Jean Arthuis : Dette, euro, impôts... "Je lance un SOS"
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Arthuis énonce des réalités auquel sa formation a pris une ample responsabilité.
Expliquant les erreurs commises mais voulant continuer malgré tout dans la voie euromondialiste, il continu d'être solidaire des dirigeants actuels alors que c'est de réorientation que la France a besoin. Cela dit, le remboursement des dettes souveraines exigera du temps, et une plan de desendettement sur une dizaine d'année pour revenir à un niveau d'endettement acceptable. Cela passera par la relance de la croissance, la stimulation de la compétitivité de nos entreprises mais aussi un travail sur nos structures économiques. Cela exige du temps et ne peut être réalisé en 2 ans comme se proposent aujourd'hui de faire les tenants d'une austérité brutale et qui sera inefficace. LEs dettes européennes restent sûre, au regard de celles des Etats Unis, par conséquents, au lieu de casser la machine à recette fiscale, c'est de réforme fiscale qui sont nécessaires et de confiance dans l'avenir. Le système libéral, auquel reste attachés les dirigeants politiques repose sur la confiance.
Expliquant les erreurs commises mais voulant continuer malgré tout dans la voie euromondialiste, il continu d'être solidaire des dirigeants actuels alors que c'est de réorientation que la France a besoin. Cela dit, le remboursement des dettes souveraines exigera du temps, et une plan de desendettement sur une dizaine d'année pour revenir à un niveau d'endettement acceptable. Cela passera par la relance de la croissance, la stimulation de la compétitivité de nos entreprises mais aussi un travail sur nos structures économiques. Cela exige du temps et ne peut être réalisé en 2 ans comme se proposent aujourd'hui de faire les tenants d'une austérité brutale et qui sera inefficace. LEs dettes européennes restent sûre, au regard de celles des Etats Unis, par conséquents, au lieu de casser la machine à recette fiscale, c'est de réforme fiscale qui sont nécessaires et de confiance dans l'avenir. Le système libéral, auquel reste attachés les dirigeants politiques repose sur la confiance.
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