Je n'ai jamais dit cela....Je considère que tout le modnde doit contribuer au redressement de nos caisses de retraites...Ce n'est pas le chemin que le Gouvernement a suivi....Lui se contente, de déplacer les deficits et de faire preuve de courage estimant qu'il joue là l'élection présidentielle.
La gestion demande de la vision, de l'écoute et une prise en compte des difficultés, et non une seule volonté de réussir un "coup" politique au détriment des seuls travailleurs quand tant de "clientèles" élecotrales, certes proches du pouvoir sont épargnés par les mesures.
A la différence du Gouvernement, je souhaite que l'on puisse vraiment repondre aux difficultés de financement et non nous satisfaire de réussir politiquement un coup qui ne répond en rien aux difficultés budgetaires.
Pénurie d'essence
"Ce sont toujours les mêmes qui payent", "On matraque les classes moyennes"... Voici typiquement le genre de discours qui n'a pas de sens. Evidemment que ce sont toujours les mêmes qui payent ! Qui ça pourrait être d'autre ? Les 15 % de pauvres qu'il y a en France gagnent déjà bien peu d'argent, on ne va pas leur faire payer ce qu'ils ne peuvent pas payer. Quant aux riches sur lesquels tout le monde fantasme, ils sont très peu nombreux. Si on croit que quelques riches suffiront à entretenir un système social destiné à plusieurs dizaines de millions de Français, on se berce d'illusions. Donc en effet, ce sont toujours les mêmes qui payent, c'est-à-dire les classes moyennes.
Pour les retraites, il n'y a pas cinquante possibilités. Il y avait la mesure d'âge : c'est l'option retenue par le gouvernement, et deux ans de plus pour tout le monde, c'est relativement égalitaire. Soit on baissait les pensions, ce sont les retraités qui auraient payé dans ce cas. Soit on augmentait les cotisations, ce sont les travailleurs qui auraient payé dans ce cas également. Des classes moyennes à chaque fois. On pouvait aussi augmenter les cotisations des entreprises, ce qui se serait traduit par une hausse des prix et par des délocalisations...
Bref, quoiqu'on décide, ce sont toujours les mêmes qui payent, en effet, c'est-à-dire les Français, et parmi eux, les classes moyennes. Forcément.
Pour les retraites, il n'y a pas cinquante possibilités. Il y avait la mesure d'âge : c'est l'option retenue par le gouvernement, et deux ans de plus pour tout le monde, c'est relativement égalitaire. Soit on baissait les pensions, ce sont les retraités qui auraient payé dans ce cas. Soit on augmentait les cotisations, ce sont les travailleurs qui auraient payé dans ce cas également. Des classes moyennes à chaque fois. On pouvait aussi augmenter les cotisations des entreprises, ce qui se serait traduit par une hausse des prix et par des délocalisations...
Bref, quoiqu'on décide, ce sont toujours les mêmes qui payent, en effet, c'est-à-dire les Français, et parmi eux, les classes moyennes. Forcément.
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wesker
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Les classes moyennes....Celles auxquelles Sarkozy s'est adressé pour se faire élire ? Très bien, et bien saches qu'elles sauront s'en souvenir.
Quant à tes arguments, sur les hausses de cotisations, elles ont tout de même eu lieu car le sérial taxeur Sarkozy a crée plus de 20 taxes en à peine 30 mois.....Dès lors, evidemment on peut s'interroger sur les raisons du non redressement des caisses...Peut être y a t-il des dépenses qui n'auraient pas lieu d'y être ?
Peut être faudrait il sortir des carcans budgetaires pour promouvoir de nouvelles recettes (droits compensatoires ou autres)....Enfin la relance, par le travail qui aurait pour conséquence la reduction du chômage me semble être LA mesure qui aurait permis de redresser les caisses de retraites....Non, l'allongement de la durée légale de départ à la retraite n'est pas une fatalité ineluctable à laquelle les travailleurs devraient se soumettre !
Quant à tes arguments, sur les hausses de cotisations, elles ont tout de même eu lieu car le sérial taxeur Sarkozy a crée plus de 20 taxes en à peine 30 mois.....Dès lors, evidemment on peut s'interroger sur les raisons du non redressement des caisses...Peut être y a t-il des dépenses qui n'auraient pas lieu d'y être ?
Peut être faudrait il sortir des carcans budgetaires pour promouvoir de nouvelles recettes (droits compensatoires ou autres)....Enfin la relance, par le travail qui aurait pour conséquence la reduction du chômage me semble être LA mesure qui aurait permis de redresser les caisses de retraites....Non, l'allongement de la durée légale de départ à la retraite n'est pas une fatalité ineluctable à laquelle les travailleurs devraient se soumettre !
