Je ne parle pas de l'alternative par capitalisation mais de l'alternative bévéridgienne (par l'impôt) au modèle bismarckien (par cotisations).Nombrilist a écrit : ↑24 juin 2018, 10:50:09C'est de loin le meilleur système. Les Etats doivent renflouer le système capitalisto-financier des retraites privées au moins une fois tous les 10 ans. Donc, on paie les retraites de façon indirecte plusieurs fois à cause de ce système (et ce ne sont même pas les nôtres). Le coup des amis politiques, c'est vrai, mais ça représente probablement quelques millionièmes du budget grand max. Pas de quoi tout foutre parterre juste pour ça.
Patrons cherchent désespérément salariés
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- wesker
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Re: Patrons cherchent désespérément salariés
L'opposition entre la capitalisation individuelle et la répartition qui serait collective me semble ne pas être la préoccupation majeure. Certes je peux entendre que ceux qui gagnent bien leur vie souhaitent faire prévaloir les vertus d'un individualisation, leur cupidité, parfois maladie dictant leurs craintes, cependant, il faudra toujours des cotisants, même auprès des assurances privées pour assurer le versement de pension. Car la problématique des retraites est d'abord celle de l'emploi, de l'activité....
Re: Patrons cherchent désespérément salariés
Au fait, savez vous qu'il y a déjà un topic sur les retraites ? Vous trollez ...
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Je répond à Yakiv, et si tu ne comprend pas le lien entre retraite et emploi, je ne peux plus rien faire pour toi !
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non, le peuple c'est ceux qui travaillent pour eux.Yakiv a écrit : ↑24 juin 2018, 11:17:43En fait, ce que tu appelles les "amis politiques", c'est juste le peuple, mais bon...Jeff Van Planet a écrit : ↑24 juin 2018, 10:47:22Bien oui mon cher @Yakiv il y a une part de plus en plus importante de notre production qui part à la france pour que la france la distribue à ses amis politiques.
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
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Ceux qui travaillent pour ceux qui travaillent ?Jeff Van Planet a écrit : ↑25 juin 2018, 19:26:36non, le peuple c'est ceux qui travaillent pour eux.Yakiv a écrit : ↑24 juin 2018, 11:17:43En fait, ce que tu appelles les "amis politiques", c'est juste le peuple, mais bon...Jeff Van Planet a écrit : ↑24 juin 2018, 10:47:22Bien oui mon cher @Yakiv il y a une part de plus en plus importante de notre production qui part à la france pour que la france la distribue à ses amis politiques.
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Re: Patrons cherchent désespérément salariés
ping ... pong ... ping ... pong. Jeu set et match, t'as gagné félicitations tu peux garder le vélo.
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
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Voilà quelque chose d’intéressant, et de bon débat!Yakiv a écrit : ↑22 juin 2018, 19:36:22Des ouvriers et salariés peu qualifiés qui travaillent mal (il faudrait en étudier les causes comme quelqu'un l'a dit, ce n'est pas toujours de la faute du salarié lui-même) ou pas, il y en, je n'ai jamais dit le contraire (tout comme il y a aussi des patrons petits ou grands très sympathiques et respectueux de la personne humaine). Je crois par contre qu'il y a dans le milieu du travail une prime à la domination sociale qui fait que ce ne sont pas forcément les plus intelligents et méritants qui se trouvent en haut de l'échelle, mais ce n'est pas là où je veux en venir. Pour en venir aux ouvriers qui ne donnent pas satisfaction donc, cela ne constitue pas un gros problème pour les employeurs qui peuvent s'en débarrasser et chercher d'autres profils quand ils en ont envie. De l'autre côté, pour le salarié, c'est-à-dire pour celui qui a démissionné sans rien derrière dans un village paumé comme je le racontais plus haut, les difficultés qui vont se présenter à lui vont prendre une toute autre dimension. De ce fait, j'aurais peut-être moins de "larmichettes" à l'égard des employeurs, c'est sûr.asterix a écrit : ↑21 juin 2018, 22:06:34Je veux que les faibles soit défendus, et maintenus dans leur plein droit. De la à leur donner l'impunité, en préjudice de leur faiblesse, NON! C'est tellement "anti nation" et démagogique, qu'on se demande si ce n'est pas l'oeuvre d'une cinquième colonne d'une puissance malveillante! Le "droit de", oui, pleinement et pour tous. Le "droit à", non: cela détricote l'égalité et instaure des privilèges, donc des tensions sociales entre les Hommes.
Désolé, je ne me tairai pas. J'en ai la boule au ventre.
