L'ump se déchire sur le débat de la laïcité
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Bonjour,
Après le recadrage de Baroin par Sarkozy, Copé a taclé violemment Fillon. La démission de Copé demandée. Au lendemain des cantonales, et de la défaite cuisante de l'UMP, la majorité parlementaire a rouvert lundi le débat sur l’islam et la laïcité. Divisant au sein-même du gouvernement et jusqu'au sommet de l'Etat. Acte 1 : Baroin prend ses distances. François Baroin a estimé, lundi matin, qu’il fallait clôturer "ces débats" sur l’islam et la laïcité. Et ce, alors que le parti majoritaire doit les ouvrir la semaine prochaine. "Je crois qu'il faut certainement mettre un terme à tous ces débats", a assuré, sur France Info, le porte-parole du gouvernement interrogé sur le débat sur la laïcité et l'islam organisé par l'UMP à la demande du chef de l’Etat. Au lendemain de la poussée du FN aux cantonales, il a qu’il faut "réaffirmer les valeurs républicaines". François Baroin a suggéré une voie de sortie qui ne serait pas une loi. "Je pense que la gauche pourrait rejoindre l'idée d'une résolution parlementaire qui nous entraînerait sur un chemin de réaffirmation de ces principes, qui est un mieux-vivre ensemble", a-t-il dit. "Je crois qu'il faut s'écarter de tout ce qui peut, de près ou de loin, donner l'impression de stigmatiser", a-t-il assuré. Selon François Baroin, le sujet n’est pas le bon. Il faut "se concentrer (sur) l'emploi, les déficits", a-t-il affirmé. Acte 2 : la mise au point de l'Elysée. Quelques heures après les déclarations de François Baroin , le chef de l’Etat aurait tenu un tout autre discours devant des responsables de l’UMP. Nicolas Sarkozy aurait ainsi invoqué "un malentendu" de la part du porte-parole du gouvernement et aurait indiqué que François Baroin allait être amené à rectifier dans la journée ses propos. Ce qu'il n'avait finalement pas fait lundi soir. Acte 3 : la divergence de François Fillon. Reste que les propos de François Baroin ont été entendus. Le député UMP Etienne Pinte, proche de François Fillon, a indiqué lundi sentir le Premier ministre "très mal à l'aise" avec le débat sur la laïcité et s'est dit "totalement d'accord" avec le porte-parole du gouvernement François Baroin pour souhaiter l'arrêt de ce débat. "François Fillon n'est pas sur la même longueur d'ondes sur ces sujets que le président Nicolas Sarkozy", a déclaré l'élu des Yvelines. "J'aimerais beaucoup que François Fillon se positionne" publiquement "sur ce fameux débat en disant qu'il ne faut pas faire un débat sur les musulmans mais avec les musulmans". "En a-t-il les moyens, en a-t-il la possibilité ?", s'est-il toutefois interrogé. "Je suis totalement d'accord avec François Baroin pour dire qu'il faut mettre un terme à ce débat. Ca ne veut pas dire qu'il n'y a pas de problème sur la place que nous devons faire aux musulmans. Mais plutôt qu'un débat, il faut instaurer un dialogue avec les représentants du culte musulman", a ajouté Etienne Pinte. "Parmi les députés UMP, je ne suis pas le seul à être sur cette ligne. Certains ne s'expriment pas publiquement mais ils n'en pensent pas moins", a-t-il affirmé. Acte 4 : Jean-François Copé met son grain de sel. En fin de journée, le secrétaire général de l'UMP a reproché au Premier ministre de ne pas "jouer collectif" à propos du débat sur la laïcité. "Certains n'en veulent pas (...) parce qu'ils ont probablement été mal informés", a-t-il dit sur Canal +. "Et puis il y en a, disons les choses, qui y ont trouvé l'occasion d'une posture". Prié de dire s'il pensait à François Fillon, Jean-François Copé a répondu : "Peut-être, après tout (...) On ne peut pas jouer collectif une fois ?". Acte 5 : Haro sur Jean-François Copé. La sortie du chef de l'UMP provoque de vives réactions au sein de la