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sarkonaute
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El Fredo
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Tehehe.Belgique : deux dépôts de carburant bloqués par solidarité avec les travailleurs français
Il était aux environs de 7h30 quand des syndicalistes belges de la SETCA-FGTB ont bloqué deux dépôts de carburant situés à Feluy (près de La Louvière) et Tertre (près de Mons).
« De 450 camions par jour à Feluy, on était passé à 500 camions », râle Manuel Morais, secrétaire régional de la SETCA, « on est allé voir la direction pour lui demander d'arrêter de casser le mouvement en France. »
Un message resté sans réponse. « On bloque tous les transporteurs, on est une vingtaine en permanence. Il était hors de question de laisser faire une mise en concurrence entre travailleurs français et belges. »
Si le mouvement s'élargit encore, il pourrait avoir des conséquences sur l'approvisionnement de carburant en Belgique.
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.
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wesker
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Sarkonaute...La gauche ne vise qu'à seduire une frange de la population qui croit encore à la repartition des richesses plutôt qu'à la création de richesses qui permets le progrès social collectif....C'est triste d'en être encore là, mais c'est ainsi.
Mais par l'insuffisance des economies et l'echec annoncé des reformes entreprises par ce Gouvernement, la capitalisation sera ineluctable....C'est cela aussi que le Gouvernement cache à l'opinion, c'est ce qui caractérise cette équipe...Fanfaronnade et demi mesure ne peuvent tenir lieu de politique ambitieuse avec des résultats. C'est pourquoi, contrairement aux attentes, la capitalisation qui existe déjà au travers les acquisitions immobilières entrera peu à peu dans les esprits, de même que la privatisation de notre Sécurité Sociale que Sarkozy n'a nullement l'intention de preserver ou d'assainir financièrement.
Mais par l'insuffisance des economies et l'echec annoncé des reformes entreprises par ce Gouvernement, la capitalisation sera ineluctable....C'est cela aussi que le Gouvernement cache à l'opinion, c'est ce qui caractérise cette équipe...Fanfaronnade et demi mesure ne peuvent tenir lieu de politique ambitieuse avec des résultats. C'est pourquoi, contrairement aux attentes, la capitalisation qui existe déjà au travers les acquisitions immobilières entrera peu à peu dans les esprits, de même que la privatisation de notre Sécurité Sociale que Sarkozy n'a nullement l'intention de preserver ou d'assainir financièrement.
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Cobalt
Les raffinneries ne redemarreront pas !!!
Renseignement pris auprès d'un délégué CGT de la raffinerie de Donges, il s'avère que ca n'est pas prêt de repartir. Petite explication...
Il y en effet 3 raffinerie qui ont suspendu le mouvement.
*
La raffinerie de Reichstett (Bas-Rhin) ,de la compagnie helvétique Petroplus, qui venait d’annoncer sa volonté de fermer définitivement le site pour le transformer en simple terminal pétrolier, supprimant au passage 253 emplois sur 255. le mouvement a été suspendu suite avec la garantie de la part de la direction de ne plus fermer le site! La raffinerie est alimenté en pétrole brut par un pipeline qui viens du port pétrolier de Fos sur mer qui lui est en grève et lâche rien. La raffinerie ne peut donc pas redémarrer!
*
2 raffineries du groupe exon une à Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône) et une a Port-Jérôme (Seine-Maritime). Elle ont toutes les 2 suspendus le mouvement après que la direction est mis le paquet sur la table et leur est proposé le paiement intégral des jours de grève!! tous en sachant quelle ne pourraient par redémarrer aussi. En effet celle de Fos est alimenté par le même terminal pétrolier de Fos sur mer. Celle de Normandie est alimenté par l'entreprise SIM qui est également en grève et ne lâche rien également!!
les 9 autres raffinerie (6 du groupe Total, 1 Petroplus, 2 Basell) sont toujours dans le mouvement contre la mise en place de la réforme des retraites!!
la pénurie de pétrole ne s'éloigne pas. L'approvisionnement par bateau ne suffira pas a couvrir les besoins quotidiens. Ce n'est pas le moment de se faire duper par une presse mal renseignée et démobilisatrice!! continuons a généraliser la grève, a durcir le ton et a soutenir les grévistes. Des caisses de solidarité circule un peut partout, pour celle de Donges on en est a 30 000€.
article-intro a écrit : Quel surprise d'entendre sur France inter « 3 raffineries ont suspendu le mouvement et vont reprendre de l'activité ». Alors que la veille lors d'une visite aux gréviste de la raffinerie de Donges la détermination était là, et aussi pour toutes les autres.
