insécurité : echec total de la politique incantatoire
- wesker
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- Localisation : Proche de celles et ceux qui vivent dans le pays réel
Toujours pris par le syndrome Malick Oussequine, Nicolas Sarkozy lance « une guerre contre la criminalité » avec des incantations et des mesurettes
Un constat objectif : l’Etat sarkozyste impuissant
Sans même évoquer la navrante convergence de calendrier avec l’audition par la justice du mari de Mme Woerth accessoirement ministre de Sarkozy, les annonces guerrières du Président ont quelque chose de ridicule. On comprend bien que, face à l’émoi de la population française confrontée à des événements de plus en plus alarmants, celui qui est en charge de la sécurité publique depuis huit ans ne soit obligé de donner le change.
Mais, lorsque des bandes de casseurs ultraviolents peuvent mettre à sac des quartiers entiers ou un village rural sans que quasiment aucune interpellation n’intervienne, lorsque de médiatiques descentes de police sur des plaques tournantes de la drogue du 93 se soldent par des résultats totalement consternants, force est de constater l’impuissance totale de l’Etat et l’impunité de fait des délinquants.
On le constate, dans une France dont les gouvernants UMPS sont paralysés depuis vingt ans par le syndrome Malick Oussequine, certains quartiers connaissent une dérive à la jamaïcaine qui voit des populations contester désormais la légitimité de l’Etat républicain au profit de celle d’organisations mafieuses violentes.
La sécurité c’est d’abord une affaire de courage politique
Constatant que nous sommes arrivés à un point où c’est désormais la paix civile qui est en jeu, Marine Le Pen, Vice-présidente du Front National, demande l’instauration effective et immédiate du principe de tolérance zéro.
Des mesures immédiates
Elle exige que tous les saccageurs soient systématiquement identifiés, appréhendés et condamnés civilement et pénalement. Elle demande que les incendiaires, notamment de véhicules, soient réellement punis par des peines de prison ferme et que les parents des délinquants mineurs soient mécaniquement contraints de payer les dommages causés par leurs enfants mineurs.
Elle demande l’abrogation immédiate des titres de séjour des étrangers émeutiers et de leur famille et leur reconduite immédiate à la frontière. Elle demande l’expulsion des familles délinquantes des HLM. Elle demande que se mettent en place dans les banlieues des dispositifs qui permettent, comme avant toute intervention sur les territoires de guerre, la recherche du renseignement, par tout moyen y compris par l’infiltration d’agents dans les cités. Elle demande que les personnes qui se liguent avec les délinquants et créent une ambiance insurrectionnelle contre les forces de l’ordre soient effectivement considérées juridiquement comme leurs complices et punis comme tels.
Parce que dans une guerre si l’arrière ne tient pas, tout est perdu d’avance, elle demande que les forces de Police et de Gendarmerie soient réellement épaulées dans leur mission non seulement par des moyens techniques, juridiques et humains aussi importants qu’il sera nécessaire mais également par un soutien politique sans faille.
Des mesures de fonds
Considérant que la poursuite de l’immigration incontrôlée est un facteur criminogène incontestable, Marine Le Pen demande un moratoire immédiat sur l’immigration extra européenne ainsi qu’avec les pays de l’Union Européenne qui exportent chez nous leurs populations nomades. Elle demande que soit immédiatement abandonné le plan de Nicolas Sarkozy de privatisation de la sécurité publique tel qu’il ressort de son funeste "Livre blanc" et que soit entreprise, sans délai, la restauration de notre Police et de notre Gendarmerie nationales.
Il est temps que la peur change de camp et que, face aux gangs criminels, force revienne à la loi républicaine. La guerre à l’immoralité ne se divise pas : les auteurs des actes criminels récents doivent être appréhendés et punis par la justice, M. Woerth doit partir et la politique du gouvernement en matière de sécurité entièrement repensée.
Un constat objectif : l’Etat sarkozyste impuissant
Sans même évoquer la navrante convergence de calendrier avec l’audition par la justice du mari de Mme Woerth accessoirement ministre de Sarkozy, les annonces guerrières du Président ont quelque chose de ridicule. On comprend bien que, face à l’émoi de la population française confrontée à des événements de plus en plus alarmants, celui qui est en charge de la sécurité publique depuis huit ans ne soit obligé de donner le change.