majorité. Le maire de Nice Christian Estrosi a ainsi fustigé "une situation baroque". "Je ne sais pas si l’objectif est d’essayer de se justifier en faisant porter la faute à d’autres", a-t-il déclaré. Un proche de Fillon demande même la démission de Copé. Etienne Pinte a estimé mardi matin sur Europe 1 que Jean-François Copé devait "démissionner" de son poste de secrétaire général de l'UMP. "Si M. Copé ne supporte plus François Fillon et bien il doit en tirer les conséquences et donner sa démission et à ce moment-là qu'il le fasse le plus rapidement possible ça évitera qu'il soit le fossoyeur de l'UMP". Le député des Yvelines a dénoncé aussi un "coup de poignard dans le dos" du secrétaire général de l'UMP. "Je suis stupéfié de la violence et de la brutalité de cette attaque. Jamais me semble-t-il de mémoire d'homme sous la Ve République il n'y a eu une telle attaque d'un secrétaire général envers un Premier ministre". Et Etienne Pinte de se demander si Jean-François Copé n'essaye pas "de se dédouaner de notre échec aux cantonales". La boîte de Pandore semble désormais ouverte. Dernier à s'exprimer lundi soir, le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a assuré lundi que le débat sur la laïcité aurait bien "lieu" avec pour objectif de renforcer "la cohésion nationale" et afin que les musulmans se sentent "apaisés dans leur foi". D'ici au 5 avril, date programmée pour ce débat, la polémique devrait continuer à faire rage. Qu'en pensez vous ? A plus tard,
Après le recadrage de Baroin par Sarkozy, Copé a taclé violemment Fillon. La démission de Copé demandée. Au lendemain des cantonales, et de la défaite cuisante de l'UMP, la majorité parlementaire a rouvert lundi le débat sur l’islam et la laïcité. Divisant au sein-même du gouvernement et jusqu'au sommet de l'Etat. Acte 1 : Baroin prend ses distances. François Baroin a estimé, lundi matin, qu’il fallait clôturer "ces débats" sur l’islam et la laïcité. Et ce, alors que le parti majoritaire doit les ouvrir la semaine prochaine. "Je crois qu'il faut certainement mettre un terme à tous ces débats", a assuré, sur France Info, le porte-parole du gouvernement interrogé sur le débat sur la laïcité et l'islam organisé par l'UMP à la demande du chef de l’Etat. Au lendemain de la poussée du FN aux cantonales, il a qu’il faut "réaffirmer les valeurs républicaines". François Baroin a suggéré une voie de sortie qui ne serait pas une loi. "Je pense que la gauche pourrait rejoindre l'idée d'une résolution parlementaire qui nous entraînerait sur un chemin de réaffirmation de ces principes, qui est un mieux-vivre ensemble", a-t-il dit. "Je crois qu'il faut s'écarter de tout ce qui peut, de près ou de loin, donner l'impression de stigmatiser", a-t-il assuré. Selon François Baroin, le sujet n’est pas le bon. Il faut "se concentrer (sur) l'emploi, les déficits", a-t-il affirmé. Acte 2 : la mise au point de l'Elysée. Quelques heures après les déclarations de François Baroin , le chef de l’Etat aurait tenu un tout autre discours devant des responsables de l’UMP. Nicolas Sarkozy aurait ainsi invoqué "un malentendu" de la part du porte-parole du gouvernement et aurait indiqué que François Baroin allait être amené à rectifier dans la journée ses propos. Ce qu'il n'avait finalement pas fait lundi soir. Acte 3 : la divergence de François Fillon. Reste que les propos de François Baroin ont été entendus. Le député UMP Etienne Pinte, proche de François Fillon, a indiqué lundi sentir le Premier ministre "très mal à l'aise" avec le débat sur la laïcité et s'est dit "totalement d'accord" avec le porte-parole du gouvernement François Baroin pour souhaiter l'arrêt de ce débat. "François Fillon n'est pas sur la même longueur d'ondes sur ces sujets que le président Nicolas Sarkozy", a déclaré l'élu des