François Hollande, le président qui n'a pas eu de bol...

[albert]

Bilan du quinquennat : quelles ont été les erreurs du gouvernement ? (La Tribune)

Dans une étude dévoilée ce lundi, l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) décrypte la politique économique menée entre 2012 et 2016. Principal enseignement, en optant pour l'austérité budgétaire et une politique de l'offre aux effets dépressifs sur le pouvoir d'achat, le gouvernement s'est trompé.
(...)

Le manque de bol n'a rien à voir là-dedans : Hollande a appliqué une politique inadéquate, non pas parce qu'il est stupide, mais parce qu'il mène en réalité la politique décidée par l'Allemagne à l'échelle de la zone euro.

[voileux]

Bilan du quinquennat : quelles ont été les erreurs du gouvernement ? (La Tribune)

Dans une étude dévoilée ce lundi, l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) décrypte la politique économique menée entre 2012 et 2016. Principal enseignement, en optant pour l'austérité budgétaire et une politique de l'offre aux effets dépressifs sur le pouvoir d'achat, le gouvernement s'est trompé.
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Le manque de bol n'a rien à voir là-dedans : Hollande a appliqué une politique inadéquate, non pas parce qu'il est stupide, mais parce qu'il mène en réalité la politique décidée par l'Allemagne à l'échelle de la zone euro.

L'Allemagne comme la France applique la politique que leur dicte les financiers...En aucun cas l'Allemagne seule, nos gouvernants respectifs ne sont que des valets ,des clowns qui vivent néanmoins très bien du fric qu'ils nous prélèvent

[albert]

Il y a pourtant une spécificité de la zone euro qui avec le TSCG est dans une logique de restrictions budgétaires depuis 5 ans alors que, par exemple, le G20 vient d'appeler à une relance pour favoriser la croissance.

[wesker]

Les pays ayant ratifiés le pacte budgétaire, furent contraints d'appliquer des politiques qui soient en conformité avec les objectifs et le calendrier défini. Cependant, si l'austérité se justifiait, à certains égards, notamment pour en finir avec les gaspillages ou réduire, drastiquement, le niveau des déficits afin de pouvoir, à nouveau redevenir crédible sur l'endettement, les solutions préconisées ne semblent pas avoir été des réussites partout.

Le chômage et l'activité atone rendent difficiles, les objectifs ambitieux contenus dans ces traités et devraient obliger à une évaluation afin d'assouplir là où clairement l'étau austéritaire prive d'investissements nécessaires à la croissance et au développement des pôles de compétitivité, seuls en mesure de générer des recettes suffisantes pour faire face à nos échéances !