Renseignement pris auprès d'un délégué CGT de la raffinerie de Donges, il s'avère que ca n'est pas prêt de repartir. Petite explication...
Il y en effet 3 raffinerie qui ont suspendu le mouvement.
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La raffinerie de Reichstett (Bas-Rhin) ,de la compagnie helvétique Petroplus, qui venait d’annoncer sa volonté de fermer définitivement le site pour le transformer en simple terminal pétrolier, supprimant au passage 253 emplois sur 255. le mouvement a été suspendu suite avec la garantie de la part de la direction de ne plus fermer le site! La raffinerie est alimenté en pétrole brut par un pipeline qui viens du port pétrolier de Fos sur mer qui lui est en grève et lâche rien. La raffinerie ne peut donc pas redémarrer!
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2 raffineries du groupe exon une à Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône) et une a Port-Jérôme (Seine-Maritime). Elle ont toutes les 2 suspendus le mouvement après que la direction est mis le paquet sur la table et leur est proposé le paiement intégral des jours de grève!! tous en sachant quelle ne pourraient par redémarrer aussi. En effet celle de Fos est alimenté par le même terminal pétrolier de Fos sur mer. Celle de Normandie est alimenté par l'entreprise SIM qui est également en grève et ne lâche rien également!!
les 9 autres raffinerie (6 du groupe Total, 1 Petroplus, 2 Basell) sont toujours dans le mouvement contre la mise en place de la réforme des retraites!!
la pénurie de pétrole ne s'éloigne pas. L'approvisionnement par bateau ne suffira pas a couvrir les besoins quotidiens. Ce n'est pas le moment de se faire duper par une presse mal renseignée et démobilisatrice!! continuons a généraliser la grève, a durcir le ton et a soutenir les grévistes. Des caisses de solidarité circule un peut partout, pour celle de Donges on en est a 30 000€.
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wesker
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Les stocks se videront s'ils ne sont pas rapidememnt réapprovisionnés....C'est évident...Si la France a réussi à maintenir, difficilement, l'activité, c'est en raison des stocks et qu'en dépit des difficultés d'approvisionnement des stations, le carburant parvenait aux automobilistes et aux professionnels.
Si les blocages, archaïques, se poursuivaient, ils risqueraient alors d'entraver gravement l'activité économique....Et ce n'est pas de cette manière qu'on parviendra à répondre aux difficultés de financement de nos retraites
Si les blocages, archaïques, se poursuivaient, ils risqueraient alors d'entraver gravement l'activité économique....Et ce n'est pas de cette manière qu'on parviendra à répondre aux difficultés de financement de nos retraites
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politicien
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Bonjour,
Après les manifestations de jeudi contre la réforme des retraites, avec une mobilistation qui s'est essouflée, les annonces de reprise du travail se multiplient. C'est notamment le cas dans l'ensemble des douze raffineries françaises.
Vers 15h30, les grévistes de la raffinerie de Grandpuits (Seine-et-Marne) ont voté pour l'arrêt du mouvement, après 17 jours de blocage. Sur 88 votants, 58 se sont prononcés pour, 27 contre, 3 ont voté blanc. Les salariés devraient reprendre le travail dans l'après-midi, après une rencontre entre l'intersyndicale et la direction. Les syndicats veulent obtenir l'assurance qu'aucune sanction ne sera appliquée contre les grévistes.
La raffinerie de Feyzin (Rhône) et celle de Donges (Loire-Atlantique) ont également voté la reprise du travail. La direction de Total, qui possède six des souze raffineries de l'Hexagone, avait affirmé plus tôt dans la journée que «l'ensemble des sites devraient avoir mis fin au mouvement en milieu de journée». Les sites Total de Gonfreville (Seine-Maritime) et Dunkerque (Nord) ont voté la reprise vendredi, emboîtant le pas à leurs collègues de La Mède (Bouches-du-Rhône) qui l'avaient décidée dès mercredi. Les raffineries des autres pétroliers ont aussi cessé la grève.
Les grèves vont coûter «des millions d'euros» à l'industrie pétrolière
C'est aussi l'heure des comptes. Le coût de l'ensemble de ces grèves atteindra, selon le président de l'Ufip (Union française des industries pétrolières), Jean-Louis Schilansky «des centaines de millions d'euros pour l'industrie pétrolière». Selon Total, dont les six raffineries françaises ont été arrêtées pendant plus de 15 jours, le mouvement a coûté environ 100 millions d'euros à la compagnie pétrolière. «Notre estimation, c'est que (la grève) a eu un coût approximatif de 5 à 6 millions d'euros par jour», a indiqué vendredi le directeur financier du groupe, Patrick de la Chevardière.