Yvelines. "J'aimerais beaucoup que François Fillon se positionne" publiquement "sur ce fameux débat en disant qu'il ne faut pas faire un débat sur les musulmans mais avec les musulmans". "En a-t-il les moyens, en a-t-il la possibilité ?", s'est-il toutefois interrogé. "Je suis totalement d'accord avec François Baroin pour dire qu'il faut mettre un terme à ce débat. Ca ne veut pas dire qu'il n'y a pas de problème sur la place que nous devons faire aux musulmans. Mais plutôt qu'un débat, il faut instaurer un dialogue avec les représentants du culte musulman", a ajouté Etienne Pinte. "Parmi les députés UMP, je ne suis pas le seul à être sur cette ligne. Certains ne s'expriment pas publiquement mais ils n'en pensent pas moins", a-t-il affirmé. Acte 4 : Jean-François Copé met son grain de sel. En fin de journée, le secrétaire général de l'UMP a reproché au Premier ministre de ne pas "jouer collectif" à propos du débat sur la laïcité. "Certains n'en veulent pas (...) parce qu'ils ont probablement été mal informés", a-t-il dit sur Canal +. "Et puis il y en a, disons les choses, qui y ont trouvé l'occasion d'une posture". Prié de dire s'il pensait à François Fillon, Jean-François Copé a répondu : "Peut-être, après tout (...) On ne peut pas jouer collectif une fois ?". Acte 5 : Haro sur Jean-François Copé. La sortie du chef de l'UMP provoque de vives réactions au sein de la majorité. Le maire de Nice Christian Estrosi a ainsi fustigé "une situation baroque". "Je ne sais pas si l’objectif est d’essayer de se justifier en faisant porter la faute à d’autres", a-t-il déclaré. Un proche de Fillon demande même la démission de Copé. Etienne Pinte a estimé mardi matin sur Europe 1 que Jean-François Copé devait "démissionner" de son poste de secrétaire général de l'UMP. "Si M. Copé ne supporte plus François Fillon et bien il doit en tirer les conséquences et donner sa démission et à ce moment-là qu'il le fasse le plus rapidement possible ça évitera qu'il soit le fossoyeur de l'UMP". Le député des Yvelines a dénoncé aussi un "coup de poignard dans le dos" du secrétaire général de l'UMP. "Je suis stupéfié de la violence et de la brutalité de cette attaque. Jamais me semble-t-il de mémoire d'homme sous la Ve République il n'y a eu une telle attaque d'un secrétaire général envers un Premier ministre". Et Etienne Pinte de se demander si Jean-François Copé n'essaye pas "de se dédouaner de notre échec aux cantonales". La boîte de Pandore semble désormais ouverte. Dernier à s'exprimer lundi soir, le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a assuré lundi que le débat sur la laïcité aurait bien "lieu" avec pour objectif de renforcer "la cohésion nationale" et afin que les musulmans se sentent "apaisés dans leur foi". D'ici au 5 avril, date programmée pour ce débat, la polémique devrait continuer à faire rage. Qu'en pensez vous ? A plus tard,
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
Le débat ne s'arrête jamais sur Actu-Politique
J-L Borloo se démarque encore plus, quand on lui demande (Europe 1 ce matin) de dire ce qu'il pense de ce qui s'est passé hier sur Canal+, il répond : "
Jean-Pierre Elkabach dit : "-Mr Pinte lui a demandé de démissionner," alors Borloo répond :Moi je ne suis pas là, pour mettre de l'huile sur le feu. Il ne vous a pas échappé que je ne fait plus parti des instances dirigeantes de l'UMP. J-F. Copé est un type carré, mon sentiment c'est que c'est pas le problème de ce débat -sur lesquel je ne suis pas en accord avec lui- c'est je crois comprendre que depuis plusieurs semaines il a le sentiment d'avoir a géré un système compliqué en accord avec le président et le premier ministre et j'ai l'impression qu'il est un peu exaspéré par les attitiudes de certains. Pas forcément le premier ministre, mais certains de ses amis.
