c'est bien nous qui pestons dès qu'on ne nous permet plus d'aller vite sur les routes, c'est bien nous qui estimons de toujours trop payer à l'état ou aux organismes sociaux pour la santé la retraite etc .. et c'est bien nous qui sommes scandalisés de tout mais trouvons commode de payer au black ou de dissimuler un revenu pour payer moins d'impôts. Ce qui manque chez nous c'est la conscience de citoyen. C'est regarder la poutre qui est dans son œil avant de regarder la paille dans celui du voisin.
C'est bien ce que je dis : le train de vie de la classe politique semble vraiment t'obséder.wesker a écrit : ↑27 août 2018, 23:38:45Papibilou, des corporations étant structurées, organisées, il y aura toujours des oppositions, c'est pour cette raison d'ailleurs que les salariés, les automobilistes et d'autres sont régulièrement mis à contribution.
Mais cela ne suffisant plus, il est nécessaire désormais de s'attaquer, aussi aux retraités et aux classes moyennes....car je ne crois pas qu'ils accepteront de réduire les hauts conseils, comité, think tankl et autres lieux de pantouflage qui caractérise notre démocratie et que je crois excessivement coûteux.
Re: Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
Au fond je suis parfaitement en accord avec vous (y compris sur le manque de courage politique) mais j'ai un peu de mal à accepter ce manque de courage et j'espérais que des hommes politiques dont on limiterait le mandat à 2 n'auraient plus grand chose à perdre lors de leur second mandat ... Mais Mitterand ne comprenait rien à l'économie, Chirac non plus et les autres n'ont été élus qu'1 fois.johanono a écrit : ↑28 août 2018, 08:47:39
Je vais nuancer le propos : le principal responsable de la situation du pays (déficits, sous-emploi, insécurité, etc.), c'est d'abord nous. Je persiste à penser que nos dirigeants politiques ont beaucoup de moins de pouvoirs qu'il n'y paraît, et qu'en réalité, ils sont d'abord le réceptacle des demandes sociales et pressions sociales en tous genres. On peut éventuellement leur reprocher un manque de courage : mais après tout, c'est la démocratie qui veut ça.
Re: Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
Il faudra bien un jour que vous prouviez le coût excessif que vous dénoncez.wesker a écrit : ↑27 août 2018, 23:38:45Papibilou, des corporations étant structurées, organisées, il y aura toujours des oppositions, c'est pour cette raison d'ailleurs que les salariés, les automobilistes et d'autres sont régulièrement mis à contribution.
Mais cela ne suffisant plus, il est nécessaire désormais de s'attaquer, aussi aux retraités et aux classes moyennes....car je ne crois pas qu'ils accepteront de réduire les hauts conseils, comité, think tankl et autres lieux de pantouflage qui caractérise notre démocratie et que je crois excessivement coûteux.
Certes le lien ci dessous n'a pas valeur absolue mais vous donne une idée:
http://www.ifrap.org/fonction-publique- ... -supprimer
Quand vous savez que le déficit budgétaire annuel est de 70 à 80 milliards, à comparer aux 32 millions estimés ici (mais je suis sûr que vous allez penser que c'est sous estimé !!) vous allez, peut-être, vous rendre compte que vos attaques fréquentes contre ces comités théodules sont tout à fait exagérées. Et donc que leur suppression n'améliorera en rien la situation économique du pays.
Quant au fait de s'attaquer aux retraités ou aux classes moyennes: il faudra que vous confirmiez qu'il y a 3 acteurs majeurs en éco: les ménages les entreprises et l'état ( consommateur et redistributeur) et que l'argent ne peut venir d'ailleurs.
Attaquez vous à l'état et vous avez les syndicats qui hurlent à la mort contre les attaques contre les services publics.
Attaquez vous aux entreprises et vous accroissez le chômage et les délocalisations.
Attaquez vous aux riches et ils s'en vont.
Le point sur lequel je vous rejoindrai est celui de la suppression de l'ISF qui apparaît aujourd'hui alors que la croissance se tasse et le chômage stagne comme trop prématuré et trop facile. C'était peut-être la chose à faire psychologiquement en milieu de mandat à condition que les voyant soient au vert, ce qui n'est pas le cas.
Re: Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
Ce n'est pas simplement une question d'impopularité ou de peur de perdre les prochaines élections. Après tout, si on analyse l'histoire récente des 30 dernières années, on s'aperçoit que des gouvernements qui n'ont rien fait se sont, eux aussi, fait battre aux élections suivantes. Donc quitte à être impopulaire et quitte à perdre les élections suivantes, autant que ce soit pour de bonnes raisons, c'est-à-dire après avoir mené des réformes importantes et nécessaires.Papibilou a écrit : ↑28 août 2018, 10:23:34Au fond je suis parfaitement en accord avec vous (y compris sur le manque de courage politique) mais j'ai un peu de mal à accepter ce manque de courage et j'espérais que des hommes politiques dont on limiterait le mandat à 2 n'auraient plus grand chose à perdre lors de leur second mandat ... Mais Mitterand ne comprenait rien à l'économie, Chirac non plus et les autres n'ont été élus qu'1 fois.johanono a écrit : ↑28 août 2018, 08:47:39
Je vais nuancer le propos : le principal responsable de la situation du pays (déficits, sous-emploi, insécurité, etc.), c'est d'abord nous. Je persiste à penser que nos dirigeants politiques ont beaucoup de moins de pouvoirs qu'il n'y paraît, et qu'en réalité, ils sont d'abord le réceptacle des demandes sociales et pressions sociales en tous genres. On peut éventuellement leur reprocher un manque de courage : mais après tout, c'est la démocratie qui veut ça.
