40 milliardaires donnent la moitié de leur fortune
Franchement, Racaille, je ne comprends pas ton dogme de l'exploiteur.
Pour ma part, j'ai fait tant de choses différentes que si j'en énonçais la moitié, personne ne voudrait me croire ...
Mais je l'ai toujours fait comme salariée.
Parfois, avec un salaire minable, mais dans des secteurs qui me passionnaient et des ambiances qui valaient le détour. J'étais donc consentante et ravie.
Les choses évoluant (et mes responsabilités aussi) j'ai été vers des jobs qui me payaient mieux, sans être mirobolants, mais dont le critère de sélection restait que cela m'intéresse et que l'ambiance soit bonne (même si je ne suis pas un bébé, et sais qu'il y a des jours moins cool que d'autres).
J'ai évidemment (mais c'était mon rôle) fait gagner bien plus d'argent à mes entreprises ou à mes administrés que je n'en ai gagné moi-même.
Mais en quoi peux-tu dire que j'ai été "exploitée" ? C'est absurde !
Tout contrat de travail (même si des règlementations abracadabrantes noient un peu l'évidence) consistent en un accord entre l'employeur et le salarié.
Il n'y a donc, par définition, ni exploitant ni exploité. Si le salarié n'aime pas la couleur des murs, la cravatte du patron, ou la couleur des attache-tout, il est entièrement libre de s'y habituer ou de transiter.
J'ai une véritable horreur des gens qui ne cessent de se plaindre, mais restent vissés. A croire que se sentir brimés est leur seul luxe icon_biggrin
Pour ma part, j'ai fait tant de choses différentes que si j'en énonçais la moitié, personne ne voudrait me croire ...
Mais je l'ai toujours fait comme salariée.
Parfois, avec un salaire minable, mais dans des secteurs qui me passionnaient et des ambiances qui valaient le détour. J'étais donc consentante et ravie.
Les choses évoluant (et mes responsabilités aussi) j'ai été vers des jobs qui me payaient mieux, sans être mirobolants, mais dont le critère de sélection restait que cela m'intéresse et que l'ambiance soit bonne (même si je ne suis pas un bébé, et sais qu'il y a des jours moins cool que d'autres).
J'ai évidemment (mais c'était mon rôle) fait gagner bien plus d'argent à mes entreprises ou à mes administrés que je n'en ai gagné moi-même.
Mais en quoi peux-tu dire que j'ai été "exploitée" ? C'est absurde !
Tout contrat de travail (même si des règlementations abracadabrantes noient un peu l'évidence) consistent en un accord entre l'employeur et le salarié.
Il n'y a donc, par définition, ni exploitant ni exploité. Si le salarié n'aime pas la couleur des murs, la cravatte du patron, ou la couleur des attache-tout, il est entièrement libre de s'y habituer ou de transiter.
J'ai une véritable horreur des gens qui ne cessent de se plaindre, mais restent vissés. A croire que se sentir brimés est leur seul luxe icon_biggrin
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- Nombrilist
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- Enregistré le : 08 févr. 2010, 00:00:00
Si encore elles étaient vraiment philanthropiques ... pourquoi pas, mais vouloir en garder absolument le controle démontre le contraire.Maintenant, que ce triste sire daigne aujourd'hui consacrer une partie de sa fortune à des oeuvres philantropiques, ce n'est que la moindre des choses.
Le philanthrope fait confiance à autrui, lui donne une chance. Pas ces pseudos caisses d'épargne privées.
C'est un pis aller, au mieux .... et encore, je suis gentil.
Y'a pas que toi au monde, ni ton jugement, chère Mps.mps a écrit : Franchement, Racaille, je ne comprends pas ton dogme de l'exploiteur.
Pour ma part, j'ai fait tant de choses différentes que si j'en énonçais la moitié, personne ne voudrait me croire ...
Mais je l'ai toujours fait comme salariée.
Parfois, avec un salaire minable, mais dans des secteurs qui me passionnaient et des ambiances qui valaient le détour. J'étais donc consentante et ravie.
Les choses évoluant (et mes responsabilités aussi) j'ai été vers des jobs qui me payaient mieux, sans être mirobolants, mais dont le critère de sélection restait que cela m'intéresse et que l'ambiance soit bonne (même si je ne suis pas un bébé, et sais qu'il y a des jours moins cool que d'autres).
J'ai évidemment (mais c'était mon rôle) fait gagner bien plus d'argent à mes entreprises ou à mes administrés que je n'en ai gagné moi-même.
Mais en quoi peux-tu dire que j'ai été "exploitée" ? C'est absurde !