Pour ce qui est du clivage "droit de" / "droit à". Le "droit à" est ce qui permet à l'handicapé de survivre même s'il a le "droit de" travailler puisque rien ne lui interdit mais qu'il n'a plus les capacités physiques suffisantes pour le faire. Donc la différence entre le "droit de" et le "droit à", c'est que le "droit à" tient compte des capacités de chacun et va dans le sens d'une certaine équité, alors que le "droit de" ne le fait pas.
Droit de :
Eg.jpg
Droit à :
Eq.jpg
"Ce n'est pas toujours de la faute du salarié s'il travaille mal". Bien sur. Exactement comme ce n'est pas toujours de la faute du patron s'il est exécrable. Nous vivons dans un monde ou personne ne reçoit la même dotation. Nous pouvons pallier à ce la en partie, du mieux que l'on peut. Mais il y arrive un moment ou il faut assumer sa défaillance tout de même.
Si tu n'as pas de larmichette pour les petits patrons, c'est parce que tu n'as pas encore accueillit chez toi la veuve d'un suicidé de l'agriculture, ou d'un gâteux par AVC causé par un état d'épuisement à la tête d'une TPE.
J'ai pris un jeune dont le bac pro ne se traduit aucunement par une compétence qu'il prétend, en contrat 2 ans "professionalisation". C'est clairement un boulet, depuis plus d'un ans. Je le garde, parce que je ne peux pas rompre ce genre de contrat sans casse économique (déjà qu'il ne rapporte rien), mais d'abord parce que que, moi, j'ai le sens de l'engagement et le respect de tout ce qui est contractuel. Ma position personnelle est la suivante: j'ai embauché un boulet, mais j'assume ma décision jusqu'au bout: je n'avais qu'à y voir plus clair dans ce personnage. Donc tu vois, j'ai un comportement responsable.
Il reste 6 mois à ce jeune pour terminer son contrat, pour tenter de parfaire, si peut se faire, sa professionnalisation, et donc redonner un sens à son bac pro obtenu dans une loterie de foire. Ben non, monsieur veut partir parce que sa doudou habite loin, et qu'elle ne supporte plus de vivre sans lui. C'est là qu'on voit ce que peut peser l'enjeu de sa carrière dans sa tête, par rapport aux clins de sa doudou. Et le petit Monsieur veut une rupture conventionnelle, qu'il n'aura pas, parce que ce serait un désengagement de ma part, par rapport à l'état, dans le cadre de ces contrats de professionnalisation aidés. Il aura une démission pure et simple, et assumera sa considération. Alors je veux bien que ce niveau d'immaturité ne soit pas de sa faute, mais pourquoi devrais je en subir des conséquences, alors que j'ai réellement fait un effort pour le prendre (c'est une embauche purement affective)? Je veux bien que tu m'expliques, mais dans la plus grande rigueur intellectuelle, et une totale rationalité.
Donc tu vois bien, il y a une limite au choses: l'état l'aide à obtenir une embauche en me dédommageant de son incompétence initiale, moi je l'aide parce que je vais passer beaucoup de temps à le coacher, avec des risques de perte de production. Si Monsieur pendant ce temps là, ne pense qu'à ses bobos sentimentaux, je crois qu'alors qu'on ne peut rien pour lui.
Si tu veux d'autres récits, encore plus captivants, de faits véridiques du même genre chez mes homologues petit employeur n'hésite pas, "j'en ai en magasin" comme disait Zola. Un par jour, si tu veux, et dans un pittoresque exponentiel. Le dernier qu'on me raconte, c'est une jeune fille qui fait la saison dans les vignobles, qui a fait un larmoyant plaidoyer pour être embauchée préférentiellement, sa maman étant au RSA. Premier jour RAS, à par une fin de journée compliquée. Deuxième jour, absence pour panne de réveil. Troisième jour, absence justifiée ainsi: "il faisait trop chaud, j'avais envie d'aller à la plage" (avec le bus à 2 € subventionné par le Conseil Régional). C'est pas mignon ça? Elle a même envoyé un selfie dénudé à ses collègues au turbin Le patron est tellement féroce qu'elle n'est même pas virée, parce que de toute façon la suivante serait du même acabit, et il prie qu'on lui envoie un syrien pour des conditions identiques!
t'en veut une autre?... il y en a un plein pôle emploi! Et tout les jours, on m'en raconte une comme ça, comme chez un confrère dont le salarié est parti en vacances définitives au Maroc avec le camion de la boite! Ah ces p...... de patrons, ils exagèrent...
Vos mains ont un cerveau: ne les mettez pas dans vos poches
Re: Patrons cherchent désespérément salariés
Non, si le PPA sert à comparer entre pays, la même formule permet aussi de comparer les époques sur le même territoire. C'est exactement pareil, ou plutôt le problème est le même en grande partie.Nombrilist a écrit : ↑24 juin 2018, 10:53:48Le PPA sert à comparer entre pays. Tu dois confondre avec autre chose.
