Tordre le cou à un mythe : quand la dette cesse d'être un dû

[Cobalt]

Ce serait pas mal dans culture de créer un sujet sur Coupat savoir ce qu'il a fait et fait,je ne le connais même pas.

[un artisan]

Je suis preneur évidemment ,mais j'ignore la réaction des modés,car cela risque de faire doublon avec le fil Anarchie...

[Cobalt]

Je ne pense pas que cela gène Politicien,tu le fais ? parce que je ne connais pas le bonhomme alors bon..^^

[wesker]

Encore une nouvelle vanne. Quand tout va bien, le peuple en bénéficie, et quand ça va mal, ce n'est pas "sa faute" (comme si c'était la faute du gouvernement islandais".
Populace débile.

C'est pourtant ce que tu expliques pour Sarkozy....En cas de succès, on doit les lui attribuer, mais en cas d'éches, ce n'est jamais de sa faute !
La démocratie, la fonction qu'il occupe et qu'il n'honore pas ne lui appartiennent pas, c'est la construction de l'histoire de notre pays et n'est que le résultat de la volonté des peuples !

[mps]

mais oui mais oui ...

Toujours incapable d'éccrie deux lignes sans parler de Sarkozy ?

[pierre30]

Trente ans de chômage de masse, de « crise », de
croissance en berne, et l’on voudrait encore nous
faire croire en l’économie. Trente ans ponctués, il
est vrai, par quelques entractes d’illusion: l’entracte
1981-83, illusion qu’un gouvernement de gauche
pourrait faire le bonheur du peuple ; l’entracte des
années fric (1986-89), où nous deviendrions tous
riches, hommes d’affaires et boursicoteurs ; l’entracte
Internet (1998-2001), où nous trouverions
tous un emploi virtuel à force de rester branchés,
où la France multicolore mais une, multiculturelle
et cultivée, remporterait toutes les coupes du
monde. Mais voilà, nous, on a dépensé toutes nos
réserves d’illusion, on a touché le fond, on est à
sec, sinon à découvert.
À force, on a compris ceci : ce n’est pas l’économie
qui est en crise, c’est l’économie qui est la crise;
ce n’est pas le travail qui manque, c’est le travail qui
est en trop ; tout bien pesé, ce n’est pas la crise, mais
la croissance qui nous déprime. Il faut l’avouer : la
litanie des cours de Bourse nous touche à peu près
autant qu’une messe en latin.

C'est pas faux : la vie semble souvent se résumer à l'économie. C'est très probablement une des causes du mal-être des sociétés occidentalisées.

Cela a été traité en partie dans le sujet sur la décroissance.