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par wesker » 01 mai 2016, 18:11:01
Si le chômage et la pauvreté ne se réduisent pas, pas davantage que la prise en compte des risques sociaux il est difficile de réduire la dépense publique, dans la mesure où il y a des besoins et que, quoi que puisse en penser certains, la France essaye de ne pas abandonner ses citoyens lorsqu'ils rencontrent des situations difficiles.
Naturellement, chacun peut comprendre qu'un tel niveau de prélèvements pénalise l'activité et peut susciter des freins à des investissements que nous savons pourtant indispensable au développement de notre économie, mais, pour les réduire il faut accepter de discuter des modalités de réductions des risques sociaux, d'efficacité des dispositifs d'accompagnements vers l'emploi, vers la formation et/ou la reprise d'activité, afin que ces dépenses sociales se réduisent.
Au niveau de la défense, de la justice, je reste persuadé que la France aura du mal à réduire ses dépenses, au vu des menaces, des dangers auxquels les citoyens attendent, aussi des réponses, et enfin, dans d'autres domaines, il faut définir, devant les français, au cours de la présidentielle et des législatives, les axes de gestion et de périmètre des services publics auxquels nous pouvons réduire ou renoncer au prétexte d'une efficacité insuffisante, d'un coût excessif