Les propos de Lagarde font polémique

[Nombrilist]

Et ils vont se faire tabasser par les forces de l'ordre par millions pour le plaisir, sans doute ? icon_cheesygrin

[Cobalt]

Ce sont pas les pions qui font le jeu^^

[mps]

Et ils vont se faire tabasser par les forces de l'ordre par millions pour le plaisir, sans doute ? icon_cheesygrin

Non, parce qu'ils sont persuadés qu'ils vont pouvoir continuer à frauder, s'ils cognent assez dur ...

Ceci dit, bémol à ton emphase : ces cogneurs ne sont pas "des millions", mais quelques dizaines de 1.000.

[albert]

Comme le fait remarquer Jacques Sapir, les prélèvements s’élèvent en Grèce à 40.9 % du PIB. Le problème grec n’est donc pas globalement un manque d’impôts, même si leur système fiscal est injuste et si l’effort est mal réparti.

En 2011, le déficit grec est de 9.1 %. Sachant que les intérêts de la dette représentent 6.99 % du PIB, le déficit sans ces intérêts ne seraient que de 2.1 %.

Le problème de la Grèce, c’est une économie asphyxiée par une monnaie trop forte et des taux d’intérêts trop élevés. Autrement dit, en s’en prenant aux Grecs qui ne paieraient pas assez d’impôts, Mme Lagarde montre juste son incompétence.

[Jean]

Arrêtons de l'envelopper.

Les démagogues sont de sortie, à les entendre on devrait sortir notre chéquier chaque fois qu'un pays ne parvient pas à maîtriser son budget...


Y en a marre des peuples irresponsables.

Les gouvernements et les parlements grecs, elus démocratiquement depuis des décennies (de gauche comme de droite) ont grugé l'UE et ont présenté des dossiers bidon afin d'obtenir des subventions.

Grâce à cela les gouvernement ont pus démagogiquement de créer des milliers de postes de fonctionnaires afin de s'assurer de leur électorat (ce faisant il n'ont fait que faire comme d'autres s'apprêtent à le faire de nouveau...)

Parallèment démagogiquement (donc pour faire plasir au peuple) les gouverneemnt n'ont pas oser collecter l'impôt aussi bien ceux des riches (étonnant car la gauche a été fréqueùmet au pouvoir) que ceux de l'Eglise mais aussi en laissant des impot non payes tels que ceux liés aux immeubles eternellement en finition...

La recession grècque est à comparée au la baisse de niveau de vie d'un foyer en surendetteement ; c'est à dire que c'est un mal nécessaire afin d'ajouster ses dépenses au réelles ressources et non aux ressources gonflées par la manne européenne.

Lagarde a raison, elle probablement à traiter des pays plus malheureux.

[racaille]

Le problème de la Grèce, c’est une économie asphyxiée par une monnaie trop forte et des taux d’intérêts trop élevés. Autrement dit, en s’en prenant aux Grecs qui ne paieraient pas assez d’impôts, Mme Lagarde montre juste son incompétence.

A mon humble avis, Lagarde sait tout ça parfaitement. Mais elle préfère désigner un bouc émissaire facilement identifiable par le petit peuple (j'ai nommé : le grec fraudeur bouffeur d'olives). Mentir comme une arracheuse de dents fait parti de ses attributions. N'oublions pas que cette illustre madame, peu avant de prendre ses fonctions au FMI, osait nous dire droit dans les yeux que les banques privées européennes n'avaient absolument aucun problème de liquidité.

[albert]

Arrêtons de l'envelopper.

Les démagogues sont de sortie, à les entendre on devrait sortir notre chéquier chaque fois qu'un pays ne parvient pas à maîtriser son budget...


Y en a marre des peuples irresponsables.

Les gouvernements et les parlements grecs, elus démocratiquement depuis des décennies (de gauche comme de droite) ont grugé l'UE et ont présenté des dossiers bidon afin d'obtenir des subventions.

