Budget : avant la présidentielle, le gouvernement renonce à faire des économies

[Papibilou]

On en reparlera, effectivement, lorsque tu te feras licencier sans cause réelle et sérieuse, que tu percevras des allocations chômage minoré, pour qu'une minorité de personnes puissent se prévaloir de baisss fiscales significatives leur assurant un niveau de vie très confortable.

On en reparlera lorsque les inquiétudes, que suscitent cette loi, ainsi que l'instabilité, au sein des boites pénaliseront l'attractivité de la France, réputé pour sa stabilité et ses perspectives, qui peuvent certes être encore améliorées, notamment par rapport à certains secteurs et concurrents.

Sincèrement, qu'il soit nécessaire de réformer certains secteurs de notre économie ne fait aucun doute, qu'on s'égare dans une surenchère qui ne permets pas, à ce jour de redresser la compétitivité ne me semble pas être une piste d'avenir sérieuse.

Qui n'entend qu'une cloche n'entend qu'un son. Ne voir dans cette loi que des aspects négatifs c'est être borgne ou manquer d'objectivité. Je vous conseille d'aller sur le site de la CFDT pour y voir leur avis.

Mais nous nous éloignons du sujet (c'est ma faute). Concernant le budget j'attends des candidats à la présidentielle des propositions réalistes et pas trop austères pour revenir à un équilibre qui nous fuit depuis 40 ans. Mais c'est l'époque du père Noël ....

[wesker]

Papibilou, tu évoques la CFDT en suggérant que l'approbation d'une centrale syndicale signifie que les droits de l'ensemble des salariés seront assurés. Pardon, mais c'est ignorer, un peu vite que les syndicats ne suscite que très peu d'adhésion et donc de confiance de la part de l'immense majorité des salariés, d'une part, c'est oublier, aussi les nominations obtenues par d'anciens dirigeants de centrales syndicales à des postes correctement rémunérés sans bruit....

Bref, encore une fois les représentants d'une sociologie bien spécifique occupe l'espace idéologique mais leurs intérêts, à eux, restent soigneusement préservés, notamment parce que certains, tels que toi, je le crains, ne leur accorde trop facilement leur confiance.

[Papibilou]

Papibilou, tu évoques la CFDT en suggérant que l'approbation d'une centrale syndicale signifie que les droits de l'ensemble des salariés seront assurés. Pardon, mais c'est ignorer, un peu vite que les syndicats ne suscite que très peu d'adhésion et donc de confiance de la part de l'immense majorité des salariés, d'une part, c'est oublier, aussi les nominations obtenues par d'anciens dirigeants de centrales syndicales à des postes correctement rémunérés sans bruit....

Bref, encore une fois les représentants d'une sociologie bien spécifique occupe l'espace idéologique mais leurs intérêts, à eux, restent soigneusement préservés, notamment parce que certains, tels que toi, je le crains, ne leur accorde trop facilement leur confiance.

L'adhésion n'est pas plus forte pour la CGT que pour la CFDT et je ne vois pas pourquoi je ferais plus confiance à la CGT.
"L'immense majorité des salariés ", pour reprendre votre expression n'a pas lu le texte ce dont on ne peut leur faire le reproche tant il est obscur et interminable. Ils ont donc, et vous aussi, fait confiance à une centrale syndicale qui ne défend pas plus ni mieux (mais, a priori, pas moins ni moins bien) les droits et intérêts des salariés. C'est donc bien l'avenir qui dira si ce texte est globalement plus négatif que positif.
Mais revenons au budget.

[wesker]

Papibilou....Je ne crois pas avoir parlé de la CGT dans mon intervention, quant à dire si les gens ont lu ou pas le texte en question, il est difficile de le savoir mais il se trouve qu'ils furent bien plus nombreux à s'opposer à ce texte qu'à le soutenir. Il en va de même pour une majorité qui, sous Valls a dû accepter l'usage du 49-3 que le même souhaite supprimer aujourd'hui, hormis texte budgétaire.

Sur le budget, l'indicateur de croissance laisse augurer de la difficultés à tenir les engagements budgétaires tout en se mettant en capacité de satisfaire aux dépenses qui caractérisent, généralement les années électorales. La droite a fait de même sous Sarkozy laissant un déficit à plus de 5% en 2012 !

[Papibilou]

Papibilou....Je ne crois pas avoir parlé de la CGT dans mon intervention, quant à dire si les gens ont lu ou pas le texte en question, il est difficile de le savoir mais il se trouve qu'ils furent bien plus nombreux à s'opposer à ce texte qu'à le soutenir. Il en va de même pour une majorité qui, sous Valls a dû accepter l'usage du 49-3 que le même souhaite supprimer aujourd'hui, hormis texte budgétaire.

Sur le budget, l'indicateur de croissance laisse augurer de la difficultés à tenir les engagements budgétaires tout en se mettant en capacité de satisfaire aux dépenses qui caractérisent, généralement les années électorales. La droite a fait de même sous Sarkozy laissant un déficit à plus de 5% en 2012 !

Pour ne pas indisposer politicien, je cesse la discussion sur ce fil concernant la loi travail, en rappelant que ce n'est pas parce que on est plus nombreux que l'on a raison.
Concernant le budget, je serais favorable à ce qu'il ne puisse pas augmenter pour une année électorale plus que l'inflation.

[wesker]

Dans nue démocratie, il me semble que ce sont les plus nombreux qui sont légitimes, mais passons.

Effectivement, le budget ne devrait pas pouvoir augmenter davantage que l'inflation, à ceci près qu'il est difficile de prévoir l'inflation de l'année à venir, quand on élabore le budget, l'année précédente.
Par ailleurs, certaines dépenses continuent de croître, notamment dans les collectivités régionales, quand l'argument des synergies et des économies fut avancé pour la réforme territoriale.

[Papibilou]

Dans nue démocratie, il me semble que ce sont les plus nombreux qui sont légitimes, mais passons.

Effectivement, le budget ne devrait pas pouvoir augmenter davantage que l'inflation, à ceci près qu'il est difficile de prévoir l'inflation de l'année à venir, quand on élabore le budget, l'année précédente.
Par ailleurs, certaines dépenses continuent de croître, notamment dans les collectivités régionales, quand l'argument des synergies et des économies fut avancé pour la réforme territoriale.

On ne peut pas être d'une précision absolue mais on sait bien, environ 1 an à l'avance ce que devrait être l'inflation, comme ce que devrait être la croissance.