Lucas a écrit :Sauf que pour les obligations, la BCE aurait pu intervenir il y a deux ans, au plus fort de la crise, mais non on a préféré 21 sommet de la dernière chance.
En clair, lenteur, improvisation, sont les slogans de la BCE, et même l'Europe.
Mais bon puisqu'ils nous disent qu'ils veulent sauver "à tout prix l'euro", faisons leur confiance ...
Non, Lucas, quand il y a une catastrophe, on fait d'abord l'inventaire des victimes et le crash-test de ceux qui semblent mieux s'en tirer. Plus l'évaluation est complexe, plus c'est long, évidemment.
On sait à présent qu'aucun pays n'est "à l'aise", que tous doivent compter leurs sous, et qu'il n'y a aucune possibilité de cadeau.
A partir de là, il faut être créatif, mais on ne monte pas ce genre de système entre l'apéro et le bal du village.
Les yaka et yavèka, c'est un peu léger.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)