C'est surtout, je pense, un problème d'ordre public. Une réforme impopulaire, c'est le blocage du pays assuré : manifestations en tous genres, camions qui bloquent les routes, agriculteurs qui bloquent également les routes, transports en commun paralysés, raffineries bloquées, agitateurs gauchistes qui saccagent certains centres-villes en marge de manifestations syndicales, etc. Et c'est ça, c'est compliqué à gérer pour un gouvernement. C'est surtout de ça qu'un gouvernement a peur, je pense.
- wesker
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Re: Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
Papibilou
Tu persistes à me faire dire l'inverse de ce que je dis.
Supprimer tout ce que je considère comme planqués et trop payé ne résoudrait pas le déficit, mais refuser de prendre leur part à 'leffort du pays rendra ces mesures difficilement compréhension pour une population qui, aujourd'hui dispose d'un accés à l'information de meilleure qualité.
Tu persistes à me faire dire l'inverse de ce que je dis.
Supprimer tout ce que je considère comme planqués et trop payé ne résoudrait pas le déficit, mais refuser de prendre leur part à 'leffort du pays rendra ces mesures difficilement compréhension pour une population qui, aujourd'hui dispose d'un accés à l'information de meilleure qualité.
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Re: Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
Si les gouvernements avaient peur, ils auraient cédé face aux grèves monstrueuses contre les réformes des retraites et du droit du travail. Les raisons pour les renoncements sont à chercher ailleurs.
- wesker
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Re: Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
Les Gouvernements, pour la plupart restent enfermés dans leurs certitudes et ne sont que très peu réceptifs de ce que les citoyens peuvent exprimer. Raison supplémentaire pour qu'ils se fassent entendre, de manière démocratique, légale et organisés en utilisant à bon escient leurs bulletins de vote au lieu de se laisser dicter leurs suffrages par les experts, les sondages et autres faiseurs d'opinion.
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Re: Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
Assiste-on à un tournant dans le quinquennat avec cette rentrée compliqué ?Englué dans une rentrée difficile, Emmanuel Macron sur la défensive
31 août 2018, 00:00:00
Démission de Nicolas Hulot, polémique sur le « Gaulois » et nomination d’un proche à Los Angeles : le président de la République est contraint de se justifier sur tous les fronts.
Démission de Nicolas Hulot, polémique sur le « Gaulois » et nomination d’un proche à Los Angeles : le président de la République est contraint de se justifier sur tous les fronts.
LE MONDE | 31.08.2018 à 06h39 • Mis à jour le 31.08.2018 à 13h19 | Par Cédric Pietralunga (Copenhague, Helsinki, envoyé spécial) et Alexandre Lemarié
En s’envolant pour Copenhague, mardi 28 août, puis pour Helsinki le lendemain, Emmanuel Macron pensait prendre de la hauteur. S’évader lors d’un dîner façon Sceptre d’Ottokar avec la reine du Danemark, Margrethe II, quarante-six ans de règne. S’aérer lors d’une escapade à vélo improvisée avec le premier ministre danois, Lars Rasmussen. Surtout, il comptait parler avenir du Vieux Continent et faire la réclame de son « alliance des progressistes » contre « l’axe des nationalistes », à sept mois d’un scrutin européen décisif pour l’avenir de l’Union européenne.
Las ! Trois jours durant, le chef de l’Etat est apparu en difficulté, comme semblant subir les événements. Sonné par la démission surprise mardi de Nicolas Hulot, intervenue le matin même de son départ en Scandinavie ; pris de court par la polémique sur le « Gaulois réfractaire », un « trait d’humour » dont il n’a pas mesuré les conséquences ; mis sur le reculoir par la révélation, mercredi, par Le Monde, de la nomination de l’écrivain Philippe Besson, un de ses proches, comme consul à Los Angeles, le chef de l’Etat a donné le sentiment de ne plus maîtriser grand-chose, une attitude inédite chez lui.
(...)
Article complet sur https://www.lemonde.fr/emmanuel-macron/ ... 08430.html
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
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Re: Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
il a été élu pour faire ces réformes, il a des réformes à faire et il les fait, je ne vois pas ce qu'il y a de compliquer là dedans.
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
J.Saramago
J.Saramago
Re: Pauvreté, assurance chômage, santé... Une rentrée 2018 sociale chargée
Oui, mais dans ce cas n'en faites pas une priorité ou sinon on passera à côté de ce qui coûte réellement un pognon de dingue.wesker a écrit : ↑28 août 2018, 23:24:34Papibilou
Tu persistes à me faire dire l'inverse de ce que je dis.
Supprimer tout ce que je considère comme planqués et trop payé ne résoudrait pas le déficit, mais refuser de prendre leur part à 'leffort du pays rendra ces mesures difficilement compréhension pour une population qui, aujourd'hui dispose d'un accés à l'information de meilleure qualité.
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