Drôle.L'ennui, c'est qu'en France, il faudra déjà de la chance pour trouver quelqu'un qui lise un appel d'offre en anglais.
Il suffit que 10% du pays sache parler anglais pour que ça soit le cas (et nous les avons !) puisque les gens qui gèrent les projets ne sont pas le français lambda.