Lol, il me fait rire"C'est pas mon problème ça".
- keserasera
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L'UMP implose. Et c'est bein fait !
1 - Première leçon de ce scrutin: l'énorme taux d'abstentions. Qui démontre que, d'une part, le système de scrutin majoritaire à deux tours est une aberration et que d'autre part, les bulletins "blancs" devraient être comptabilisés. Pour des gens qui veulent imposer la "démocratie" en terre musulmane, je rigole !
2 - Deuxième leçon: parmi les abstentionnistes, la grande majorité est composée d'électeurs sarkozystes, qui s'ils se sentent toujours "à droite" ne comprennent plus la politique suivie par le micro-président.
3 - Troisième leçon: le Front National n'est plus considéré par les Français comme l'extrême danger "brun" caricaturé par la classe politique. Il faudrait tout de même le considérer pour ce qu'il est: un parti de droite populaire et nationale "fréquentable". Lorsqu'on entend un Baroin jouer encore de la fibre "républicaine" qui animerait les Français face au FN, même ceux qui se sont abstenus, on mesure la connerie des jeunes loups de l'UMP !
4 - Quatrième leçon et peut-être la plus importante: celle de l'héritage du gaullisme ! Tant que l'UMP (ou ce qu'il en reste) continuera à revendiquer cette héritage "de la légende de l'Homme du 18 juin", elle ne pourra rendre crédible son ancrage "à droite". car on ne peut pas en effet se dire l'héritier de celui qui remettra en selle le parti communiste à la libération, amnistiera Maurice Thorez dont il fit même un ministre, et sera soutenu par le parti communiste dans l'abandon sanglant de l'Algérie, et se dire "de droite".
Non. Etre "de droite", impose déjà de dénoncer le gaullisme pour ce qu'il fut. Ensuite de considérer le front national comme un parti légitime du paysage républicain. Ce qu'avait fait le parti socialiste en 81 avec le parti communiste pour accéder au pouvoir. Alors on pourra compter sur une grande force de droite capable de battre les socialo-communistes (je sais, ça va faire encore hurler chez les gauchos. Tant mieux !)
1 - Première leçon de ce scrutin: l'énorme taux d'abstentions. Qui démontre que, d'une part, le système de scrutin majoritaire à deux tours est une aberration et que d'autre part, les bulletins "blancs" devraient être comptabilisés. Pour des gens qui veulent imposer la "démocratie" en terre musulmane, je rigole !
2 - Deuxième leçon: parmi les abstentionnistes, la grande majorité est composée d'électeurs sarkozystes, qui s'ils se sentent toujours "à droite" ne comprennent plus la politique suivie par le micro-président.
3 - Troisième leçon: le Front National n'est plus considéré par les Français comme l'extrême danger "brun" caricaturé par la classe politique. Il faudrait tout de même le considérer pour ce qu'il est: un parti de droite populaire et nationale "fréquentable". Lorsqu'on entend un Baroin jouer encore de la fibre "républicaine" qui animerait les Français face au FN, même ceux qui se sont abstenus, on mesure la connerie des jeunes loups de l'UMP !
4 - Quatrième leçon et peut-être la plus importante: celle de l'héritage du gaullisme ! Tant que l'UMP (ou ce qu'il en reste) continuera à revendiquer cette héritage "de la légende de l'Homme du 18 juin", elle ne pourra rendre crédible son ancrage "à droite". car on ne peut pas en effet se dire l'héritier de celui qui remettra en selle le parti communiste à la libération, amnistiera Maurice Thorez dont il fit même un ministre, et sera soutenu par le parti communiste dans l'abandon sanglant de l'Algérie, et se dire "de droite".