Grâce à cela les gouvernement ont pus démagogiquement de créer des milliers de postes de fonctionnaires afin de s'assurer de leur électorat (ce faisant il n'ont fait que faire comme d'autres s'apprêtent à le faire de nouveau...)

Parallèment démagogiquement (donc pour faire plasir au peuple) les gouverneemnt n'ont pas oser collecter l'impôt aussi bien ceux des riches (étonnant car la gauche a été fréqueùmet au pouvoir) que ceux de l'Eglise mais aussi en laissant des impot non payes tels que ceux liés aux immeubles eternellement en finition...

La recession grècque est à comparée au la baisse de niveau de vie d'un foyer en surendetteement ; c'est à dire que c'est un mal nécessaire afin d'ajouster ses dépenses au réelles ressources et non aux ressources gonflées par la manne européenne.

Lagarde a raison, elle probablement à traiter des pays plus malheureux.

Les Grecs ont peut-être falsifié leurs comptes mais ce n’est plus le problème.
Si c’était le problème, la Grèce serait un cas isolé. Or l’Irlande, le Portugal, l’Espagne et l’Italie sont en difficulté. Les états irlandais et espagnols étaient peu endettés avant la crise. C’est l’endettement du secteur privé qui est à l’origine de la crise. Les USA, le Japon, le Royaume-Uni, malgré des déficits plus importants que les pays du sud de l’Europe, sont épargnés par la montée des taux d’intérêt. Il ne faut donc pas se tromper sur le diagnostic. Il y a une crise mondiale qui a été révélée par la crise des subprimes dont l’épicentre était aux USA, mais il y a aussi une crise spécifique de la zone euro.
Le problème grec, c’est que la Grèce ne peut plus dévaluer et que les autres pays de la zone euro sont menacés par son éventuel défaut. Ce problème ne serait pas aussi aigu et systémique s’il n’y avait pas l’euro. Il faut donc s’interroger sur l’euro, on ne peut pas en faire l’économie.

[mps]

Arrêtons de l'envelopper.

Les démagogues sont de sortie, à les entendre on devrait sortir notre chéquier chaque fois qu'un pays ne parvient pas à maîtriser son budget...


Y en a marre des peuples irresponsables.

Les gouvernements et les parlements grecs, elus démocratiquement depuis des décennies (de gauche comme de droite) ont grugé l'UE et ont présenté des dossiers bidon afin d'obtenir des subventions.

Grâce à cela les gouvernement ont pus démagogiquement de créer des milliers de postes de fonctionnaires afin de s'assurer de leur électorat (ce faisant il n'ont fait que faire comme d'autres s'apprêtent à le faire de nouveau...)

Parallèment démagogiquement (donc pour faire plasir au peuple) les gouverneemnt n'ont pas oser collecter l'impôt aussi bien ceux des riches (étonnant car la gauche a été fréqueùmet au pouvoir) que ceux de l'Eglise mais aussi en laissant des impot non payes tels que ceux liés aux immeubles eternellement en finition...

La recession grècque est à comparée au la baisse de niveau de vie d'un foyer en surendetteement ; c'est à dire que c'est un mal nécessaire afin d'ajouster ses dépenses au réelles ressources et non aux ressources gonflées par la manne européenne.

Lagarde a raison, elle probablement à traiter des pays plus malheureux.

Heureuse de te lire, Jean ! Nos petits cocos n'arrêtent pas de plaindre les grecs, parce qu'ils rêvent qu'on continue à les arroser sans contrepartie, avant que ce ne soit le tour de la France. Ils ont même inventé l'argent illimité pour ce faire

Deux faits du jour :

- à Bruxelles, comme chaque année, c'était la Greek-Day, une grande fête grecque sous le soleil pour nos 35.000 immigrés. Commentaires à la télé ce soir, de grecs résidant en Belgique : "Madame Lagarde a bien raison, ce pays est complètement fou ! Mais il est dans la nature des grecs de gueuler pour un oui ou pour un non, nous sommes certains qu'ils vont voter les règles européennes".