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Re: Patrons cherchent désespérément salariés
Ce ne sont pas les diplômes, le niveau de qualification ou de salaires qui déterminent la valeur ajoutée qu'un individu peut apporter à une entreprise, c'est sa volonté, son implication, etc....chose que les employeurs auront du mal à trouver tant qu'ils refuseront de les reconnaître et resteront enfermés dans des raisonnements, des fonctionnements claniques et archaïques.
Re: Patrons cherchent désespérément salariés
Que signifie ce que j'ai mis en gras italique svp?wesker a écrit : ↑15 juil. 2018, 21:07:48Ce ne sont pas les diplômes, le niveau de qualification ou de salaires qui déterminent la valeur ajoutée qu'un individu peut apporter à une entreprise, c'est sa volonté, son implication, etc....chose que les employeurs auront du mal à trouver tant qu'ils refuseront de les reconnaître et resteront enfermés dans des raisonnements, des fonctionnements claniques et archaïques.
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Re: Patrons cherchent désespérément salariés
Tant que les patrons refuseront de reconnaître les qualités que les diplômes ne permettent pas, toujours, de mesurer, qu'ils préfèreront rester dans des pratiques anciennes, ils auront du mal à trouver des salariés motivés, à un tel niveau de qualification. Et, pour moi, oui la reconnaissance peut aussi passer par la question du salaire, des conditions de travail qui ne doivent plus être des questions tabous dans notre pays, alors qu'on ne se préoccupe que de la rémunération du propriétaire de l'entreprise.
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Re: Patrons cherchent désespérément salariés
Wesker, tu as tout à fait raison. Beaucoup de patrons paient au lance pierre leurs salariés et espèrent que ceux-ci soient corvéables à merci et motivés comme des malades.
Cela ne marche pas. Le salarié d'une telle entreprise attend le virement à la fin du mois et n'en a rien à faire du reste
Cela ne marche pas. Le salarié d'une telle entreprise attend le virement à la fin du mois et n'en a rien à faire du reste
Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait.
Re: Patrons cherchent désespérément salariés
2 choses.asterix a écrit : ↑15 juil. 2018, 16:23:40Voilà quelque chose d’intéressant, et de bon débat!
"Ce n'est pas toujours de la faute du salarié s'il travaille mal". Bien sur. Exactement comme ce n'est pas toujours de la faute du patron s'il est exécrable. Nous vivons dans un monde ou personne ne reçoit la même dotation. Nous pouvons pallier à ce la en partie, du mieux que l'on peut. Mais il y arrive un moment ou il faut assumer sa défaillance tout de même.
Si tu n'as pas de larmichette pour les petits patrons, c'est parce que tu n'as pas encore accueillit chez toi la veuve d'un suicidé de l'agriculture, ou d'un gâteux par AVC causé par un état d'épuisement à la tête d'une TPE.
J'ai pris un jeune dont le bac pro ne se traduit aucunement par une compétence qu'il prétend, en contrat 2 ans "professionalisation". C'est clairement un boulet, depuis plus d'un ans. Je le garde, parce que je ne peux pas rompre ce genre de contrat sans casse économique (déjà qu'il ne rapporte rien), mais d'abord parce que que, moi, j'ai le sens de l'engagement et le respect de tout ce qui est contractuel. Ma position personnelle est la suivante: j'ai embauché un boulet, mais j'assume ma décision jusqu'au bout: je n'avais qu'à y voir plus clair dans ce personnage. Donc tu vois, j'ai un comportement responsable.
Il reste 6 mois à ce jeune pour terminer son contrat, pour tenter de parfaire, si peut se faire, sa professionnalisation, et donc redonner un sens à son bac pro obtenu dans une loterie de foire. Ben non, monsieur veut partir parce que sa doudou habite loin, et qu'elle ne supporte plus de vivre sans lui. C'est là qu'on voit ce que peut peser l'enjeu de sa carrière dans sa tête, par rapport aux clins de sa doudou. Et le petit Monsieur veut une rupture conventionnelle, qu'il n'aura pas, parce que ce serait un désengagement de ma part, par rapport à l'état, dans le cadre de ces contrats de professionnalisation aidés. Il aura une démission pure et simple, et assumera sa considération. Alors je veux bien que ce niveau d'immaturité ne soit pas de sa faute, mais pourquoi devrais je en subir des conséquences, alors que j'ai réellement fait un effort pour le prendre (c'est une embauche purement affective)? Je veux bien que tu m'expliques, mais dans la plus grande rigueur intellectuelle, et une totale rationalité.
