albert » 18 Fév 2014, 07:35:05 a écrit :Une quantité de monnaie limitée provoque une contraction monétaire, qui provoque une déflation. Et dans ce cas, la production doit s’ajuster à une demande en baisse.
Il faudrait savoir de quoi on parle quant on parle de "contraction monétaire". Le commun des mortels y verra, comme l'étymologie le laisse penser, une diminution de la quantité de monnaie. Or c'est une fausse impression.
il peut y avoir une contraction sans diminution de la quantité de monnaie, dans ce cas çà passe par une diminution de la vitesse de la monnaie. Qu'est-ce qui provoque une diminution de la vitesse de circulation? tout simplement un stockage(épargne) et qu'arrive-t-il en cas de déflation? de belle opportunités de négoce se présentent, et la vitesse à tendance à reprendre d'elle même.
Bien oui: il y à des tonnes de locaux commerciaux(ou de production) des milliers(millions) d'employés libres que les épargnants peuvent avoir pour une bouchée de pain.
Surtout que la demande existe dans tous les cas, toute personne à besoin de manger, de se loger, de se vêtir. C'est bien les prix, et non l'offre qui s'adapte.
albert » 18 Fév 2014, 07:35:05 a écrit :La spéculation est la conséquence d’un manque de régulation et d’une économie réelle trop faible pour absorber la liquidité. Regardez ce qui s’est passé durant les 30 glorieuses : nous n’avions pas l’étalon or, nous avions de la croissance, peu de spéculation et pas de crises financières durant cette période.
Un manque de régulation?
tout laisse à penser le contraire.
La spéculation à toujours exister, et existera toujours. Mais les manipulation monétaires, aident la spéculation au travers l’expansion du crédit.
durant les 30 glorieuses, je l'ai déjà dit, il y avait un étalon change or(accords de bretton woods). De la croissance, car il fallait reconstruire, de la spéculation car il y en à toujours.
Et c'est quand même étrange que l'ont ai abandonné ces accords en 1971 et qu'à partir de cette datte, les inégalités se sont creusées.
albert » 18 Fév 2014, 07:35:05 a écrit :Mais l’Amérique, qui était pourtant l’épicentre de la crise de 1929, avait renoué avec la croissance alors que la France était en déflation.
Croyance! les USA n'ont rertouver une dynamique de croissance qu'à partir de 1940, avant le chômage ne baisser pas. La guerre c'est quand même bien(ironie).
albert » 18 Fév 2014, 07:35:05 a écrit :Si nous avions une forte demande intérieure, nous n’aurions pas une croissance quasiment nulle. On importe parce qu’à cause de l’euro, notre industrie se délocalise.
Pour le coup je suis obligé d'être cru: C'est du grand n'importe quoi!
Depuis les années 70/80 l'industrie se délocalise. Dans les années 90 on commençait à en parler fréquemment dans les médias de masses. La preuve que çà n'à rien à voir avec l'Euro.
Dans les années 80, des dizaines(centaines?) d'entreprises ont quittés France, Grande Bretagne Allemagne pour aller s'établir en Espagne et au Portugal récemment entrés dans la CEE(1986) et là on ne peut pas accuser l'Euro.
En suite, si on à pas de demande intérieur, pourquoi importe-t-on? juste pour importer? ce qui implique que personne n'achète? çà ne tient pas la route. Si on importe, c'est que quelqu'un achète ces produits, sinon ils ne traverseraient pas la frontière(sauf transite)
si on importe, c'est qu'il y à quelqu'un qui achète, donc qu'il y à une demande.
Le simple fait de débrider l'offre permettrait de satisfaire cette forte demande.
la croissance quasi nulle, elle à progressé récemment grâce...grâce...grâce à la consommation. Tient! encore de la demande interne.