- à Varna, grand rassemblement d'avions privés. Au dîner, discussion sur les taxes multiples ... Un équipage grec se fend la poire : "chez nous, on se groupe à deux ou trois propriétaires, et on se déclare "aréoclub" ou "école". Comme cela, on ne paie aucune taxe ni TVA sur l'avion, ni sur le carburant, même en vols intérieurs"

Devant la bouche bée des convives, il commentait : c'est comme cela pour tout : les yachts, les équipements de sports, les maisons avec "atelier d'artiste", etc etc ...

Il s'en est fallu de peu que tous les avions décollent pour aller se faire immatriculer en Grèce

Après cela, qu'on vienne encore me dire que C. Lagarde a exagéré (ou "humilié", c'est encore plus comique ...

[racaille]

C'était effectivement le grand tour de passe-passe des deux années passées : transformer aux yeux de l'opinion une crise d'endettement du secteur privé en crise des dettes nationales. Bravo à tous les analystes télévisés qui ont aidé à relayer la propagande !

[Lucas]

Arrêtons de l'envelopper.

Les démagogues sont de sortie, à les entendre on devrait sortir notre chéquier chaque fois qu'un pays ne parvient pas à maîtriser son budget...


Y en a marre des peuples irresponsables.

Les gouvernements et les parlements grecs, elus démocratiquement depuis des décennies (de gauche comme de droite) ont grugé l'UE et ont présenté des dossiers bidon afin d'obtenir des subventions.

Grâce à cela les gouvernement ont pus démagogiquement de créer des milliers de postes de fonctionnaires afin de s'assurer de leur électorat (ce faisant il n'ont fait que faire comme d'autres s'apprêtent à le faire de nouveau...)

Parallèment démagogiquement (donc pour faire plasir au peuple) les gouverneemnt n'ont pas oser collecter l'impôt aussi bien ceux des riches (étonnant car la gauche a été fréqueùmet au pouvoir) que ceux de l'Eglise mais aussi en laissant des impot non payes tels que ceux liés aux immeubles eternellement en finition...

La recession grècque est à comparée au la baisse de niveau de vie d'un foyer en surendetteement ; c'est à dire que c'est un mal nécessaire afin d'ajouster ses dépenses au réelles ressources et non aux ressources gonflées par la manne européenne.

Lagarde a raison, elle probablement à traiter des pays plus malheureux.

Les Grecs ont peut-être falsifié leurs comptes mais ce n’est plus le problème.
Si c’était le problème, la Grèce serait un cas isolé. Or l’Irlande, le Portugal, l’Espagne et l’Italie sont en difficulté. Les états irlandais et espagnols étaient peu endettés avant la crise. C’est l’endettement du secteur privé qui est à l’origine de la crise. Les USA, le Japon, le Royaume-Uni, malgré des déficits plus importants que les pays du sud de l’Europe, sont épargnés par la montée des taux d’intérêt. Il ne faut donc pas se tromper sur le diagnostic. Il y a une crise mondiale qui a été révélée par la crise des subprimes dont l’épicentre était aux USA, mais il y a aussi une crise spécifique de la zone euro.
Le problème grec, c’est que la Grèce ne peut plus dévaluer et que les autres pays de la zone euro sont menacés par son éventuel défaut. Ce problème ne serait pas aussi aigu et systémique s’il n’y avait pas l’euro. Il faut donc s’interroger sur l’euro, on ne peut pas en faire l’économie.

Oui mais ça a commencé avec la Grèce qui avait truqué ses comptes, du coup les marchés se sont aussi attaqué au portugal, l'espagne et l'irlande.
Et après le manque de confiance entraine le reste....

D'autre que ces pays avaient déjà quelques difficultés.

