François Hollande veut lancer une réforme des institutions

[PatJol]

Il y avait 36 000 communes françaises en 2004, et il y en a toujours autant parce qu'il n'y a pas eu de mouvement de regroupement de communes en France (contrairement à d'autres pays qui avaient déjà moins de communes).
Tout ce qui se passe en France sur ce sujet, c'est une montée de l'intercommunalité. Encore une raison pour fusionner des communes... et supprimer les départements.

[Nico37]

Hollande propose la parité intégrale aux cantonales Jean-Baptiste Garat 05/10

La réforme prévoit une refondation de la carte des cantons et un tandem homme-femme élu dans chacune des nouvelles circonscriptions.

En lançant vendredi un nouvel acte de la décentralisation, François Hollande a ouvert son grand chantier des réformes institutionnelles et électorales, annoncé durant sa campagne. La première étape consiste en une modification du calendrier. La gauche, qui n'a jamais caché son opposition à la création du conseiller territorial, souhaité par Nicolas Sarkozy, va donc rétablir les élections cantonales et régionales. Le scrutin territorial, tel que prévu par la droite, devait avoir lieu en 2014, au même moment que les municipales ; les Français seront au final convoqués pour élire leurs représentants dans les conseils généraux et conseils régionaux un an plus tard, en 2015.

(...)

[PatJol]

Quand on connaît la réalité du terrain en politique, on sait que même 12 ans après la loi sur la parité il y a plus de 3 hommes pour une femme qui veulent s'engager en politique. Cette parité mathématique est en fait une discrimination contre les hommes. Peut-être une discrimination positive, mais en tous cas elle ne s'assume pas comme ça.

[Nico37]

Quand on connaît la réalité du terrain en politique, on sait que même 12 ans après la loi sur la parité il y a plus de 3 hommes pour une femme qui veulent s'engager en politique. Cette parité mathématique est en fait une discrimination contre les hommes. Peut-être une discrimination positive, mais en tous cas elle ne s'assume pas comme ça.

AS-tu une source :

[mps]

Quand on connaît la réalité du terrain en politique, on sait que même 12 ans après la loi sur la parité il y a plus de 3 hommes pour une femme qui veulent s'engager en politique. Cette parité mathématique est en fait une discrimination contre les hommes. Peut-être une discrimination positive, mais en tous cas elle ne s'assume pas comme ça.

Pas besoin de source en effet, pour constater que peu de femmes sont réellement intéressées par la politique. Cette mode de la parité pousse à mettre sur les listes la moindre sympathisante, parfois même quasi à son insu.

Forcément, cela débouche sur des mandats pour lesquels elles n'ont ni le temps ni la passion.

C'est évidemment du sexisme que de vouloir cette parité qui installe des femmes à des postes qu'elles n'auraient jamais eu si elles avaient été des hommes :evil:

[PatJol]

Quand on connaît la réalité du terrain en politique, on sait que même 12 ans après la loi sur la parité il y a plus de 3 hommes pour une femme qui veulent s'engager en politique. Cette parité mathématique est en fait une discrimination contre les hommes. Peut-être une discrimination positive, mais en tous cas elle ne s'assume pas comme ça.

AS-tu une source :

C'est ce que je vis dans ma mairie. Parles-en à n'importe élu local, tu verras.

Quand on constitue une liste, on a du mal à trouver des femmes candidates mais par contre on doit refuser plein d'hommes. Dans la partie non éligible on comble entre deux hommes qui veulent siéger avec des femmes qui ne le veulent pas.

Un simple exemple factuel : Dans ma mairie, depuis le début du mandat en 2008 deux hommes sont devenus élus à cause de démissions féminines au conseil. Trois femmes, qui étaient candidates sur la liste, ont refusé de siéger et les deux hommes ont accepté.

[Nico37]

Quand on connaît la réalité du terrain en politique, on sait que même 12 ans après la loi sur la parité il y a plus de 3 hommes pour une femme qui veulent s'engager en politique. Cette parité mathématique est en fait une discrimination contre les hommes. Peut-être une discrimination positive, mais en tous cas elle ne s'assume pas comme ça.