Les terminaux pétroliers de Fos-Lavera également débloqués
Par ailleurs, la CGT et la direction du port de Marseille ont annoncé vendredi le déblocage des terminaux pétroliers de Fos-Lavera (Bouches-du-Rhône), paralysés par un mouvement de grève, dirigé contre la réforme portuaire, entamé le 27 septembre. Vendredi, 78 navires chargés d'hydrocarbures et notamment de pétrole brut étaient en attente en mer, privant sept raffineries françaises et suisse, dont quatre autour de l'Etang de Berre, de matière première.
Selon la direction du Grand port maritime de Marseille (GPMM), ils «vont pouvoir progressivement accoster aujourd'hui (vendredi) dès 20 heures. Le chargement ou déchargement de leur cargaison suivra». Selon le port, quatre semaines seront nécessaires pour traiter l'ensemble des navires.
A plus tard,
Après les manifestations de jeudi contre la réforme des retraites, avec une mobilistation qui s'est essouflée, les annonces de reprise du travail se multiplient. C'est notamment le cas dans l'ensemble des douze raffineries françaises.
Vers 15h30, les grévistes de la raffinerie de Grandpuits (Seine-et-Marne) ont voté pour l'arrêt du mouvement, après 17 jours de blocage. Sur 88 votants, 58 se sont prononcés pour, 27 contre, 3 ont voté blanc. Les salariés devraient reprendre le travail dans l'après-midi, après une rencontre entre l'intersyndicale et la direction. Les syndicats veulent obtenir l'assurance qu'aucune sanction ne sera appliquée contre les grévistes.
La raffinerie de Feyzin (Rhône) et celle de Donges (Loire-Atlantique) ont également voté la reprise du travail. La direction de Total, qui possède six des souze raffineries de l'Hexagone, avait affirmé plus tôt dans la journée que «l'ensemble des sites devraient avoir mis fin au mouvement en milieu de journée». Les sites Total de Gonfreville (Seine-Maritime) et Dunkerque (Nord) ont voté la reprise vendredi, emboîtant le pas à leurs collègues de La Mède (Bouches-du-Rhône) qui l'avaient décidée dès mercredi. Les raffineries des autres pétroliers ont aussi cessé la grève.
Les grèves vont coûter «des millions d'euros» à l'industrie pétrolière
C'est aussi l'heure des comptes. Le coût de l'ensemble de ces grèves atteindra, selon le président de l'Ufip (Union française des industries pétrolières), Jean-Louis Schilansky «des centaines de millions d'euros pour l'industrie pétrolière». Selon Total, dont les six raffineries françaises ont été arrêtées pendant plus de 15 jours, le mouvement a coûté environ 100 millions d'euros à la compagnie pétrolière. «Notre estimation, c'est que (la grève) a eu un coût approximatif de 5 à 6 millions d'euros par jour», a indiqué vendredi le directeur financier du groupe, Patrick de la Chevardière.
Les terminaux pétroliers de Fos-Lavera également débloqués
Par ailleurs, la CGT et la direction du port de Marseille ont annoncé vendredi le déblocage des terminaux pétroliers de Fos-Lavera (Bouches-du-Rhône), paralysés par un mouvement de grève, dirigé contre la réforme portuaire, entamé le 27 septembre. Vendredi, 78 navires chargés d'hydrocarbures et notamment de pétrole brut étaient en attente en mer, privant sept raffineries françaises et suisse, dont quatre autour de l'Etang de Berre, de matière première.
Selon la direction du Grand port maritime de Marseille (GPMM), ils «vont pouvoir progressivement accoster aujourd'hui (vendredi) dès 20 heures. Le chargement ou déchargement de leur cargaison suivra». Selon le port, quatre semaines seront nécessaires pour traiter l'ensemble des navires.
A plus tard,
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
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Elle coûte cher, la psychothérapie des mases laborieuses ! icon_biggrin icon_biggrin icon_biggrin
Mais cet argent n'a pas été perdu pour tout le monde. Gênes et Barcelone ont gagné une clientèle colossale, dont une bonne partie leur restera acquise. Les pompes frontalières ont fait leur chiffre de l'année en 15 jours. Et même en France, de petites pompes secondaires d'Avia, qui n'ont jamais connu de pénurie, se sont "fait connaître" par une foule de nouveaux clients et sont bien contents.
Mais cet argent n'a pas été perdu pour tout le monde. Gênes et Barcelone ont gagné une clientèle colossale, dont une bonne partie leur restera acquise. Les pompes frontalières ont fait leur chiffre de l'année en 15 jours. Et même en France, de petites pompes secondaires d'Avia, qui n'ont jamais connu de pénurie, se sont "fait connaître" par une foule de nouveaux clients et sont bien contents.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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