Non. Etre "de droite", impose déjà de dénoncer le gaullisme pour ce qu'il fut. Ensuite de considérer le front national comme un parti légitime du paysage républicain. Ce qu'avait fait le parti socialiste en 81 avec le parti communiste pour accéder au pouvoir. Alors on pourra compter sur une grande force de droite capable de battre les socialo-communistes (je sais, ça va faire encore hurler chez les gauchos. Tant mieux !)
"je me suis souvent demandé et me le demande souvent encore, ce qui peut bien différencier une mauvaise bronchite d'une bonne" Pierre Dac
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C'est pas "les gens" qui ont pondu l'idée nauséabonde d'un "débat" sur l'islam, c'est le cerveau malade d'un président de la République qui commence à paniquer !Cobalt a écrit :Je n'aime pas copé mais je l'ai entendu hier soir sur canal,il met les formes quand même pour ce débat et aprés tout vu la montée du FN il faut bien qu'il y ait un débat si non les gens ont le sentiment qu'on se fiche de ce qu'ils pensent.....
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M
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Je dirai même que les "gens" seraient plus intéressés par ce qui touche leur vie au quotidien, et l'avenir de leurs enfants.racaille a écrit :C'est pas "les gens" qui ont pondu l'idée nauséabonde d'un "débat" sur l'islam, c'est le cerveau malade d'un président de la République qui commence à paniquer !Cobalt a écrit : Je n'aime pas copé mais je l'ai entendu hier soir sur canal,il met les formes quand même pour ce débat et aprés tout vu la montée du FN il faut bien qu'il y ait un débat si non les gens ont le sentiment qu'on se fiche de ce qu'ils pensent.....
Le débat sur l'islam (appelons le chat par son nom) ne donnera pas à manger et n'aidera pas à payer son loyer !
Oui,sauf que 15 ou 16% je sais plus au cantonales pour le FN ça les fait réfléchir et comme ils les voient venir à droite, le FN ils essaient de rattraper les tentés du FN....pour 2012 ces cantonales ont servies à ça....ils auraient pu laisser tomber cette élection d'autant qu'elle disparaitra en 2012,ils ne m'endorment plus moi...
- Lucas
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Ce que j'en pense c'est que à ce rythme là, en 2012 on passera pas le 2ème tour, et ça ne sera pas la faute au Fn ou Ps, non mais la faute de ceux qui dirigent l'Ump.
Depuis quand Copé à une autorité sur Fillon ? Copé à une drôle de stratégie, si 2012 n'est pas une victoire de l'ump c'est tout bon pour lui, il en parle depuis des mois et des mois de 2017.
Sarkozy a fait une erreur en mettant Copé, chef de l'ump je pense. Depuis, borloo veut partir, Rama Yade est partie, des querelles apparaissent, on peut se demander à quel jeu il joue. Et c'est peut être lui qui ne joue pas collectif.
Et concernant ce débat sur la laïcité/l'Islam, je suis plutôt de l'avis de Fillon, d'autant que je suis Athée et je pense que ces débats n'apporte rien, à part diviser son propre camps et on le voit bien actuellement.
Depuis quand Copé à une autorité sur Fillon ? Copé à une drôle de stratégie, si 2012 n'est pas une victoire de l'ump c'est tout bon pour lui, il en parle depuis des mois et des mois de 2017.
Sarkozy a fait une erreur en mettant Copé, chef de l'ump je pense. Depuis, borloo veut partir, Rama Yade est partie, des querelles apparaissent, on peut se demander à quel jeu il joue. Et c'est peut être lui qui ne joue pas collectif.
Et concernant ce débat sur la laïcité/l'Islam, je suis plutôt de l'avis de Fillon, d'autant que je suis Athée et je pense que ces débats n'apporte rien, à part diviser son propre camps et on le voit bien actuellement.
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