Non je ne je crois pas. Si le taux de change avait chuté les taux d'intérêt auraient bondi bien plus haut. L'Argentine est un exemple.albert a écrit : ↑31 déc. 2018, 11:30:22Sauf que c'est exactement l'inverse qui s'est produit : ne pouvant plus spéculer sur les taux de change, les marchés se sont reportés sur les taux d'intérêt, ce qui a provoqué la crise des dettes souveraines.pierre30 a écrit : ↑31 déc. 2018, 11:25:03L'euro peut être vu comme un outil de solidarité economique : les pays qui ont une economie dynamique permettent aux partenaires en difficulté de bénéficier de taux d'intérêt avantageux sur les marchés et de faire ainsi des politiques qui nécessitent de l'endettement.Non, cet accord a été imposé à la Grèce mais ne lui convient pas. C'est la Grèce qui a payé et qui paie encore la facture.pierre30 a écrit : ↑31 déc. 2018, 11:25:03Mais la monnaie commune implique le partage des décisions. Ainsi les discussions ont été compliquées lorsque la Grèce a demandé davantage aux autres pays de la zone. Mais un accord à été trouvé et cet accord convenait à toutes les parties puisque la Grèce est toujours dans l'euro et que les partenaires ont payé une part de la facture.
La Grèce paye une partie de ce qu'elle doit. Les Européens ont pris une part. Et l'euro permet à la Grèce de se financer et de faire du commerce dans l'UE. Tsipras l'a bien compris. Sans l'euro ils seraient encore plus mal que l'Argentine car ils ont moins de ressources.