Devenir riche ne tient qu'à vous.
[table cellpadding="0" cellspacing="0" border="0" width="100%"][tr][td colspan="1" rowspan="1" width="100%"][/td][td colspan="1" rowspan="1" valign="top"] [/td][/tr][tr][td colspan="2" rowspan="1"]MPS, je m'interroge sur le rôle des banques. Quel est-il ? Financer uniquement des entreprises dont tout le monde sait qu'elles marchent très bien depuis des années, mais qui n'ont rien inventé de bien nouveau ? Ou bien également oser la prise de risque avec des PME innovantes qui démarrent et qui sont prometteuses (mais dans le lot, certaines se planteront) ?
Comme les banques sont privées, elles préfèrent la première solution, puisqu'il s'agit pour elle de gagner le plus d'argent possible, et pas du tout de jouer un rôle moteur dans l'économie (ce n'est qu'un résultat collatéral). Alors évidemment, sans tomber dans l'excès inverse. Mais je trouve que les banques françaises sont trop frileuses.
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La réponse est simplement dans la Loi bancaire. Les banques ne peuvent en aucun cas jouer capital à risque. Elles ne doivent prêter que sur garanties suffisantes.
Ce sera par exemple le prêt hypothécaire (le bien valant plus que l'argent prêté), ou un applort au fonds de roulement d'une entreprise, pour peu que ses résultats ne laissent aucun doute sur sa solvabilité. Elles sont là pour donner un peu d'élasticité facile à des entreprises saines.
Pour les strat-up, les idées géniales, bref, tout ce qui au départ est aventureux, il existe des invests. Des fonds séparés, bien délimités, soit publics soit privés, où le prêteur se lance en joint venture avec l'entrepreneur, si son dossier, son profil et son plan financier tiennent la route.
Ces invests fonctionnenet de deux manières, en gros :
- soit ils entrent dans le capital de la PME, siègent au CA, etc ... mais cela fait souvent peur au jeune patron, qui craint de ne pous être maître chez soi ;
- soit ils apportent des capitaux en "prêt subordonné", ce qui signifie qu'en cas de difficultés, ils ne se remboursent qu'après les autres créanciers. La formule plait, parce qu'elle laisse intecte la surface financière de l'entreprise.
Bien entendu, banques et invests jouent tous deux un rôle éminent dans l'économie, pas par sur le même registre ... et l'argent des déposants n'est pas exposé.
Wekers, sorry, mais je ne sais rien de cette taxe plastique ni de vos "fonds souverains". Donc, je passe ... icon_confused
Comme les banques sont privées, elles préfèrent la première solution, puisqu'il s'agit pour elle de gagner le plus d'argent possible, et pas du tout de jouer un rôle moteur dans l'économie (ce n'est qu'un résultat collatéral). Alors évidemment, sans tomber dans l'excès inverse. Mais je trouve que les banques françaises sont trop frileuses.
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La réponse est simplement dans la Loi bancaire. Les banques ne peuvent en aucun cas jouer capital à risque. Elles ne doivent prêter que sur garanties suffisantes.
Ce sera par exemple le prêt hypothécaire (le bien valant plus que l'argent prêté), ou un applort au fonds de roulement d'une entreprise, pour peu que ses résultats ne laissent aucun doute sur sa solvabilité. Elles sont là pour donner un peu d'élasticité facile à des entreprises saines.
Pour les strat-up, les idées géniales, bref, tout ce qui au départ est aventureux, il existe des invests. Des fonds séparés, bien délimités, soit publics soit privés, où le prêteur se lance en joint venture avec l'entrepreneur, si son dossier, son profil et son plan financier tiennent la route.
Ces invests fonctionnenet de deux manières, en gros :
- soit ils entrent dans le capital de la PME, siègent au CA, etc ... mais cela fait souvent peur au jeune patron, qui craint de ne pous être maître chez soi ;
- soit ils apportent des capitaux en "prêt subordonné", ce qui signifie qu'en cas de difficultés, ils ne se remboursent qu'après les autres créanciers. La formule plait, parce qu'elle laisse intecte la surface financière de l'entreprise.
Bien entendu, banques et invests jouent tous deux un rôle éminent dans l'économie, pas par sur le même registre ... et l'argent des déposants n'est pas exposé.
Wekers, sorry, mais je ne sais rien de cette taxe plastique ni de vos "fonds souverains". Donc, je passe ... icon_confused
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- wesker
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- Enregistré le : 18 mai 2009, 00:00:00
- Localisation : Proche de celles et ceux qui vivent dans le pays réel
C'est si vrai que le Président voulait nous intaurer en France les prêts hypothécaires, type subprimes durant la campagne des présidentielles.
Entre sa volonté de favoriser les constructions en zone inondable, le voilà qu'il nous promettait les subprimes....Heureusement que les évènements, souvent tragiques nous ont preservé de telles ineptes.
Entre sa volonté de favoriser les constructions en zone inondable, le voilà qu'il nous promettait les subprimes....Heureusement que les évènements, souvent tragiques nous ont preservé de telles ineptes.
- wesker
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- Localisation : Proche de celles et ceux qui vivent dans le pays réel
J'en assez de tes couinements qui ne sont le reflet que de ton idolatrie....La médisance ? En voilà la preuve et J'ATTEND SINCEREMENT tes eclairages
http://www.dailymotion.com/video/xcfsh4 ... ir-les-reg…
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- Libre penseur
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Décidément, il y en a qui sont dûrs de comprenure icon_confused
On peut à la fois préconiser des programmes en zones batissables,spécialement adaptés (comme le Zuiderzee, par exemple) et refuser lespermis de batir ordinaires en zone inondable.
Il n'y a d'incohérence que pour ceux qui sont incapables de faire la différence ...
On peut à la fois préconiser des programmes en zones batissables,spécialement adaptés (comme le Zuiderzee, par exemple) et refuser lespermis de batir ordinaires en zone inondable.
Il n'y a d'incohérence que pour ceux qui sont incapables de faire la différence ...
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- Nombrilist
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Et puis ça serait bien d'arrêter d'assécher les zones humides côtières ou fluviales. Une étude récente a montré qu'elles étaient de formidables stockages de CO2, en plus d'être des réservoirs de biodiversité.
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.
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