sauf erreur de ma part les 1000 milliards sont inscrit en charge au bilan
Là on parle en capitalisation de la banque c'est à dire ce qui permet de faire face à une érosion de créance
Il y a toujours eu une position très différente entre les banques européennes et les banques anglosaxonnes. Ces dernières capitalisent les banques contre les créances douteuses (type Grèce - Espagne - Portugal...) dont les créances sont dévalorisées au bilan. Tandis que les banques européennes ne capitalisent pas sur les créances douteuses tant qu'elle ne sont pas appelées en paiement. Évidemment cela fragilise les banques qui font ainsi sur in front spéculateur s'attaque alors à ce point faible.
Donc capitaliser peut être une nécessité prudentielle Mais laisser le FMI capitaliser directement les banques c'est en fait les "nationaliser " avec un statut européen et donc les placer entre les mains de l'Europe qui devient le véritable gestionnaire du financement des états .
Les banques de la zone euro toujours pas tirées d'affaire
Re: Les banques de la zone euro toujours pas tirées d'affair
Le silence est un ami qui ne trahit jamais
Re: Les banques de la zone euro toujours pas tirées d'affair
Il y a déjà une séparation de l'Eglise et de l'Etat, il serait grand temps d'instaurer la même séparation entre les banques et les Etats.
La crise que nous avons subie vient essentiellement de l'immixtion des Etats dans la gestion des banques.
Elles sont obligées de faire du "social" à la petite échelle (prêts immobiliers américains sous Clinton), ou à la grande (renflouement de la Grèce), filent droit dans le mur, ne savent plus comment s'en sortir, inventent des systèmes de plus en plus tordus, et finalement sont désignées comme "les mauvaises".
On s'intéresse alors à leurs salaires ou au budget de leurs attache-tout, tout en les pompant encore, avant de les "recapitaliser" en le leur faisant durement payer d'ailleurs.
Puis, on invente les dépôts à rendement inférieur à l'inflation, etc.
Chacun chez soi, et les cochons seront bien gardés .
Il faut que nos Etats financent eux-même leur démagogie.
C'est d'ailleurs aussi vrai à de plus petits échelons, comme le "social" fait sur le dos des propriétaires, qui n'ont plus le droit d'expulser des locataires mauvais payeurs qu'après de longs mois de perte. Génial ?
Non, la moitié des propriétaires privés se sont désengagés du locatif ces dernières années, et on vient pleurer à présent du prix des loyers.
La crise que nous avons subie vient essentiellement de l'immixtion des Etats dans la gestion des banques.
Elles sont obligées de faire du "social" à la petite échelle (prêts immobiliers américains sous Clinton), ou à la grande (renflouement de la Grèce), filent droit dans le mur, ne savent plus comment s'en sortir, inventent des systèmes de plus en plus tordus, et finalement sont désignées comme "les mauvaises".
On s'intéresse alors à leurs salaires ou au budget de leurs attache-tout, tout en les pompant encore, avant de les "recapitaliser" en le leur faisant durement payer d'ailleurs.
Puis, on invente les dépôts à rendement inférieur à l'inflation, etc.
Chacun chez soi, et les cochons seront bien gardés .
Il faut que nos Etats financent eux-même leur démagogie.
C'est d'ailleurs aussi vrai à de plus petits échelons, comme le "social" fait sur le dos des propriétaires, qui n'ont plus le droit d'expulser des locataires mauvais payeurs qu'après de longs mois de perte. Génial ?
Non, la moitié des propriétaires privés se sont désengagés du locatif ces dernières années, et on vient pleurer à présent du prix des loyers.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- Nombrilist
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Re: Les banques de la zone euro toujours pas tirées d'affair
"La crise que nous avons subie vient essentiellement de l'immixtion des Etats dans la gestion des banques."
C'était la blague matinale de mps.
C'était la blague matinale de mps.
Re: Les banques de la zone euro toujours pas tirées d'affair
Ah bon ?
Qui a obligé les banques à consentir des prêts hypothécaires à des gueux, déclenchant ainsi la crise de subprime ? Clinton.
Qui a forcé les banques à financer les tocades des grecs ?
T'arive-t-il de réfléchir ?
Qui a obligé les banques à consentir des prêts hypothécaires à des gueux, déclenchant ainsi la crise de subprime ? Clinton.
Qui a forcé les banques à financer les tocades des grecs ?
T'arive-t-il de réfléchir ?
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- Nombrilist
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Re: Les banques de la zone euro toujours pas tirées d'affair
Personne n'a rien forcé du tout.
- El Fredo
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Re: Les banques de la zone euro toujours pas tirées d'affair
La crise dite des subprimes n'a pas été déclenchée par les facilités d'obtention de crédits décidée par Clinton, l'essentiel vient de l'immobilier professionnel et les organismes Fanny Mae/Freddie Mac ne représentent qu'un pouïème des volumes concernés. Et les banques n'ont jamais été obligée de prêter à des Etats.
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.
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