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sarkonaute
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Message non lu par sarkonaute » 25 févr. 2011, 20:46:00

je ne sache pas qu'elle ait acheté des produits dérivés financiers.
il me semble qu'elle a acheté des titres de dette publique, notamment grecque et peut-etre irlandaise, pour faire baisser la pression sur les taux.
ce qui est une dérogation à son interdiction de financer directement les états, prévue par les traités.
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artragis
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Message non lu par artragis » 25 févr. 2011, 21:55:00

il me semble qu'elle a acheté des titres de dette publique
uniquement sur les marchés dérivés, elle n'a pas eu le droit d'en acheter directement.
http://zestedesavoir.com une association pour la beauté du zeste.

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sarkonaute
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Message non lu par sarkonaute » 25 févr. 2011, 22:26:00

oui voilà, sur le marché secondaire.
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GIBET
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Message non lu par GIBET » 26 févr. 2011, 03:09:00

Puisque ce forum aime les précisons alors allons-y !
Quels ont été  les modes d'intervention pendant la crise:

1 - Aux Etats-Unis
Bear Stearns
Foyer : crise des subprime, révélation de l’effondrement de la valeur de deux fonds d’investissement en RMBS en juillet 2007, enclenchant une vague de défiance sur l’ensemble
des fonds investis sur des produits structurés et sur les actifs des banques.
Largement exposée aux subprime, orientée à 80% sur les activités de marché et utilisant un effet de levier important, Bear Stearns voit sa valeur de marché chuter et ses contreparties fuir.
Mode de règlement : proche du défaut, Bear Stears est rachetée en mars 2008 par JP MorganChase après mise en place d’un refinancement d’urgence de la Federal Reserve. Le prix payé
par JP Morgan Chase est réévalué dans un second temps (de 2$ à 10$ l’action).

Merrill Lynch
Foyer : exposition au risque subprime et produits titrisés au travers de sa gestion pour compte propre. Juste avant son rachat, Merrill Lynch avait subi plus de $50Mds de pertes depuis le
déclenchement de la crise.
Mode de règlement : rachat par Bank of America le 15 septembre 2008.

Lehman Brothers
Foyer : produits titrisés et positions de marché perdantes.
Issue : fragilisée par des pertes croissantes, Lehman Brothers demande à changer de statut bancaire de manière à accéder aux financements de la Fed et cherche sans succès un repreneur,
notamment auprès de Bank of America. La Fed se refuse à fournir des financements en l’absence de contrepartie susceptibles d’être apportées par la banque. Les pouvoirs publics
choisissent de ne pas intervenir. Faillite de l’établissement le 15 septembre 2008.
On mentionnera par ailleurs la nationalisation de fait des deux agences de refinancement Freddy Mac et Fannie Mae.

2 - Au Royaume-Uni
Northern Rock
Foyer : dépendance de la banque au refinancement sous forme de titrisation, dans un marché qui s’était brutalement fermé, exposition aux crédits immobiliers britanniques. Amorce d’une
ruée des déposants à l’automne 2007.
Mode de règlement : garantie sur la totalité des dépôts assumée par la Banque d’Angleterre à la demande des pouvoirs publics. Prêt de 25 Mds£ de la Banque d’Angleterre. Nationalisation
début 2008 après l’échec de solutions de reprises par des capitaux privés.Royal Bank of Scotland/ Lloyds (Lloyds TSB + HBOS)
Foyer : pertes sur les marchés et exposition aux crédits immobiliers britanniques (résultat net de -21Mds£ pour RBS en 2008), conjuguées à l’ébranlement du secteur financier mondial à la
suite de la faillite de Lehman Brothers
Mode de règlement : injections de capital par le Trésor britannique à l’automne 2008, suivies
par une fusion d’HBOS et de Loyds TSB début 2009. Prise de contrôle ) par l’Etat à 84% pour
RBS et 43% pour Lloyds.

Barclays
Foyer : crise des marchés de la titrisation à travers sa filiale d’investissement Barcap. Fort besoin de capitaux après dépréciation du portefeuille.
Mode de règlement : refus de capitaux publics, appel à des capitaux moyen-orientaux, vente d’actifs (BGI, sortie de l’opération de racaht d’ABN Amro), rachat à bas prix d’activités de
Lehman Brothers aux Etats-Unis.

3 - En France
Société Générale
Foyer : perte de marché de 5Mds€ début 2008 en raison de prises de positions frauduleuses dans des proportions hors normes d’un trader.
Mode de règlement : recapitalisation immédiate par le secteur privé après enquête accélérée sur l’origine des pertes annonce des pertes au marché.