Mais, lorsque des bandes de casseurs ultraviolents peuvent mettre à sac des quartiers entiers ou un village rural sans que quasiment aucune interpellation n’intervienne, lorsque de médiatiques descentes de police sur des plaques tournantes de la drogue du 93 se soldent par des résultats totalement consternants, force est de constater l’impuissance totale de l’Etat et l’impunité de fait des délinquants.
On le constate, dans une France dont les gouvernants UMPS sont paralysés depuis vingt ans par le syndrome Malick Oussequine, certains quartiers connaissent une dérive à la jamaïcaine qui voit des populations contester désormais la légitimité de l’Etat républicain au profit de celle d’organisations mafieuses violentes.
La sécurité c’est d’abord une affaire de courage politique
Constatant que nous sommes arrivés à un point où c’est désormais la paix civile qui est en jeu, Marine Le Pen, Vice-présidente du Front National, demande l’instauration effective et immédiate du principe de tolérance zéro.
Des mesures immédiates
Elle exige que tous les saccageurs soient systématiquement identifiés, appréhendés et condamnés civilement et pénalement. Elle demande que les incendiaires, notamment de véhicules, soient réellement punis par des peines de prison ferme et que les parents des délinquants mineurs soient mécaniquement contraints de payer les dommages causés par leurs enfants mineurs.
Elle demande l’abrogation immédiate des titres de séjour des étrangers émeutiers et de leur famille et leur reconduite immédiate à la frontière. Elle demande l’expulsion des familles délinquantes des HLM. Elle demande que se mettent en place dans les banlieues des dispositifs qui permettent, comme avant toute intervention sur les territoires de guerre, la recherche du renseignement, par tout moyen y compris par l’infiltration d’agents dans les cités. Elle demande que les personnes qui se liguent avec les délinquants et créent une ambiance insurrectionnelle contre les forces de l’ordre soient effectivement considérées juridiquement comme leurs complices et punis comme tels.
Parce que dans une guerre si l’arrière ne tient pas, tout est perdu d’avance, elle demande que les forces de Police et de Gendarmerie soient réellement épaulées dans leur mission non seulement par des moyens techniques, juridiques et humains aussi importants qu’il sera nécessaire mais également par un soutien politique sans faille.
Des mesures de fonds
Considérant que la poursuite de l’immigration incontrôlée est un facteur criminogène incontestable, Marine Le Pen demande un moratoire immédiat sur l’immigration extra européenne ainsi qu’avec les pays de l’Union Européenne qui exportent chez nous leurs populations nomades. Elle demande que soit immédiatement abandonné le plan de Nicolas Sarkozy de privatisation de la sécurité publique tel qu’il ressort de son funeste "Livre blanc" et que soit entreprise, sans délai, la restauration de notre Police et de notre Gendarmerie nationales.
Il est temps que la peur change de camp et que, face aux gangs criminels, force revienne à la loi républicaine. La guerre à l’immoralité ne se divise pas : les auteurs des actes criminels récents doivent être appréhendés et punis par la justice, M. Woerth doit partir et la politique du gouvernement en matière de sécurité entièrement repensée.
Elle a évidemment raison.
Mais elle ne doit pas oublier la base du maintien de l'ordre.
En Droit Public, cette mission est déférée aux autorités locales (Maires, Préfets ...).
Ils disposent pour ce faire
- de la police et de la gendarmerie locale ;
- de la possibilité d'appeler en renfort la Police et la Gendarmerie nationales ;
- et si c'est insuffisant, ils disposent d'un pouvoir de réquisition de l'Armée.
Le laxisme, les bras qui tombent, la résignation, ce sont eux, et pas le Président de la République, dont ce n'est pas le rôle.
En ce qui concerne les peines, pareil.
Elles sont déterminées par des lois (émanant donc de la représentation nationale ) sous forme de fourchettes laissées à l'appréciation des Juges.
Le rôle du gouvernement se limite donc à introduire éventuellement des projets de loi plus contraignants, et à renforcer les possibilités du pénal en matière d'incarcération et mesures dérivées.
Mais elle ne doit pas oublier la base du maintien de l'ordre.
En Droit Public, cette mission est déférée aux autorités locales (Maires, Préfets ...).
Ils disposent pour ce faire
- de la police et de la gendarmerie locale ;
- de la possibilité d'appeler en renfort la Police et la Gendarmerie nationales ;
- et si c'est insuffisant, ils disposent d'un pouvoir de réquisition de l'Armée.
Le laxisme, les bras qui tombent, la résignation, ce sont eux, et pas le Président de la République, dont ce n'est pas le rôle.