Tout contrat de travail (même si des règlementations abracadabrantes noient un peu l'évidence) consistent en un accord entre l'employeur et le salarié.
Il n'y a donc, par définition, ni exploitant ni exploité. Si le salarié n'aime pas la couleur des murs, la cravatte du patron, ou la couleur des attache-tout, il est entièrement libre de s'y habituer ou de transiter.
J'ai une véritable horreur des gens qui ne cessent de se plaindre, mais restent vissés. A croire que se sentir brimés est leur seul luxe icon_biggrin
Ne dis pas presque toujours, c'est TOUJOURS. Mais attention, je n'ai jamais dis que c'était de l'exploitation directe ( tels des esclavagistes avec un fouet ) ... Mais toutes les sources de revenus, par exemple les revenus financiers, sont inexaroblement issues des revenus et de l'exploitation de travailleurs ... Parce que les seules vraies richesses sont celles de la terre et du soleil, et on n'extraie de toute manière, on ne les transforme, que par le travail.
Alors peut être que le gars qui fait fructifier son argent en achetant des actions de je ne sais quoi n'a pas conscience qu'il participe à l'exploitation de travailleurs mais c'est la triste réalité.
Toute accumulation de richesse provient TOUJOURS de l'exploitation. Ces richesses n'existeraient pas si les gens étaient rémunérés à la hauteur de la valeur de leur travail. Il faut nécessairement compresser ces revenus pour pouvoir distribuer des revenus plus importants à d'autres ou pour pouvoir rémunérer des actionnaires ...
Alors peut être que le gars qui fait fructifier son argent en achetant des actions de je ne sais quoi n'a pas conscience qu'il participe à l'exploitation de travailleurs mais c'est la triste réalité.
Toute accumulation de richesse provient TOUJOURS de l'exploitation. Ces richesses n'existeraient pas si les gens étaient rémunérés à la hauteur de la valeur de leur travail. Il faut nécessairement compresser ces revenus pour pouvoir distribuer des revenus plus importants à d'autres ou pour pouvoir rémunérer des actionnaires ...
@MPS :
Ce n'est pas un dogme mais une réalité tangible, comme le démontre l'exemple de l'érection de l'obélisque de la Concorde que j'ai cité plus haut. L'exploitation ce n'est pas nécessairement synonyme, pour un patron, de mal payer ses salariés ; c'est de s'approprier une part du travail résultant de la force collective des travailleurs de part le statut juridique (individuel) du salariat. Tu devrais mieux lire ce que tu es censée critiquer
PS : Perso je ne me plains pas (puisque je vois que tu ne peux t'empêcher de tout faire glisser sur le terrain de l'attaque personnelle), je t'ai déjà dit que je n'avais ni patron ni salariés
Ce n'est pas un dogme mais une réalité tangible, comme le démontre l'exemple de l'érection de l'obélisque de la Concorde que j'ai cité plus haut. L'exploitation ce n'est pas nécessairement synonyme, pour un patron, de mal payer ses salariés ; c'est de s'approprier une part du travail résultant de la force collective des travailleurs de part le statut juridique (individuel) du salariat. Tu devrais mieux lire ce que tu es censée critiquer
PS : Perso je ne me plains pas (puisque je vois que tu ne peux t'empêcher de tout faire glisser sur le terrain de l'attaque personnelle), je t'ai déjà dit que je n'avais ni patron ni salariés
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M
.
Maintenant, que ce triste sire daigne aujourd'hui consacrer une partie de sa fortune à des oeuvres philantrophiques, ce n'est que la moindre des choses.
Ce n est pas la moindre des choses,car ils n ont quand même aucune obligation,question de conscience pour eux et vaut mieux tard que jamais.
C est affreux mais je comprends votre aigreur,sauf qu au lieu d en vouloir au monde entier,mieux vaut prendre sa vie en main,et pas se contenter d un bulletin de vote.
Maintenant on dit que l espoir fait vivre ! à travers certaine conversation je vois que si il fait vivre,ce n est pas forcement heureux.
Pour ceux socialistes,encore ils ont une petite chance en 2012,mais les cocos .....vous avez autant de chance que la démocratie directe.Et encore que cette dernière si elle était plus connue aurait peut être une chance mais pas en 2012,mais 2017 si ça continue comme ça,ce n est pas exclu que nombreux finissent par se réveiller,d ailleurs il suffirait que les gens soient de plus en plus informés pour que nos politiques se grattent la tête et se mettent à prendre les vrais problèmes à bras le corps,plutôt que de voir leur pouvoir aboli.
Maintenant, que ce triste sire daigne aujourd'hui consacrer une partie de sa fortune à des oeuvres philantrophiques, ce n'est que la moindre des choses.