Natixis
Foyer : pertes liées aux activités pour compte propre sur titrisations et produits dérivés. Fortes tensions sur le titre à l’automne 2008.
Mode de règlement : soutien de l’actionnaire principal, BPCE, restructuration et cantonnement du portefeuille d’actifs affectés, puis garantie explicite de BPCE sur ce portefeuille.
Pour la France, on mentionnera aussi le plan de renforcement des fonds propres du secteur bancaire à l’aide de capitaux publics mis en place à la fin de l’année 2008 – sans qu’il y ait à
proprement parler défaillance des intervenants. On mentionnera également la crise du Crédit Lyonnais, dans les années 90, où la banque, appartenant au secteur public, a fait l’objet d’un
démembrement et d’un traitement de la bad bank issue de ce découpage au sein d’une structure de défaisance sous la responsabilité de l’Etat. La crise traversée par le Crédit Foncier enfin, a à la même époque était traitée par l’octroi d’une garantie publique sur l’ensemble des émissions obligataires de l’intervenant.

Dexia
Foyer : crise des subprime, difficultés de la filiale de rehaussement de crédit FSA, portefeuille d’actifs titrisés, exposition sur la banque allemande Depfa. Menace d’une crise de liquidité fin
septembre 2008.
Mode de règlement : injection de capital par l’Etat belge, l’Etat français (Caisse des dépôts) et l’Etat luxembourgeois en octobre 2008 ; garantie des Etats (rémunérée) sur les refinancements
nouveaux jusqu’à 150Mds€.

Fortis
Foyer : crise des subprime, perturbations de marché, poids du rachat des actifs d’ABN Amro, crise de liquidité apparaissant avec la faillite de Lehman Brothers.
Mode de règlement : rachat de différentes parties du groupe par les Etats belge, néerlandais et luxembourgeois à l’automne 2008, suivi par un démantèlement en 2009, après de nombreuses
péripéties juridiques, au bénéfice de BNPP (activités bancaires en Belgique et au Luxembourg,
une fraction des activités assurantielles ; l’Etat belge devient actionnaire de BNPP) et de l’Etat néerlandais (activités bancaires et assurantielles aux Pays-Bas). Fortis ne subsiste plus qu’au
travers d’activités assurantielles sous le nom d’Ageas.

4 - Islande
Foyer : crise internationale, accumulation des dettes, engagements très supérieurs aux capacités des banques et du pays lui-même, importants risques de change.
Mode de règlement : nationalisations


Mais cette crise est l'hériotière d'une précédente et d'un affaiblissement par accumulation:


