L'équation très difficile de Nicolas Sarkozy
Re: L'équation très difficile de Nicolas Sarkozy
Non, car en période de crise, le peuple dégage ceux qui sont au pouvoir.
C'est loin d'être intelligent, mais les humains fonctionnent avec les émotions.
On a moins à manger dans l'assiette, hop, on guillotine ceux qui gouvernent, c'est comme ça, et que ce soit la gauche ou la droite au pouvoir.
Pour une implosion de la droite, j'y crois pas une seconde.
Regarde la gauche, elle était en décomposition totale après l'affaire DSK, et finalement en quelques mois elle s'est remise (au moins en apparence) sur pied.
C'est loin d'être intelligent, mais les humains fonctionnent avec les émotions.
On a moins à manger dans l'assiette, hop, on guillotine ceux qui gouvernent, c'est comme ça, et que ce soit la gauche ou la droite au pouvoir.
Pour une implosion de la droite, j'y crois pas une seconde.
Regarde la gauche, elle était en décomposition totale après l'affaire DSK, et finalement en quelques mois elle s'est remise (au moins en apparence) sur pied.
Du moment qu'elles font encore le ménage toussa, où est le problème ?
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Re: L'équation très difficile de Nicolas Sarkozy
"Non, car en période de crise, le peuple dégage ceux qui sont au pouvoir. C'est loin d'être intelligent, mais les humains fonctionnent avec les émotions."
Pourtant, moi je trouve ça tout à fait logique. Si il y a une crise, que le pouvoir en place ou non y soit pour quelque chose, il est difficile de le prouver à 100%. Donc, soit on considère que le pouvoir politique n'y peut rien et donc on peut en changer, soit il y est pour quelque chose et on doit le changer. Dans les deux cas, on ne prend pas de risque à le changer. Parcontre, si on le maintient en place, on prend le risque de garder un pouvoir nul en gestion de crise.
Pourtant, moi je trouve ça tout à fait logique. Si il y a une crise, que le pouvoir en place ou non y soit pour quelque chose, il est difficile de le prouver à 100%. Donc, soit on considère que le pouvoir politique n'y peut rien et donc on peut en changer, soit il y est pour quelque chose et on doit le changer. Dans les deux cas, on ne prend pas de risque à le changer. Parcontre, si on le maintient en place, on prend le risque de garder un pouvoir nul en gestion de crise.
Re: L'équation très difficile de Nicolas Sarkozy
CQFD nombrilist Tu m'as euNombrilist a écrit :"Non, car en période de crise, le peuple dégage ceux qui sont au pouvoir. C'est loin d'être intelligent, mais les humains fonctionnent avec les émotions."
Pourtant, moi je trouve ça tout à fait logique. Si il y a une crise, que le pouvoir en place ou non y soit pour quelque chose, il est difficile de le prouver à 100%. Donc, soit on considère que le pouvoir politique n'y peut rien et donc on peut en changer, soit il y est pour quelque chose et on doit le changer. Dans les deux cas, on ne prend pas de risque à le changer. Parcontre, si on le maintient en place, on prend le risque de garder un pouvoir nul en gestion de crise.
Ta démonstration est assez convaincante, j'en conviens^^
Du moment qu'elles font encore le ménage toussa, où est le problème ?
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Re: L'équation très difficile de Nicolas Sarkozy
Bonjour,
A plus tard,
Qu'en pensez vous ?Près de quatre Français sur dix (38%) trouvent la campagne de Nicolas Sarkozy "trop à droite", autant que ceux qui la trouvent "juste comme il faut", selon un sondage LH2 pour Le nouvel Observateur publié lundi.
En revanche, 9% la trouvent "pas assez à droite", tandis que 15% ne se prononcent pas. Si 62% des sympathisants de la gauche et 45% de ceux du MoDem trouvent la campagne du président candidat "trop à droite", ils ne sont que 14% à le penser parmi les sympathisants de la droite. Par ailleurs 29% des sympathisants du FN et 7% parmi ceux de l'UMP ne la trouvent "pas assez à droite". http://www.europe1.fr/Politique/Droitis ... s-1061591/
A plus tard,
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
Le débat ne s'arrête jamais sur Actu-Politique
Re: L'équation très difficile de Nicolas Sarkozy
45 % du Modem, c'est ça qui est intéressant. Les autres doivent être comme la mamie de rue89 qui vote Bayrou mais n'aime pas trop les basanés.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
Re: L'équation très difficile de Nicolas Sarkozy
29% du FN ne la trouvent pas assez à droite ? Nomdidiou, ça me parait peu icon_mrgreen ! Comme ça, à la louche, j'aurais dit un bon 75%
Qui sont les sondeurs ?
Qui sont les sondeurs ?
Du moment qu'elles font encore le ménage toussa, où est le problème ?
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Re: L'équation très difficile de Nicolas Sarkozy
Marine est moins à droite que Sarko dans son discours
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
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Re: L'équation très difficile de Nicolas Sarkozy
Les électeurs de Marine ont voté pour une sortie de l'euro. Sarkozy propose le contraire. C'est compliqué de reporter sa voix dans ces conditions.
Re: L'équation très difficile de Nicolas Sarkozy
Selon Raffarin, la présidentielle "était gagnable" pour l'UMPLe Monde.fr avec AFP | 13.05
Dans un entretien à Sud Ouest dimanche du 13 mai, Jean-Pierre Raffarin confie que "cette élection était gagnable pour la majorité" mais que "les comportements ont été davantage sanctionnés que la politique". "Le style hyperactif de Nicolas Sarkozy a pu heurter nombre de sensibilités plus tempérées", explique-t-il.
(...)
Re: L'équation très difficile de Nicolas Sarkozy
La revanche du retour de la vengeance des centristes de l'UMP. Même pas peur.
Les Français vont instinctivement au pouvoir; ils n'aiment point la liberté; l'égalité seule est leur idole. Or l'égalité et le despotisme ont des liaisons secrètes. Chateaubriand
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Re: L'équation très difficile de Nicolas Sarkozy
Raffarin qui se permet de rejouer le match. Hollande était donné vainqueur depuis un an par 400 sondages sans exception, mais non, c'était quand même gagnable. LOL !
Re: L'équation très difficile de Nicolas Sarkozy
Aussi malin que de déboulonner un Capitaine parce que son bateau a encaissé un ouragan ! Surtout que si on peut encore déboulonner le capitaine, c'est qu'il a évité au bateau de couler ...Nombrilist a écrit :"Non, car en période de crise, le peuple dégage ceux qui sont au pouvoir. C'est loin d'être intelligent, mais les humains fonctionnent avec les émotions."
Pourtant, moi je trouve ça tout à fait logique. Si il y a une crise, que le pouvoir en place ou non y soit pour quelque chose, il est difficile de le prouver à 100%. Donc, soit on considère que le pouvoir politique n'y peut rien et donc on peut en changer, soit il y est pour quelque chose et on doit le changer. Dans les deux cas, on ne prend pas de risque à le changer. Parcontre, si on le maintient en place, on prend le risque de garder un pouvoir nul en gestion de crise.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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Re: L'équation très difficile de Nicolas Sarkozy
Non, c'est juste que le bateau était assez robuste pour ne pas couler. Forcément. A moins d'être Zeus ou Poséidon, un capitaine n'a pas la main sur l'ouragan.
Re: L'équation très difficile de Nicolas Sarkozy
Sarkozy a fait une bonne campagne et c'est bien cela qui m'inquiète : le complot des étrangers, les méchant journalistes, les flics cowboys... ca a marché à fond.
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