AS-tu une source :

C'est ce que je vis dans ma mairie. Parles-en à n'importe élu local, tu verras.

Quand on constitue une liste, on a du mal à trouver des femmes candidates mais par contre on doit refuser plein d'hommes. Dans la partie non éligible on comble entre deux hommes qui veulent siéger avec des femmes qui ne le veulent pas.

Un simple exemple factuel : Dans ma mairie, depuis le début du mandat en 2008 deux hommes sont devenus élus à cause de démissions féminines au conseil. Trois femmes, qui étaient candidates sur la liste, ont refusé de siéger et les deux hommes ont accepté.

Exemple local, c'est un peu juste... Tu as fait une affirmation d'ordre général, c'est un peu dommage d'y aller sans nuance et sans source... C'est peut être vrai dans les petites communes (et peut être pas partout) car à Tours, la liste des présenti-e-s pour les dernières municipales faisaient apparaitre plus de femmes qu'il n'y avait d'élus possibles sur la liste PS et apparentés par ex. pourtant seul une moitié de femme dans la liste soumise au suffrage et seulement un quart d'élue (et ne parlons pas des postes d'adjointe, c'est indécent...).

[PatJol]

Quand on connaît la réalité du terrain en politique, on sait que même 12 ans après la loi sur la parité il y a plus de 3 hommes pour une femme qui veulent s'engager en politique. Cette parité mathématique est en fait une discrimination contre les hommes. Peut-être une discrimination positive, mais en tous cas elle ne s'assume pas comme ça.

AS-tu une source :

C'est ce que je vis dans ma mairie. Parles-en à n'importe élu local, tu verras.

Quand on constitue une liste, on a du mal à trouver des femmes candidates mais par contre on doit refuser plein d'hommes. Dans la partie non éligible on comble entre deux hommes qui veulent siéger avec des femmes qui ne le veulent pas.

Un simple exemple factuel : Dans ma mairie, depuis le début du mandat en 2008 deux hommes sont devenus élus à cause de démissions féminines au conseil. Trois femmes, qui étaient candidates sur la liste, ont refusé de siéger et les deux hommes ont accepté.

Exemple local, c'est un peu juste... Tu as fait une affirmation d'ordre général, c'est un peu dommage d'y aller sans nuance et sans source... C'est peut être vrai dans les petites communes (et peut être pas partout) car à Tours, la liste des présenti-e-s pour les dernières municipales faisaient apparaitre plus de femmes qu'il n'y avait d'élus possibles sur la liste PS et apparentés par ex. pourtant seul une moitié de femme dans la liste soumise au suffrage et seulement un quart d'élue (et ne parlons pas des postes d'adjointe, c'est indécent...).

Exemple concret et réel. Commune de 25 000 habitants, je ne sais pas si on appelle ça une petite commune.
Et je ne vois pas pourquoi les femmes seraient différentes dans ma commune.
Pour les adjoints c'est pareil : Parité mathématique obligatoire.

Même au travail la plupart des femmes sont moins impliquées parce qu'elles en font beaucoup plus à la maison.


Nous ne sommes pas dans un pays scandinave

[merlin]

Vaste sujet que la parité hommes femme au sein d'une assemblée ou d'un conseil constitué d'élus.
la parité pure et dure est en effet un peu discriminatoire, peu en importe le sens d'ailleurs, car si il est aujourd'hui globalement en faveur des hommes, il doit bien y avoir quelques conseils municipaux à problèmes dans des communes ou il y a beaucoup plus de femmes.

cela étant, pour tout ce qui est national, régional, voire départemental (c'est différent pour les conseils municipaux, bien sur) il me semble que ce sont très majoritairement des membres de partis politiques qui se présentent.
Dans ce cas, la parité devrait être proportionnelle au nombre d'adhérents à jour de leur cotisation, voire de cadres locaux ou nationaux, réservoir de candidats naturel.

Ainsi, un parti qui comporte 35% de femmes ne devrait être obligé de présenter que 35% de femmes aux législatives. La parité serait respectée.