Donc tu vois bien, il y a une limite au choses: l'état l'aide à obtenir une embauche en me dédommageant de son incompétence initiale, moi je l'aide parce que je vais passer beaucoup de temps à le coacher, avec des risques de perte de production. Si Monsieur pendant ce temps là, ne pense qu'à ses bobos sentimentaux, je crois qu'alors qu'on ne peut rien pour lui.
Si tu veux d'autres récits, encore plus captivants, de faits véridiques du même genre chez mes homologues petit employeur n'hésite pas, "j'en ai en magasin" comme disait Zola. Un par jour, si tu veux, et dans un pittoresque exponentiel. Le dernier qu'on me raconte, c'est une jeune fille qui fait la saison dans les vignobles, qui a fait un larmoyant plaidoyer pour être embauchée préférentiellement, sa maman étant au RSA. Premier jour RAS, à par une fin de journée compliquée. Deuxième jour, absence pour panne de réveil. Troisième jour, absence justifiée ainsi: "il faisait trop chaud, j'avais envie d'aller à la plage" (avec le bus à 2 € subventionné par le Conseil Régional). C'est pas mignon ça? Elle a même envoyé un selfie dénudé à ses collègues au turbin Le patron est tellement féroce qu'elle n'est même pas virée, parce que de toute façon la suivante serait du même acabit, et il prie qu'on lui envoie un syrien pour des conditions identiques!
t'en veut une autre?... il y en a un plein pôle emploi! Et tout les jours, on m'en raconte une comme ça, comme chez un confrère dont le salarié est parti en vacances définitives au Maroc avec le camion de la boite! Ah ces p...... de patrons, ils exagèrent...
La première, je l'ai déjà évoqué avec toi. Ce qui semble te caractériser dans tous tes messages, c'est que jamais, jamais, tu ne te remets en question ou tu n'as l'humilité de poser une question. Or j'ai tendance à croire que c'est assez révélateur. Qu'est-ce qu'un bon formateur (un petit patron est souvent un formateur, cas dans lequel tu te trouves aujourd'hui) ? C'est quelqu'un qui est capable de transformer un mauvais travailleur en bon travailleur. Alors certes, même les bons n'y arrivent pas toujours, mais ça vaut le coup d'être tenté. T'es tu déjà demandé si tu étais capable de faire progresser des gens qui ne font pas du bon travail avant d'arriver chez toi ? Je ne préjuge de rien, c'est une simple question.
La deuxième, je suis assez bien placé pour en parler, c'est ce qui relève des choix de vie. Il y a des années, on m'a annoncé une nouvelle que pas mal de salariés connaissent : "ça ferme". Mais à l'époque, mes supérieurs et les RH avaient une bonne nouvelle pour moi. Je suis assez bien coté, il y a de la place pour moi, ma carrière est toute tracée au sein du groupe, il me suffisait d'être muté à l'autre bout de la France. J'ai donc aussi était confronté à ce type de choix de vie. Ma famille et "ma doudou" sont dans la région. J'avais le choix entre une carrière professionnelle loin des miens et le chômage près des miens. Or face à des personnes qui avaient exactement le même état d'esprit que toi, j'avais fait mon choix, le choix du chômage, le choix du risque professionnel et social afin de privilégier ma vie privée. Mes interlocuteurs m'ont regardé avec des yeux énormes, comme si j'étais un marsien, ils se sont demandés si j'étais malade ce jour là, ou fragile. J'ai eu beaucoup de chances de poursuivre ma progression professionnelle, car j'aurais aussi très bien pu décrocher et cumuler chômage et emplois précaires. Tout ça pour dire que je ne sais pas si tous les choix de vie se valent, car je dois bien admettre que je ne comprends pas les carriéristes, mais j'ai le sentiment que ceux qui font des choix privés, même s'ils peuvent être contre-productifs pour leur avenir professionnel, méritent un peu plus de respect que la façon dont les gens comme toi en parlent.
Bref, on n'a pas la même mentalité, pas les même priorités, pas la même approche des choses, on est d'accord sur rien, mais c'est pas bien grave.
Re: Patrons cherchent désespérément salariés
C'est faux. Les salariés aux compétences rares sont très bien payés. Un de mes proches gagne en net 11 000€/ mois parce que ses compétences dans son domaine sont très recherchées. Ce qui est souvent mal payé c'est le job qui ne requiert pas des compétences très pointues.Narbonne a écrit : ↑17 juil. 2018, 00:02:16Wesker, tu as tout à fait raison. Beaucoup de patrons paient au lance pierre leurs salariés et espèrent que ceux-ci soient corvéables à merci et motivés comme des malades.
Cela ne marche pas. Le salarié d'une telle entreprise attend le virement à la fin du mois et n'en a rien à faire du reste
A noter (pour wesker) que la compétence pointue ne se mesure pas au diplômes (sauf pour les postes qui ne peuvent être des postes clefs) mais à l'expérience.
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