Ce n est pas la moindre des choses,car ils n ont quand même aucune obligation,question de conscience pour eux et vaut mieux tard que jamais.
C est affreux mais je comprends votre aigreur,sauf qu au lieu d en vouloir au monde entier,mieux vaut prendre sa vie en main,et pas se contenter d un bulletin de vote.
Maintenant on dit que l espoir fait vivre ! à travers certaine conversation je vois que si il fait vivre,ce n est pas forcement heureux.
Pour ceux socialistes,encore ils ont une petite chance en 2012,mais les cocos .....vous avez autant de chance que la démocratie directe.Et encore que cette dernière si elle était plus connue aurait peut être une chance mais pas en 2012,mais 2017 si ça continue comme ça,ce n est pas exclu que nombreux finissent par se réveiller,d ailleurs il suffirait que les gens soient de plus en plus informés pour que nos politiques se grattent la tête et se mettent à prendre les vrais problèmes à bras le corps,plutôt que de voir leur pouvoir aboli.
Non, Logan, tu confonds le balanceur de pognon indifférent à la personne réellement attentive à l'avenir de ses bénéficiaires.Le philanthrope fait confiance à autrui, lui donne une chance. Pas ces pseudos caisses d'épargne privées.
Dans le cas qui nous occupe, ces donnateurs ont au moins démontré qu'ils étaient capables de gérer des fonds importants. En le faisant pour leurs fondations, ils se mettent intellectuellement au service des causes qu'ils défendent. Balancer leur pognon à la tête de socio-culs n'yant jamais rien prouvé serait totalement irresponsables, voire grossier.
Tu t'emberlificotes dans des théories oiseuses. Prenons Armand Gobert, tireur de cordes. Il se rend à la Concorde par un bau matin, averti d'une embauche ponctuelle qui l'intéresse. Il se met dans la ligne, tire de toutes ses forces. L'obélisque se dresse, au coup de sifflet on arrête de tirer, et on fixe. Il prend son pognon, va descendre quelques pots avec ses copains, et rentre content chez lui. Fin de l'histoire. Demain, il ira tirer un chaland sur la Seine ...Ce n'est pas un dogme mais une réalité tangible, comme le démontre l'exemple de l'érection de l'obélisque de la Concorde que j'ai cité plus haut. L'exploitation ce n'est pas nécessairement synonyme, pour un patron, de mal payer ses salariés ; c'est de s'approprier une part du travail résultant de la force collective des travailleurs de part le statut juridique (individuel) du salariat. Tu devrais mieux lire ce que tu es censée critiquer
Tu voudrais quoi . Qu'on lisse l'obélisque, pour y taguer le nom des tireurs de corde ? :lol:
Autre exemple : on tourne un "peplum". 1.000 figurants reçoivent une jupette, et doivent dévaller une colline en hurlant. 100 euros. Tu hurles, tu empoches, tu rentres chez toi ou va au bistrot. Le réalisateur s'est-il "approprié la force collective" ?
Ton PS n'a guère de sens. Je ne vois aucune attaque personnelle, et si je répondspar mon cas, c'est parce que c'est le pus indiscutablement concret que je puisse déposer aux pieds de la discussion. Toi, tu affimres sans même le réaliser que tu parles de ce que tu ne connais pasPS : Perso je ne me plains pas (puisque je vois que tu ne peux t'empêcher de tout faire glisser sur le terrain de l'attaque personnelle), je t'ai déjà dit que je n'avais ni patron ni salariés
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Je sens que je vais encore me faire flinguer, pour HS.
Le fait même d'être salarié, conduit à vendre sa force de travail; c'est-à-dire que l'on n'est pas rénuméré suivant le travail fourni, mais suivant l'achat effectué de ce surtravail ( comprenant le temps de travail nécessaire à la reproduction de la force de travail et le surtravail, indispensable à l'employeur pour augmenter la valeur du capital ou son bénéfice ).
De plus, la valeur du travail fournie est souvent différente la richesse produite; car outre la technicité,.. le travail est soumis aux lois de l'offre et de la demande.
Enfin, le travail salarié, inféode celui-ci à l'employeur; c'est une variante du bon vouloir du seigneur, où l'on n'est pas rétribué suivant nos propres besoins, ou même de la pénibilité des efforts consentis, mais suivant notre capacité à vendre notre force de travail, manuelle ou intellectuelle.
Le fait même d'être salarié, conduit à vendre sa force de travail; c'est-à-dire que l'on n'est pas rénuméré suivant le travail fourni, mais suivant l'achat effectué de ce surtravail ( comprenant le temps de travail nécessaire à la reproduction de la force de travail et le surtravail, indispensable à l'employeur pour augmenter la valeur du capital ou son bénéfice ).