En ce qui concerne les peines, pareil.
Elles sont déterminées par des lois (émanant donc de la représentation nationale ) sous forme de fourchettes laissées à l'appréciation des Juges.
Le rôle du gouvernement se limite donc à introduire éventuellement des projets de loi plus contraignants, et à renforcer les possibilités du pénal en matière d'incarcération et mesures dérivées.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
ça fait 8 ans qu'il s'agite, l'agité de l'Elysée, et ses mots "guerriers" n'ont rien à faire dans "ma" France que je n'estime pas être dans une période conflictuelle.
Sarko passe son temps à diviser, c'est le PGCD ce type là, et son but est une guerre civile pour l'avènement de l'ordre nouveau : celui des Toufrics.
Sarko passe son temps à diviser, c'est le PGCD ce type là, et son but est une guerre civile pour l'avènement de l'ordre nouveau : celui des Toufrics.
PAS MORT ?... PLUS FORT !
Mps , pour info, les préfêts c'est l'état et le chef de l'exécutif, c'est qui ?
Les maires n'ont pas de pouvoir sur la police nationale et la municipale pas de compétences de police judiciaire, alors s'il te plait ... n'essaye pas de rejeter la responsabilité des situations que l'on voit fleurir un peu partout sur le dos des collectivités locales, elles ,'y sont vraiment pas pour grand chose, ce qui n'est pas le cas de l'agité de l'élysée qui auparavant était ministre de l'intérieur.
Les maires n'ont pas de pouvoir sur la police nationale et la municipale pas de compétences de police judiciaire, alors s'il te plait ... n'essaye pas de rejeter la responsabilité des situations que l'on voit fleurir un peu partout sur le dos des collectivités locales, elles ,'y sont vraiment pas pour grand chose, ce qui n'est pas le cas de l'agité de l'élysée qui auparavant était ministre de l'intérieur.
Pour les Préfets, quand on en licencie un, avec un dossier monumental, vous couinez ...
Les Maires sont responsables de l'ordre public, et ont un pouvoir de réquisition de toutesles froces nécessaires.
Cela n'a rien à voir avec la police judiciaire.
Les Maires sont responsables de l'ordre public, et ont un pouvoir de réquisition de toutesles froces nécessaires.
Cela n'a rien à voir avec la police judiciaire.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- El Fredo
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Je n'ai jamais entendu dire qu'un maire avait le pouvoir de réquisitionner l'armée ! Seul le préfet (donc l'exécutif) a ce pouvoir de réquisition, et la compétence ultime en matière d'ordre et de sécurité sur un territoire. Les attributions d'un maire sont bien plus limitées, voire quasi nulles en cas d'absence de police municipale, et toujours soumises au contrôle administratif du préfet.
http://www.tarn.pref.gouv.fr/les-pouvoi ... e-du-maire
http://www.tarn.pref.gouv.fr/les-pouvoi ... e-du-maire
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.
Je pense qu'en matière de réquisition, les Maires des grandes villes ont ce pouvoir, mais que ceux de plus petites unités doivent en référer au Préfet.
Dans la pratique, je vois mal un Préfet refuser à un Maire les effectifs dont il a besoin.
Pour la diminution des forces de police à Grenoble, cela n'a de rapport qu'avec les camapgnes du PS.
Tu peux lire que 300 agents supplémentaires de la Police Nationale ont été immédiatement dépéchés sur place.
http://actu.orangecaraibe.com/article.php?p=37577
Les pleurnicheries politiques du PS ne sont écoutées que de ceux qui les attendent. On peux parfaitement imaginer une concentration d'émeutiers se produsant soudain à Cucugnan, et nécessitant 1.000 flics. Faut-il pour autant équiper chaque village de 1.000 policiers ?
Dans la pratique, je vois mal un Préfet refuser à un Maire les effectifs dont il a besoin.
Pour la diminution des forces de police à Grenoble, cela n'a de rapport qu'avec les camapgnes du PS.
Tu peux lire que 300 agents supplémentaires de la Police Nationale ont été immédiatement dépéchés sur place.
http://actu.orangecaraibe.com/article.php?p=37577
Les pleurnicheries politiques du PS ne sont écoutées que de ceux qui les attendent. On peux parfaitement imaginer une concentration d'émeutiers se produsant soudain à Cucugnan, et nécessitant 1.000 flics. Faut-il pour autant équiper chaque village de 1.000 policiers ?