Un précédent : celui des Savings and Loans qui, dans les années 80, secoua l‘Amérique et conduisit à la démission du tout-puissant speaker de la Chambre Jim Wright, celle de Fernand Saint-Germain, le président de la commission bancaire de la Chambre, au scandale des « Keating Five » impliquant quatre sénateurs démocrates et le sénateur John McCain, l’actuel candidat républicain à la présidence, un risque de faillite évalué à environ 1300 milliards de $ et ayant coûté au final 160 milliards dont 125 aux contribuables.
Les S & L sont des caisses d’épargne dont les fonds servaient essentiellement à faire des prêts immobiliers. Amenées à convertir des dépôts des déposants à court terme en placements à moyens et longs termes, les S & L devaient observer des ratios de liquidité. Ils sont contrôlés par des régulateurs qui peuvent bloquer les S & L sortant des limites réglementaires.
C’est ici que corruption et politique rentrent en jeu. En contrepartie de faveurs financières personnelles et d’abondantes contributions aux caisses des partis, ces parlementaires intervinrent pour bloquer l’intervention des régulateurs.
La crise des subprimes a des origines similaires. Au centre du dispositif, deux sociétés à capitaux privés, appelées Fannie Mae et Freddy Mac, qui ne sont pas liées formellement à l’Etat américain mais disposent d’une ligne de crédit garantie par ce dernier. Cette facilité leur permet d’emprunter de l’argent sur le marché à des taux bien plus faibles qu’une banque. Toutes deux usent de cette capacité pour remplir leur mission, à savoir racheter des prêts immobiliers aux établissements de crédit qui les ont souscrits.
En se portant acquéreurs de ces prêts, Fannie Mae et Freddie Mac permettent aux établissements de crédit de s’en décharger et de pouvoir ainsi souscrire de nouveaux prêts. Ils garantissent ainsi le maintien d’une offre de crédit à des conditions plus favorables que si le marché se régulait seul. Ceci leur a également permis de regrouper les hypothèques sous forme de paquets et de les placer auprès des autres organismes financiers. Le total des hypothèques ainsi constituées atteignait 5.200 milliards en mai 2008.
Ce sont ces deux sociétés que le gouvernement américain a dû nationaliser en septembre. Au cœur du scandale, Franklin Raines, le fils d’un agent de nettoyage, diplômé de Harvard (Law school) et d’Oxford (Rhodes scholar comme Bill Clinton). Après divers postes dans l’administration notamment comme directeur du US Office of Management and Budget dans le gouvernement Clinton, il prit la présidence de Fannie Mae en 1999 et rapidement entreprit d’élargir les possibilités de prêts à des foyers à bas revenus et d’abaisser les conditions requises pour les rachats de crédits hypothécaires auprès des organismes financiers. Cette action pourrait être mise sur le compte de la générosité si simultanément Raines n’avait pas été convaincu d’avoir truqué les comptes de l’entreprise de façon à montrer des performances toujours meilleures dont ses bonus étaient dépendants et justifier un traitement qui en 2003 dépassait 20 millions de $, et être obligé de démissionner. La même année, plus de 20 de ses collaborateurs touchèrent des traitements supérieurs au million de $.
Particulièrement remarquable fut sa bataille contre l’éditorialiste en chef du Wall Street Journal, Paul Gigot [1], qui dès 2001 dénonçait les truquages comptables.
C’est ainsi que le PDG de Countrywide Financial, l’une des plus grandes firmes hypothécaires et l’une des premières à déposer son bilan en 2008, Angelo Mozilo, attaquait publiquement Gigot dès octobre 2003 pour oser critiquer la comptabilité de Fannie ; il était d’ailleurs rejoint par Paul Krugman, le récent prix Nobel d’économie, éditorialiste du New-York Times qui n’hésitait pas à publier des articles attaquant le Wall Street Journal, disant que la droite américaine haïssait Fannie et Freddie parce qu’ « elle ne voulait pas que des entités quasi-publiques puissent concurrencer Angelo Mozilo ». Alors que ces deux institutions avaient fait la fortune de Mozilo en achetant en masse ses titres hypothécaires.
Le scandale de Fannie et Freddie n’a pu perdurer que grâce à des complicités politiques, essentiellement celles du parti démocrate auquel était lié Raines largement arrosé par ces institutions. Mais pas seulement ce parti, car comment expliquer que le président Bush n’ait pas pu réussir à les réformer lorsqu’il le tenta en 2003 ? Très remarquées ont été les interventions démocrates, en particulier celles du député Barney Franks, du sénateur Chuck Schumer, du sénateur Chris Dodd, qui supervisent au Congrès les activités des Fanny et Fred. A côté des largesses faites au parti, il faut noter des avantages discrètement accordés aux parlementaires eux-mêmes. Chris Dodd aurait ainsi bénéficié de prêts à des conditions inégalées pour acheter d’importants biens immobiliers dans son état, le Connecticut.
Bernard Zimmern



En définitive et contrairement aux banques centrales européennes (BCE, banque centrale du Royaume-Uni), la Fed a baissé son principal taux directeur à sept reprises de septembre 2007 à mai 2008, passant de 5% à 2%, avant d'opter pour la non-intervention.
Elle a également versé de fortes liquidités pour aider les banques à se renflouer. C'est ainsi qu'elle a permis le sauvetage de l'établissement Bear Stearnsqui est passée près de la faillite, sa politique de « prise de risque maximale » lui a coûté cher. A la mi-juin 2007, ses principaux clients ont connu des difficultés et la confiance placée en Bear Stearns a peu à peu diminué. Fin novembre, la banque a annoncé sa première perte suivie de la démission de son PDG début janvier 2008.
En mars, la Fed est alors intervenue par le biais d'un prêt d'urgence à Bear Stearns qui s'est fait ensuite racheter par le groupe JP Morgan Chase pour 236 millions de dollars.


Pour la plus part des économistes américains, la Fed n'est plus en mesure de faire face à la crise des subprimes et ses interventions n'ont pas été d'une grande efficacité. Selon Kenneth Rogoff, professeur à Harvard et ancien économiste en chef du FMI, « Nous avons dépassé le point où la politique monétaire peut être d'une quelconque efficacité. La crise actuelle ne peut plus être résolue que par injection d'argent public pour sauver l'industrie du financement de l'immobilier. Mais avant que cela soit politiquement acceptable, il faut s'assurer que les banques ont payé pour leurs erreurs. »
La tâche de la Fed est rendue d'autant plus difficile que le coût total des pertes dues à la crise des subprimes est considérable. En avril 2008, l'OCDE l'estimait à 422 milliards de dollars, soient 268 millions d'euros. Selon une étude du Crédit Suisse, il pourrait s'élever à 650 milliards de dollars. 


