Qu'en pensez vous ?Invité de Jean-Michel Aphatie ce matin, l'ancien ministre des Affaires étrangères de Nicolas Sarkozy, Bernard Kouchner, devait à l'origine donner son point de vue sur la situation en Syrie. Passées quelques phrases convenues et déjà entendues, il s'est encore livré à un exercice d'équilibrisme et d'hypocrisie dont il a le secret. "Je n'ai jamais voté à droite", a-t-il asséné pour sa première intervention publique depuis son départ du gouvernement Fillon le 13 novembre 2010. Il a ensuite souligné le bilan positif de l'ancien président en soulignant les réformes qu'il avait menées à bien... Cherchez la logique !
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Vient ensuite le temps des remords... "Regrettez-vous d'avoir été son ministre ?"
Réponse : "Non, je n'ai pas regretté du tout. Ça ne s'est pas passé comme je le souhaitais ; des tas de choses parallèles..."
À la question "Comment jugez-vous les premiers pas de François Hollande ?" : "Eh bien, je les trouve pas mauvais."
Bernard Kouchner montre qu'à 72 ans il a encore l'échine souple et sait toujours exécuter le grand écart. Celui-ci lui sera-t-il profitable ? Récupèrera-t-il une mission, une ambassade, voire un ministère ? Il s'est en tout cas montré disponible. L'intégralité de cet article sur Le Point.fr
A plus tard,