De plus, la valeur du travail fournie est souvent différente la richesse produite; car outre la technicité,.. le travail est soumis aux lois de l'offre et de la demande.
Enfin, le travail salarié, inféode celui-ci à l'employeur; c'est une variante du bon vouloir du seigneur, où l'on n'est pas rétribué suivant nos propres besoins, ou même de la pénibilité des efforts consentis, mais suivant notre capacité à vendre notre force de travail, manuelle ou intellectuelle.
C'est du grand n'importe quoi. De la bouillie intellectuelle pour riche désoeuvré en quête de reconnaissance, mais l'argent n'achète pas la respectabilité, celle ci se mérite et il n'y a guère que les ricains et quelques autres pour avoir cette mentalité.Dans le cas qui nous occupe, ces donnateurs ont au moins démontré qu'ils étaient capables de gérer des fonds importants. En le faisant pour leurs fondations, ils se mettent intellectuellement au service des causes qu'ils défendent. Balancer leur pognon à la tête de socio-culs n'yant jamais rien prouvé serait totalement irresponsables, voire grossier.
Quelle réaction !
L'argent n'achète pas la respectabilité, mais bien ce qu'on en fait.
et il 'y a aucune gloire à ne pas en gagner.
Je préfère ceux qui se donnent les moyens de faire le bien, que ceux qui ne font que revendiquer qu'on leur en fasse ...
L'argent n'achète pas la respectabilité, mais bien ce qu'on en fait.
et il 'y a aucune gloire à ne pas en gagner.
Je préfère ceux qui se donnent les moyens de faire le bien, que ceux qui ne font que revendiquer qu'on leur en fasse ...
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- artragis
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- Enregistré le : 29 janv. 2009, 00:00:00
- Compte Twitter : @francoisdambrin
- Contact :
c'est le travail de récolte (exploitation) et industriel. Mais un service (propre au fait que nous soyons en société), toute donnée dématérialisée est aussi une richesse, ces choses sont crées, elles ne sont pas des transformations.Parce que les seules vraies richesses sont celles de la terre et du soleil, et on n'extraie de toute manière, on ne les transforme, que par le travail.
Mais logan, non tout n'est pas fondé sur l'exploitation, je te l'ai dit, il existe des tonnes d'entreprises, notament dans la "nouvelle économie", qui produisent moulte richesse sans exploiter qui que ce soit ! M'enfin, puisque tu es sourd, j'arrête là.
Je suis heureux que des gens pauvres puissent profiter du don de ces milliardaires, ensuite, je m'en fous.
http://zestedesavoir.com une association pour la beauté du zeste.
Artragis a tr!s bien résumé.
Mais ta remarque, Logan, montre que tu n'as pasla moindre idée de la psychologie des vrais riches
[table cellpadding="0" cellspacing="0" border="0" width="100%"][tr][td colspan="1" rowspan="1" width="100%"][/td][td colspan="1" rowspan="1" valign="top"] [/td][/tr][tr][td colspan="2" rowspan="1"]Libre à toi de préférer ceux qui vivent assis sur une montagne de fric. [/td][/tr][/table]
Soit il s'agit d'une fortune patrimoniale (séieusement écornée à chaque succession) et qu'ils conservent, non pas en s'asseyant dessus, comme tu l'imagines, mais comme un bien transmissible, à condition qu'ils s'évertuent à bien le gérer ;
Soit ils ont gagné cet argent eux-mêmes, en retirent certes un agrément de vie, mais n'y pensent jamais.
Ce sont les "petits nouveaux riches" qui se gargarisent de leur fric.
Mais ta remarque, Logan, montre que tu n'as pasla moindre idée de la psychologie des vrais riches
[table cellpadding="0" cellspacing="0" border="0" width="100%"][tr][td colspan="1" rowspan="1" width="100%"][/td][td colspan="1" rowspan="1" valign="top"] [/td][/tr][tr][td colspan="2" rowspan="1"]Libre à toi de préférer ceux qui vivent assis sur une montagne de fric. [/td][/tr][/table]
Soit il s'agit d'une fortune patrimoniale (séieusement écornée à chaque succession) et qu'ils conservent, non pas en s'asseyant dessus, comme tu l'imagines, mais comme un bien transmissible, à condition qu'ils s'évertuent à bien le gérer ;
Soit ils ont gagné cet argent eux-mêmes, en retirent certes un agrément de vie, mais n'y pensent jamais.
Ce sont les "petits nouveaux riches" qui se gargarisent de leur fric.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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