[mps]

N'oublions pas que cette illustre madame, peu avant de prendre ses fonctions au FMI, osait nous dire droit dans les yeux que les banques privées européennes n'avaient absolument aucun problème de liquidité.

C'était techniquement la stricte vérité. Ce sont les échanges intra-bancaires qui ont été arrêtés au moment de la suspicion des subprimes, pas les liquidités.

Pour preuve, il a suffit que les Etats apportent leur garantie pour que le système reparte à fond. Cela n'aurait pas été le cas si les banques n'avaient plus eu de cash.

Seules, quelques banques hyper mal gérées, ciomme Dexia, ont eu besoin de blé.

[racaille]

Arrêt ton char MPS, tu joues sur les mots en parlant des échanges inter-bancaires - car au final ça revient strictement au même. A peine un mois après avoir annoncé que les banques privées européennes n'avaient pas de problème de liquidités, une fois à son poste à la tête du FMI, elle a dit exactement le contraire ! Je me souviens qu'à l'époque nous avions abondamment posté ici sur ce sujet.

Les Etats n'ont pas fait qu'apporter leur garantie, il y a bien eu renflouage massif. Les 1000 milliards de la BCE c'est du vent peut-être ?

[mps]

Arrêt ton char MPS, tu joues sur les mots en parlant des échanges inter-bancaires - car au final ça revient strictement au même. A peine un mois après avoir annoncé que les banques privées européennes n'avaient pas de problème de liquidités, une fois à son poste à la tête du FMI, elle a dit exactement le contraire ! Je me souviens qu'à l'époque nous avions abondamment posté ici sur ce sujet.

Les Etats n'ont pas fait qu'apporter leur garantie, il y a bien eu renflouage massif. Les 1000 milliards de la BCE c'est du vent peut-être ?

Caramel, imagine que l'économie n'est pas statique, surtout en situation de crise : ce qui est vrai un jour ne l'est pas un mois plus tard.

- situation au déclenchement de la crise : globalement saine, sauf quelques dents gâtées (Fortis aux yeux plus grands que le ventre, Dexia moisie, des suprimes en Espagne, deux gouvernements falsificateurs en Grèce et au Portugal) pour lesquelles la crise sert de révélateur.
- des autres banques, plutôt cool : il n'y a pas exemple jamais eu de restriction de crédits aux entreprises en Belgique.
- une petite panique au niveau des compensations bancaires, immédiatement calmées par les garanties d'Etats.
- on se penche alors sur les dents gâtées. Et là, il est clair que si on ne veut pas voir capoter d'indispensables ensembles bancaires, ou carrément des pays, il va falloir les aider financièrement.

Le temps d'inventaires et d'audit, et il faut mettre la main au portefeuille. Avrec les banques, cela se passe plutôt bien et à des taux profitables aux Etats. Avec les pays victimes de leur surendettement et de leurs fraudes déclaratives, ça coûte un pont ! (Grèce et Portugal sont en perfusion, l'Islande joue la plus belle grivèlerie depuis longtemps.

Ceux qui sont simplement mal pris, en général, se débrouillent et redressent progressivement leur situation.

Mais les tocards ont coûté cher, et continuent. Les mille milliards n'ont rien à voir avec la "crise", mais bien avec des délires démagogiques (Grèce, Portugal), de la mauvaise foi inadmissible (Islande) de la paranoia (Fortis), une gestion de m... (Dexia), etc.

D'autres, tout aussi mal pris, règlent sereinement leurs problèmes tout seuls et fort honorablement.

Etre ces extrêmes, il y a la France qui voudrait de l'argent démagogique et se livre à un genre de mendicité pour rendre du rêve à compte d'autrui, sans déchaîner le moindre enthousiasme

Tu ne peux demander à Lagarde, qui elle est claire, technique et objective, de tenir le même discours face à des problèmes différents ... dont l'UE et la zone euro ne sont qu'une petite partie de ses préoccupations.