Georges a écrit :Il n'y a rien d'insultant à dire que ce type est un parasite, qui a toujours vécu de l'argent hérité de ses ancêtres, argent gagné grâce à la sueur et le sang de leurs "sujets". Ancêtres qui par droit divin avait le pouvoir de vie et de mort sur leurs "sujets".
En 1940, Henri d'Orléans, prétendant au trône de France, hérite de 400 millions de francs (près de 1 milliard de nos francs). En 1999, à sa mort, il ne laisse rien à ses enfants. Il voulait rester le dernier des Capétiens
parasite?
CARRIèRE du comte de Paris !
En 1947, par décret spécial du Président Vincent Auriol, et à titre personnel, le jeune Prince Henri est autorisé à séjourner sur le territoire français pour faire ses études à Bordeaux.
La Loi d’Exil est abolie en 1950 grâce à l’intervention et à la persévérance du député, Monsieur Hutin Desgrée.
En 1953, le Prince Henri s’installe à Paris et poursuit durant quatre ans ses études en Sciences Politiques. Jacques Chirac, préparant l’ENA, fut l’un de ses répétiteurs.
Quelques mois après,
le Prince s’engage dans la guerre d’Algérie. Il est décoré pour faits d’armes à Aïn-Mlila. Puis il signe un contrat avec l’armée pour y faire carrière.
Convoqué à Paris par le Général de Gaulle en 1959, le Prince Henri est
Chargé de Mission au Secrétariat Général de la Défense Nationale. Il rencontre régulièrement le Chef de l’Etat, soit dans le cadre de ses missions, soit au cours de chasses à Rambouillet ou Marly. Il intervient également comme estafette entre le Général de Gaulle et feu le Comte de Paris.
En 1960, près de Tizi Ouzou, son frère cadet, le Prince François, est tué dans une embuscade. Après les accords d’Evian, en 1962, accords mettant fin à l’intervention armée de la France en Algérie, le Prince est affecté au 4ème Hussard en Allemagne. Par deux fois, il est détaché avec son peloton auprès du 11ème Cavalerie US à Passaü, sur la frontière tchécoslovaque.
De 1963 à 1968, le Prince Henri est officier instructeur à la Légion Etrangère (1er REC), à laquelle il demeure très attaché. Au retour définitif des régiments français de Mers El-Kébir, le Prince quitte l’armée, non sans y laisser de nombreux amis. Il est d’ailleurs régulièrement convié à la grande fête de Camerone, fête de la Légion.
A partir de 1974, le Prince change d’orientation. Il quitte la fonction publique et décide de s’intéresser aux PME-PMI désireuses d’exporter. Il participe dans ce cadre à une mission économique en Argentine qui permet notamment à la société William Saurin d’implanter une usine clé en main en Terre de Feu.
En 1981, le Prince Henri lance une association Loi 1901, le « Centre d’Etudes et de Recherches sur la France Contemporaine » (C.E.R.F.C.) qu’il transforme en 1999 en « Institut de la Maison Royale de France » (IMRF). Cette association a pour but principal de réunir des personnes de toutes sensibilités, de toutes situations, de toutes confessions, dans une volonté de tolérance de l’expérience d’autrui et dans le respect de l’identité de chacun.
Dans le cadre de ses activités au sein de son association, le Prince et son épouse se déplacent partout en France. Ces voyages d’études sont organisés
bénévolement par les bureaux de province de l’IMRF. Rencontres avec les Français, visites aux agriculteurs, aux ouvriers et leurs cadres dirigeants, aux artisans et commerçants, qui donnent lieu parfois à des colloques ou conférences, réception des maires de toutes tendances, de toutes sensibilités.