Pour ceux qui ne sont pas aussi savants qu'Astragis et Sarkonaute réunis mais qui s'intéressent à la crise des subprimes je vous recommande un excellent article http://www.lyc-gide-uzes.ac-montpellier ... rimes3.pdf. Il vous évitera d'aborder le CDO 2 qui est un fournisseur de la tarification des risques et des technologies novatrices pour les organisations commerciales des produits de crédit structuré pour permettre aux organismes financiers d'avoir accès aux derniers modèles de tarification et de la technologie de l'entreprise, indépendamment de leur taille ou du volume des transactions. Mais si vous êtes intéressés par le skew de correlation dans le pricing des CDO2 vous pouvez toujours vous rendre là http://www.thierry-roncalli.com/downloa ... o-Skew.pdf

Si vous ne comprenez pas les deux experts Sarkonaute et Astragis se feront un plaisir de vous expliquer avec simplicité icon_biggrin icon_biggrin
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Message non lu par sarkonaute » 26 févr. 2011, 11:21:00

félicitations pour ce copier coller sans intérêt et sans rapport avec le sujet.
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Message non lu par GIBET » 26 févr. 2011, 12:34:00

J'accepte tes félicitations ...c'est déjà un bon début. icon_biggrin
... et mes propos s'inscrivent totalement avec votre hors sujet et vos copier/coller.
facile à faire n'est-ce pas?
Pour le reste je te laisse retourner à ce que tu étais pour moi avant ces échanges inutiles : Rien!
Je ne répondrai même plus...Çà c'est pour nos amis Politicien et Gis. Cela leur évitera de me dire que je suis hors sujet quand je réponds à tes provocs!!
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Message non lu par sarkonaute » 26 févr. 2011, 13:22:00

notre hors-sujet avait pour origine un nécessaire recadrage suite aux inepties que tu avais écrit en abondance.
tu en es pleinement responsable.
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Message non lu par politicien » 26 févr. 2011, 13:35:00

Bonjour,

Sarkonaute je te demanderais d'arrêter tes provocations une bonne fois pour toute, je trouve que depuis hier je te modère souvent. Et ne me dit pas que c'est à cause de untel ou untel.
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire » Le débat ne s'arrête jamais sur Actu-Politique

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Message non lu par sarkonaute » 26 févr. 2011, 13:40:00

bah j'avais juste envie de me payer gibon, sa fatuité et son incompétence.
mais tu as raison désormais j'acquiescerais à toutes ses âneries.
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Message non lu par GIBET » 27 févr. 2011, 03:15:00

Chiche!
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Message non lu par Ilikeyourstyle » 27 févr. 2011, 03:46:00

politicien a écrit :Bonjour,

Sarkonaute je te demanderais d'arrêter tes provocations une bonne fois pour toute, je trouve que depuis hier je te modère souvent. Et ne me dit pas que c'est à cause de untel ou untel.
Cette réflexion est du même niveau que l'arbitrage hier à Twickenham. 

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Message non lu par politicien » 27 févr. 2011, 09:43:00

Ilike, je te demanderais de ne pas commenter les messages de modération, merci.
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire » Le débat ne s'arrête jamais sur Actu-Politique

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Message non lu par GIBET » 28 févr. 2011, 03:50:00

Mais Politicien prend cela pour un compliment, l'arbitrage hier était excellent.... et d'ailleurs personne ne l'a mis en doute?
Tu sais bien que pour certains l'arbitrage n'est pas bon que s'il favorise leur équipe. Si l'arbitre n'avait pas été bon nous avions deux essais de plus contre nous.
Ici c'est pareil. icon_biggrin icon_biggrin icon_biggrin

En fait pour revenir au sujet je pense que personne n'a plus rien d'intelligent à dire dessus...c'est tout!
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Message non lu par sarkonaute » 28 févr. 2011, 18:20:00

en ce qui te concerne c'est sur, en revanche Ilys, moi-même et artragis pourrions tout à fait poursuivre la discussion s'il n'y avait perpétuellement des parasites pour écrire des âneries.
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Message non lu par lancelot » 28 févr. 2011, 19:36:00

C'est toi qui parle de parasite ??? icon_eek

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