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- El Fredo
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Des phénomènes ponctuels n'ont rien à voir avec la dégradation graduelle d'une situation, comme à Grenoble. Et tu sous-estimes les conflits qu'il peut y avoir entre maires et préfets, qui sont monnaie courante quand les exécutifs national et local sont de familles politiques opposées, comme à Rennes sous le règne de Bernadette Malgorn (qui s'est pris une bonne branloute aux régionales, bien fait pour elle).
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.
- wesker
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mps a écrit :Elle a évidemment raison.
Mais elle ne doit pas oublier la base du maintien de l'ordre.
En Droit Public, cette mission est déférée aux autorités locales (Maires, Préfets ...).
Ils disposent pour ce faire
- de la police et de la gendarmerie locale ;
- de la possibilité d'appeler en renfort la Police et la Gendarmerie nationales ;
- et si c'est insuffisant, ils disposent d'un pouvoir de réquisition de l'Armée.
Le laxisme, les bras qui tombent, la résignation, ce sont eux, et pas le Président de la République, dont ce n'est pas le rôle.
En ce qui concerne les peines, pareil.
Elles sont déterminées par des lois (émanant donc de la représentation nationale ) sous forme de fourchettes laissées à l'appréciation des Juges.
Le rôle du gouvernement se limite donc à introduire éventuellement des projets de loi plus contraignants, et à renforcer les possibilités du pénal en matière d'incarcération et mesures dérivées.
C'est pourtant le Président de la République qui a déclaré vouloir s'en charger personnellement.
Par ailleurs, effectivement, si cette mission revient aux préfets, il convient de signaler la reduction des effectifs dont ces derniers disposent.
Ici, je capitule icon_neutral Je n'ai en effet aucune expérience d'une politisation maladive qui oppserait des Maires à leur Préfet et vice-versa.Des phénomènes ponctuels n'ont rien à voir avec la dégradation graduelle d'une situation, comme à Grenoble. Et tu sous-estimes les conflits qu'il peut y avoir entre maires et préfets, qui sont monnaie courante quand les exécutifs national et local sont de familles politiques opposées, comme à Rennes sous le règne de Bernadette Malgorn (qui s'est pris une bonne branloute aux régionales, bien fait pour elle).
Mais je vis dans un pays finalement très différent, où la déontologie et le consensualisme ne perdent pas de temps dans ce genre de considérations. J'ai eu les expériences de collaborations plus d'excellentes avec des opposants politiques, sans autre raison que le goût commun du travail bien fait.
Tu connais mieux que moi ce terrain pourri ...
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- El Fredo
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mps, de ce point de vue j'admire les Belges et leur culture du consensus. Les Français sont un peuple politisé, râleur et frondeur, c'est notre nature, mais ça ne nous a jamais empêché d'avancer et de faire de grandes choses et au final de s'en sortir plutôt bien. Le conflit peut être générateur de progrès, aussi sûrement que le consensus peut engendrer l'immobilisme. Chaque peuple doit trouver sa voie.
(c'était mon 1/4 d'heure robinet d'eau tiède)
(c'était mon 1/4 d'heure robinet d'eau tiède)
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.
Bienvenue à l'eau tiède icon_confused
Je n'ai pas le sentiment que le consensualisme à la belge soit vecteur d'immobilisme. Pour preuve les débats français (virulents) sur les mesures gouvernementales ... que nous avons adoptées avec un indéniable succès depuis ... 30 ans !
Il me semble que l'ultra politisation toujours conflictuelle des français paralyse plutôt leur évolution, et rende les gens plus combatifs "par principes" qu'heureux ou efficaces.
L'alternance gauche-droite relativement féroce crée une dichotomisation un peu simpliste, et incite à "avoir raison" plutôt qu'à évoluer.
Mais ce n'est qu'une impression icon_confused
Je n'ai pas le sentiment que le consensualisme à la belge soit vecteur d'immobilisme. Pour preuve les débats français (virulents) sur les mesures gouvernementales ... que nous avons adoptées avec un indéniable succès depuis ... 30 ans !
Il me semble que l'ultra politisation toujours conflictuelle des français paralyse plutôt leur évolution, et rende les gens plus combatifs "par principes" qu'heureux ou efficaces.
L'alternance gauche-droite relativement féroce crée une dichotomisation un peu simpliste, et incite à "avoir raison" plutôt qu'à évoluer.
Mais ce n'est qu'une impression icon_confused
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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